Karak Sakbar

Je vous présente ma cité naine, Karak Sakbar ! peut-être écrirais-je un jour son histoire, mais maintenant voyons plutôt son présent. (je n'ai aucune photo des personnage à vous montrer pour le moment. il faudra attendre avant de voir warzaram le stoïc en figurine !).

Nom de la forteresse : Karak Sakbar, literralement "montagne aux cinq portes".

Situation Géographique : Karak Sakbar se situe dans les montagnes du bord du monde, plus précisement entre Zhufbar et le mont Gumbad. La grande porte de la forteresse se trouve au bout d'un long chemin étroit en zig-zag où les nains ont amménagés des petites fentes faites pour les tireurs en cas d'attaque ennemi, ce qui fait qu'une attaque direct par la grande porte est pratiquement impossible, car les nains abatraient toute l'armée adverse, monstre après monstre. Mais la grande porte n'ouvre pas directement sur la ville.

description : Si vous passez la Grande Porte, vous arriverez, arpès un long tunnel étroit, à un gigantesque hall circulaire du nom de Kaz-a-Sakbar (le hall aux cinq portes). en effet, cinq portes chacune surmonté d'un symbole et menant à un tunnel se dresseront devant vous.

La première, Rikbar,surmonté d'une courrone, ouvre sur un tunnel qui monte vers le haut de la montagne et mène à un premier cirque en altitude. en effet, la météorite ayant creusé le cratère où se trouve maintenant le lac noir avait été soustrait lors de sa chute de quatres morceaux beaucoups plus petit, mais qui avait quand même creusé 4 cirques dans la montagne, où s'était installé les nains. Donc, dans ce premier cirque avait été construit les appartements royaux, la salle de Conseils où sont convié les personnalité de la forteresse pour parler de cas concernant la forteresse ou le peuple entier, le Livre des rancunes, le Trôn et le trésort royal. Ces bâtiments sont somptieux, décorés de statues et les murs serties de joyaux.
Il y a aussi la salle des Tueurs. en effet, ces derniers ne font partie d'aucun clan mais de la forteresse elle même, et sont au service direct du seigneur, et non pas des thanes. Ces bâtiments sont somptieux, décorés de statues et les murs serties de joyaux.

La deuxième porte, Grundbar, surmonter du symbole de son clan ,mène au deuxième cirque, où se trouve les bâtiments apartenant au clan Grund-Skarrenruf.
La troisième porte, Azbar, surmonté elle aussi du symbole de son clan, mène au troisième cirque, où se trouve les bâtiments apartenant au clan Azzharrak.

Le peuple n'habite pas dans les cirques de leurs clans respectif. Les rois de la cité ont mit un point d'honneur à unirs le peuple dans un seul cirque, pour qu'aucun conflit interne ne se créé envers les deux clans. la porte qui mène à ce cirque est nommé Kazukanbar et est surmonté d'une choppe de bière, signe du peuple. le cirque comporte de nombreux marchés, où les artisans nains peuvent à leur aise négocier avec leurs client (qui, eux, agonisent), des hotels de passages (où les hoteliers négocient aussi), des temples à la gloire des trois dieux et surtout des tavernes renommés, où la bière de bugman, en grande quantité dans la forteresse, est vendu à prix d'or aux clients étrangers (qui n'ont plus que leurs yeux pour sangloter sur leur choppe et leur bourse vide).

enfin, la cinquième porte, nommé Grungbar et surmonté d'une pioche, mène aux mines sous la montagne. les météorites ayant laissé quantité de matière précieuse et de gromril, le travail minier est très important pour la forteresse. mais les profondeurs ne sont pas sûr, et les quelques régiments de brise fer qui patrouille dans les tunnels ne sont pas de trops.

Clans :

Grund-Skarrenruf (marteau du ciel) : le nom de ce clan est paradoxale vu qu'il s'occupe principalement du travail minier et des patrouilles souterraines. les membres de ce clan sont sage, souvent juste, honnorable et véritablement têtu sur beaucoups de sujets. Insigne de clan : un marteau ailé.

Az-Zharrak (hache furieuse) : ce clan s'occupe du commerce de la forteresse. Il fait aussi partie de la guilde des ingénieures, et les machines de guerres de la cité ont été créé par leurs membres. insigne de clan : une hache enflammée.

Couleur de la forteresse : Rouge et bleu (en lien avec les clans).

Couleur royale : Or et argent.

personnalités :

Warzaram le stoïc : Roi de Karak Sakbar
Graflson Az-Zharrak et Ferak Grund-Skarrenruf : porteurs de bouclier du roi.
Noran Az-Zharrak : chef du clan Az-Zharrak.
Kungrim Grund-Skarrenruf : chef du clan Grund-Skarrenruf
Kariin Az-Zharrak : Reine de Karak Sakbar
Hraglson Throg : seigneur des runes. un mystère entoure sa forteresse d'origine et son clan.

j'essayerait d'avoir des photos de mon armée convenable.

vous avez biens sûr le droit de dire quelque chose, et aucune rancune ne sera porter à votre encontre si vous faite une critique ! :orque:

J'aime beaucoup.
Petite critique . Je trouve pas que les tueurs soient a leur places dans des pieces luxueuses, ils ne veulent aucun honneur.

Snorri

hum oui c'est vrai... en réalité je comptait pas la salle des tueurs dans le lot du sombtueux mais à lire ça prête à confusion.

sans doute bientôt le récit d'une bataille contre des orcs ! :orque:

Warzaram regardait avancer la marrée verte. A vue d'oeil, ils devaient êtres plusieurs milliers, et à vue de nez il devait y avoir un géant parmi eux. Des orcs, mais aussi des gobelins, avançaient en hurlant vers les rangs serrés des nains qui fumaient leurs dernières pipes ou buvaient leurs dernières gorgée de bières avant la bataille.
A ses côtés se tenaient ses thanes, Noran et Kungrim, le premier impatient faisant des moulinets avec sa hache et le second, plus âgé, regardant l'ennemi en faisant peser son marteau dans ses mains calleuses. Ils avaient positionné leurs nains selon la stratégie simpliste mais non moins efficace dicté par leurs Seigneur.

-Qu'ils viennent ces grobi ! s'écria Noran. Ils verront ce que c'est de s'attaquer à une Zharrak Az !

On pouvait maintenant voir l'armée en détail. De grand régiments de gobelins soutenues par des orques armés de kikoup' ; Des trolls puants et stupide levant bien haut leurs armes de fortunes, et le fameux géant arborant une massue faite d'os et d'un crâne d'apparence bovine ; Des chars à loups et des chariots à pompe snotling, ainsi que des machines de guerres branlantes ; Un chaman gobelin, facilement repérable du fait des éclairs verts qui le traversait par endroit et enfin le Chef de Guerre, un gigantesque orque, d'autant plus imposant qu'il était monté sur une guivre.
Des gobelins semblant faire des essais enclenchèrent accidentellement leur catapulte à plongeur de la mort dont l'utilisateur tomba à quelques mètres des thanes.

-Faites ouvrir le feu. Demanda le stoïc.

Les thanes acquiescèrent d'un signe de tête et crièrent leurs ordres aux arquebusiers et arbalétriers présents sur une colline en contrebas. Ils ouvrirent le feu. De nombreux ennemis tombèrent. Des régiments, pris de désarroi, fuyaient dans la direction inverse du sens des tirs. Les canons tirèrent, creusant des trous dans les lignes ennemis. Les canons à flammes brûlaient les gobelins prit de panique, tandis que les balistes disloquaient une partie des chars ennemis. Le gyrocoptère décolla et vola vers les créatures.
Les tirs prirent fin et la fumée des canons se dissipa. L’armée adverse était affaiblie, mais le nombre de guerriers restants était suffisant pour que l'on se prépare à une rude bataille. Les orcs, enragée par les tirs nains, hurlait leur Waaaagh de tous leurs poumons. Les gobelins sur loups chargèrent.

-Graflson, Ferak ! dit Warzaram en parlant à ses porteurs. Il est temps !

Les deux nains posèrent au sol un grand bouclier de très bonne facture. Le seigneur monta dessus, et les porteurs le soulevèrent, lui offrant une vue privilégiée sur les champs de bataille.

-Que la bataille commence. Dit-il simplement.

Les gobelins montés s'écrasèrent contre les lignes naines. Certains ne passèrent pas ce cap, et ils furent les premières victimes des haches naines dans cette bataille. Les autres s'enfoncèrent plus profondément dans les régiments mais tombèrent les uns après les autres, comme englouti par la mer de barbe et d'acier.
La suite de l'armée chargea en hurlant. Les nains levèrent leurs bouliers et leurs haches. Les deux puissances s'entrechoquèrent dans un bruit de métal et ce fut le chaos.

Warzaram se lança dans la bataille, découpant têtes et membres. Du sang giclait sur son armure runique, qui luisait à chaque coup que l'ennemi lui portait. Sa hache était porteuse de rune elle aussi, et ces dernières brillaient de plaisir en goûtant le sang des peaux vertes.
Alors qu'il s'enfonçait encore dans la bataille, il croisa une unité de brise-fer qui combattait vaillamment un régiment d'orque noir. Un coups portés à l'un deux fit voler sa tête qui fut aussitôt explosé par un tir d'arquebuse.
Un boulet vola au dessus de la tête du seigneur et détacha littéralement la tête d'un troll en train de se demander s'il fallait attaquer les nains à sa droite ou donner un coup de massue sur la tête de son congénère de gauche.

Un cor sonna et une odeur de bière forte se mélangea à celle du sang. Warzaram leva sa tête et aperçu au loin la bannière de bugman et celui-ci, massacrant avec sa main gauche et buvant à la choppe avec la droite.
On entendit un bruit sourd venant du sol et soudain des mineurs nains sortirent de terre, abattant leurs lourdes pioches sur les ennemis à proximité. L'un d'eux avait la barbe légèrement roussi et on pouvait apercevoir des touffes de cheveux brûlés sur sa bougie.
Des nains volaient à proximités et on pouvait apercevoir des boulets de fanatiques décrivant des cercles ravageurs dans les rangs de barbus. L'un des gobelins shooté aux champignons fut abattu par un marteau volant qui retourna directement dans les mains de son maître, le thane Grund-Skarrenruf.
-Seigneur, allez vous bien ? dit-il de sa voix profonde comme les mines des royaumes nains de jadis.

Il n'attendit pas de réponse et s'entreprit de faire subir le même sort aux autres gobelins.

Soudain, le chaman gobelin fut saturé d'énergie Waaaaaagh et des vents de magie vertes destructrices foncèrent sur les fils de Grungni. Mais des éclairs runiques les désintégrèrent alors que le thane d'Azzharrak trancha proprement en deux le chaman qui se convulsait sous la puissance qui l'habitait. Ses membres bougèrent pendant quelques minutes, parcouru par des éclairs verts, puis sa carcasse partie en poussière. Warzaram se retourna, et vit le seigneur des runes, debout sur un rocher à proximité, frappant ce dernier de son bâton.

-Alors, de retours ? Grogna le stoïc.

Le seigneur des runes ne répondit pas et se lança dans la mêlée.

On entendit un cri surhumain. Le géant Bougeait dans tout les sens en criant. Grimpant sur lui à l'aide leurs haches, les Tueurs de Trolls d'Arabie rugissait du plaisir de mourir en combattant un adversaire de taille.

Un hurlement de bête sauvage parcouru le champs de bataille, recouvrant ceux des autres. Le Chef de Guerre orc, mais surtout sa guivre, se dirigeaient vers le seigneur en faisant le plus de dégâts possible.

-déposez moi. Ordonna-t-il à ses porteurs.

Ceux-ci firent cela, avec une pointe d'appréhension dans le regard. Celui de la guivre se posa sur le roi de Karak Sakbar. Elle poussa un rugissement d'extase à l'idée de manger ce qui semblait être bien plus goutu que les autres nabots qu'elle avait goûté. Elle abatis sa queue hérissé de pointe que Warzaram évita de justesse en sautant sur le côté.
A sa droite, un régiment de gobelins se faisait décimé par une tornade d'aciers et de crête orange. Vaardri Hache des sables, un tueur de dragon d'Arabie, arriva aux côtés de son seigneur et ancien compagnon de voyages.

-Eh Warza, t'a besoin d'aide pour la grosse bête ? dit-il en désignant la guivre.
-Comme tu veux, j'espère qu'elle te tuera.

Vaardri se jeta sur la guivre qui essaya de le mordre sans succès. Le tueur à peau noire esquiva tous les essais de meurtre de la guivre et sauta au dessus de la tête de cette dernière, s'asseyant sur son cou. Il fit un mouvement de cisaille avec ses deux haches et trancha la tête de la guivre, couvrant son corps presque nu de sang noir. Il sauta de sa carcasse agitée de spasmes, et s'avança vers son seigneur, l'air dépité.

-Sans doute une autre fois, dit-il avec un grognement.

Warzaram prépara sa hache. Le chef de guerre orc arrivait, enragé par la mort de son animal préféré et recouvert du sang de celle-ci. Il chargea en hurlant, levant bien haut son kikoup'. Warzaram esquiva le coup et tenta d'un revers de hache de trancher l'orc à la hanche, mais le bouclier de ce dernier parra le coup. L'orc traça un arc destructeur avec sa hache. Le stoic recula assez vite pour éviter d'avoir la tête séparé des épaules, mais le kikoup' lui avait quand même découper une mèche de barbe. Furieux, il abattit sa hache qui traversa l'armure de l'orc et lui fit une entaille à la poitrine. L'orc hurla et porta un coup puissant au nain, qui ne fut pas assez rapide. Le kikoup' faillit traverser l'armure, qui résista d'extrême justesse. Une des runes ne brilla plus. Sous le coup, Warzaram senti une côte se casser. Il grogna de douleur et leva sa hache en hurlant.

-Grungni !!!

Le tranchant de son arme sectionna la clavicule de l'orc et traversa son corps jusqu'aux reins. La carcasse de l'orc tomba à terre. Warzaram lui trancha la tête et la leva bien haut. Aussitôt, les peaux vertes encore vivant hurlèrent de panique et foncèrent dans tous les sens, alors que les nains, eux, hurlaient de victoire.

Ce soir, ils fêteront l'issu de la bataille sous des flots de bières

merci pour la correction grimnir !

Voila, j'aime bien ton texte, je me suis permis de le corriger ^^

Citation :

Warzaram regardait avancer la marrée verte. A vue d'oeil, ils devaient êtres plusieurs milliers, et à vue de nez il devait y avoir un géant parmi eux. Des orcs, mais aussi des gobelins, avançaient en hurlant vers les rangs serrés des nains qui fumaient leurs dernières pipes ou buvaient leurs dernières gorgée de bières avant la bataille.
A ses côtés se tenaient ses thanes, Noran et Kungrim, le premier impatient faisant des moulinets avec sa hache et le second, plus âgé, regardant l'ennemi en faisant peser son marteau dans ses mains calleuses. Ils avaient positionné leurs nains selon la stratégie simpliste mais non moins efficace dicté par leurs Seigneur.

-Qu'ils viennent ces grobi ! s'écria Noran. Ils verront ce que c'est de s'attaquer à une Zharrak Az !

On pouvait maintenant voir l'armée en détail. De grand régiments de gobelins soutenues par des orques armés de kikoup' ; Des trolls puants et stupide levant bien haut leurs armes de fortunes, et le fameux géant arborant une massue faite d'os et d'un crâne d'apparence bovine ; Des chars à loups et des chariots à pompe snotling, ainsi que des machines de guerres branlantes ; Un chaman gobelin, facilement repérable du fait des éclairs verts qui le traversait par endroit et enfin le Chef de Guerre, un gigantesque orque, d'autant plus imposant qu'il était monté sur une guivre.
Des gobelins semblant faire des essais enclenchèrent accidentellement leur catapulte à plongeur de la mort dont l'utilisateur tomba à quelques mètres des thanes.

-Faites ouvrir le feu. Demanda le stoïc.

Les thanes acquiescèrent d'un signe de tête et crièrent leurs ordres aux arquebusiers et arbalétriers présents sur une colline en contrebas. Ils ouvrirent le feu. De nombreux ennemis tombèrent. Des régiments, pris de désarroi, fuyaient dans la direction inverse du sens des tirs. Les canons tirèrent, creusant des trous dans les lignes ennemis. Les canons à flammes brûlaient les gobelins prit de panique, tandis que les balistes disloquaient une partie des chars ennemis. Le gyrocoptère décolla et vola vers les créatures.
Les tirs prirent fin et la fumée des canons se dissipa. L’armée adverse était affaiblie, mais le nombre de guerriers restants était suffisant pour que l'on se prépare à une rude bataille. Les orcs, enragée par les tirs nains, hurlait leur Waaaagh de tous leurs poumons. Les gobelins sur loups chargèrent.

-Graflson, Ferak ! dit Warzaram en parlant à ses porteurs. Il est temps !

Les deux nains posèrent au sol un grand bouclier de très bonne facture. Le seigneur monta dessus, et les porteurs le soulevèrent, lui offrant une vue privilégiée sur les champs de bataille.

-Que la bataille commence. Dit-il simplement.

Les gobelins montés s'écrasèrent contre les lignes naines. Certains ne passèrent pas ce cap, et ils furent les premières victimes des haches naines dans cette bataille. Les autres s'enfoncèrent plus profondément dans les régiments mais tombèrent les uns après les autres, comme englouti par la mer de barbe et d'acier.
La suite de l'armée chargea en hurlant. Les nains levèrent leurs bouliers et leurs haches. Les deux puissances s'entrechoquèrent dans un bruit de métal et ce fut le chaos.

Warzaram se lança dans la bataille, découpant têtes et membres. Du sang giclait sur son armure runique, qui luisait à chaque coup que l'ennemi lui portait. Sa hache était porteuse de rune elle aussi, et ces dernières brillaient de plaisir en goûtant le sang des peaux vertes.
Alors qu'il s'enfonçait encore dans la bataille, il croisa une unité de brise-fer qui combattait vaillamment un régiment d'orque noir. Un coups portés à l'un deux fit voler sa tête qui fut aussitôt explosé par un tir d'arquebuse.
Un boulet vola au dessus de la tête du seigneur et détacha littéralement la tête d'un troll en train de se demander s'il fallait attaquer les nains à sa droite ou donner un coup de massue sur la tête de son congénère de gauche.

Un cor sonna et une odeur de bière forte se mélangea à celle du sang. Warzaram leva sa tête et aperçu au loin la bannière de bugman et celui-ci, massacrant avec sa main gauche et buvant à la choppe avec la droite.
On entendit un bruit sourd venant du sol et soudain des mineurs nains sortirent de terre, abattant leurs lourdes pioches sur les ennemis à proximité. L'un d'eux avait la barbe légèrement roussi et on pouvait apercevoir des touffes de cheveux brûlés sur sa bougie.
Des nains volaient à proximités et on pouvait apercevoir des boulets de fanatiques décrivant des cercles ravageurs dans les rangs de barbus. L'un des gobelins shooté aux champignons fut abattu par un marteau volant qui retourna directement dans les mains de son maître, le thane Grund-Skarrenruf.
-Seigneur, allez vous bien ? dit-il de sa voix profonde comme les mines des royaumes nains de jadis.

Il n'attendit pas de réponse et s'entreprit de faire subir le même sort aux autres gobelins.

Soudain, le chaman gobelin fut saturé d'énergie Waaaaaagh et des vents de magie vertes destructrices foncèrent sur les fils de Grungni. Mais des éclairs runiques les désintégrèrent alors que le thane d'Azzharrak trancha proprement en deux le chaman qui se convulsait sous la puissance qui l'habitait. Ses membres bougèrent pendant quelques minutes, parcouru par des éclairs verts, puis sa carcasse partie en poussière. Warzaram se retourna, et vit le seigneur des runes, debout sur un rocher à proximité, frappant ce dernier de son bâton.

-Alors, de retours ? Grogna le stoïc.

Le seigneur des runes ne répondit pas et se lança dans la mêlée.

On entendit un cri surhumain. Le géant Bougeait dans tout les sens en criant. Grimpant sur lui à l'aide leurs haches, les Tueurs de Trolls d'Arabie rugissait du plaisir de mourir en combattant un adversaire de taille.

Un hurlement de bête sauvage parcouru le champs de bataille, recouvrant ceux des autres. Le Chef de Guerre orc, mais surtout sa guivre, se dirigeaient vers le seigneur en faisant le plus de dégâts possible.

-déposez moi. Ordonna-t-il à ses porteurs.

Ceux-ci firent cela, avec une pointe d'appréhension dans le regard. Celui de la guivre se posa sur le roi de Karak Sakbar. Elle poussa un rugissement d'extase à l'idée de manger ce qui semblait être bien plus goutu que les autres nabots qu'elle avait goûté. Elle abatis sa queue hérissé de pointe que Warzaram évita de justesse en sautant sur le côté.
A sa droite, un régiment de gobelins se faisait décimé par une tornade d'aciers et de crête orange. Vaardri Hache des sables, un tueur de dragon d'Arabie, arriva aux côtés de son seigneur et ancien compagnon de voyages.

-Eh Warza, t'a besoin d'aide pour la grosse bête ? dit-il en désignant la guivre.
-Comme tu veux, j'espère qu'elle te tuera.

Vaardri se jeta sur la guivre qui essaya de le mordre sans succès. Le tueur à peau noire esquiva tous les essais de meurtre de la guivre et sauta au dessus de la tête de cette dernière, s'asseyant sur son cou. Il fit un mouvement de cisaille avec ses deux haches et trancha la tête de la guivre, couvrant son corps presque nu de sang noir. Il sauta de sa carcasse agitée de spasmes, et s'avança vers son seigneur, l'air dépité.

-Sans doute une autre fois, dit-il avec un grognement.

Warzaram prépara sa hache. Le chef de guerre orc arrivait, enragé par la mort de son animal préféré et recouvert du sang de celle-ci. Il chargea en hurlant, levant bien haut son kikoup'. Warzaram esquiva le coup et tenta d'un revers de hache de trancher l'orc à la hanche, mais le bouclier de ce dernier parra le coup. L'orc traça un arc destructeur avec sa hache. Le stoic recula assez vite pour éviter d'avoir la tête séparé des épaules, mais le kikoup' lui avait quand même découper une mèche de barbe. Furieux, il abattit sa hache qui traversa l'armure de l'orc et lui fit une entaille à la poitrine. L'orc hurla et porta un coup puissant au nain, qui ne fut pas assez rapide. Le kikoup' faillit traverser l'armure, qui résista d'extrême justesse. Une des runes ne brilla plus. Sous le coup, Warzaram senti une côte se casser. Il grogna de douleur et leva sa hache en hurlant.

-Grungni !!!

Le tranchant de son arme sectionna la clavicule de l'orc et traversa son corps jusqu'aux reins. La carcasse de l'orc tomba à terre. Warzaram lui trancha la tête et la leva bien haut. Aussitôt, les peaux vertes encore vivant hurlèrent de panique et foncèrent dans tous les sens, alors que les nains, eux, hurlaient de victoire.

Ce soir, ils fêteront l'issu de la bataille sous des flots de bières.

ok merci beaucoup ^^'

première partie de la longue Saga de l'histoire de Warzaram le stoïc et de Karak Sakbar :

Gruzdul se gratta frénétiquement l'oreille. Signe manifeste d'un mécontentement, chez lui, et les gobelins de son armée le savaient. Un d'eux qui apportait le squig grillé au Chef en fut l'une des nombreuses victimes et les snotlings s'empressèrent de lui voler les vêtements de sa dépouille avant de fuire dans l'obscurité. Ils devenaient bien trop téméraires, ces snotlings, pensa l'orc en en écrasant un entre ses doigts.
Sa colère était dù, outre le fait qu'il n'avait pas fait une bonne grosse bataille depuis longtemps, au fait que l'effectif de son armée baissait étrangement. Bien sûr, pas d'un nombre très inquiétant, et l'habituel brutale mortalité des gobelins y était en grande partie pour quelque chose. Mais quand même... Même Grudzul, qui pourtant était connu pour son incapacitée à savoir mettre une armure convenablement, s'était inquiété de voir plusieurs petits régiments des ses boy'z transformé en steak tartare. Ce qui l'a le plus étonner, surtout, c'est que le massacre en question était étrangement propre. Trop propre pour être une simple bagarre causé par un doigt de pied sauvagement écrasé à coups de massue.
Sur le moment, une partie de son esprit primitif lui avait signaler que ça ne pouvait être que l'oeuvre d'une hache naine. Puis la plus grosse partie s'empressa d'assomer cette idée avant de lui commander d'aller tranquilement au banquet boire avec les autres et flanquer deux ou trois roustes à ses sergents parce que ça avance pas assez vite. ce qui n'avançait pas assez vite, nul ne le savait, mais bon. Quand un orc a une idée idiote en tête, il la garde ! Ah mais...

La chaleur aussi. La Waaaagh avait piqué par le Sud après avoir anéanti une petite colonie naine, et se trouvaient maintenant tout près de l'Arabie, dans le desert du même nom. D'ailleur, en y repensant, c'était bien depuis le razzia de cette colonie quil rencontrait le problème cité plus haut. Et si... mblof ! Le plus grand neurone (tout est relatif) frappa encore une fois le petit dernier. Décidemment, trop penser devenait une génante habitude, chez lui. Mieux valait ruminer. C'est ça, ruminer ses vieilles idées sombres en massacrant deux trois gobelins et en se marrant de temps en temps.
Tiens, v'la autre chose. Y'a du chahut dehors. Faudrait encore qu'il aille donner des coups de tête par-ci par-là pour pouvoirs rétablir un ordre relatif. Il y avait beaucoups de relativité, chez les orcs, en y repensant. Ah non, c'est vrai, ne pas penser.
Comme signe avant courreur d'un prochain donnage de leçon, l'orc poussa un hurlement de bête. Normalement, ça calmait toujours un peu les troupes. Tiens, cette fois non. Etrange. Evitant toujours de penser trop fort, Gruzdul sortit hors de sa tente.

Une terrifiante mêlée secouait le camps, seulement éclairés dans la nuit par des torches suspendus à des tentes. Les orcs se battaient frénétiquement . Pas entre eux, pour une fois. Ni contre des gobelins. Une poignée d'orc tombèrent à terre, la gorge tranchée. Un nain, seul, tous son être aspergé du sang de ses ennemies, combattait. Et c'est qu'il en tuait beaucoups, ce nabot ! Il coupait cous et membres en criant des insultes kazalid. Une pointe de folie illuminait son regard, et aucun coups ne passaient son armure étincelante. Il vit Le Grand Chef et se tailla un chemin sanglant parmis les peaux-vertes. L'orc abatut son gros kikoup' sur le nain qui s'écarta de justesse. Il essaya de trancher le cou de l'orque d'un revers de hache mais le bouclier à l'effigie de Grok (et pas de mork, comme beaucoups d'inculte croient) bloqua le coups. L'orc frappa violement avec son kikoup sur le casque du nain qui vacilla en arrière, légèrement assomé. Le hasard fit qu'il tomba dans la cavité du lance-roc réglé au maximum de sa portée et qu'un coups de kikoup' mal placé enclencha le système et lança le nain dans les airs, loin du camps.
Il vola longtemps, presque une éternité à ses yeux.il ne voyait des orcs que des petites lumières au loin. à moins qu'il ne confonde avec les étoiles d'Arabie qui iluminait la nuit.
Il en fut bien marri de voir qu'il ne pourrait plus voir sans doute avant un bon bout de temps car il se sentait déjà freiner dans son ascencions vers le ciel. Enfin, ils chuta.

Génial! J'adore la forme que tu donne à la stupidité des Orques, c'est tellement réaliste, c'est exactement ça!

L'ensemble est très bien écrit, j'ai hâte de lire la suite et savoir ce qui arrive à ce petit Nain héroique!

Bravo!

Un éclair. Un éclair orange. Il tombe dans la nuit noire. Non, pas la nuit noire. Plus un ciel polué. Brun comme la terre. Il est éblouissant. Ou du moins il semble éblouissant. C'est sans doute dù au contraste, et au fait qu'il n'avait pas vu de lumière depuis assez longtemps. Etrange. L'éclair semble fissurer le sol en de nombreux précipices remplis de laves. De la lave de la même couleurs que l'éclair. Et puis aussi cette odeur. Quelque chose de famillier. Serait-il dans le Hall des ancêtre ? Il entend une voix, lointaine, très lointaine. Au seuil même de la perception. Il répond :

-Valaya, c'est toi ?

Un rire tonitruant, et une haleine fétide. Il pria de tous son être que ce ne fut point Valaya, aux-quels cas les prètres nains se seraient trompé sur toute la longueur quant à la féminité de la déesse.

-Non, c'est pas Valaya mon gars, mais c'est gentil quand même !

Tiens, enfin une bonne nouvelle.

-T'a eu un sacré coups de pot ! continua la voix. T'es atterri pile dans notre réserve de bière. C'est ça qui t'a sauvé, je pense. Moi j'ai toujours dit que la bière ça pouvait sauver n'importe qui s'il le méritait. Par contre j'ai dù en assomé quelques uns parce que y'avait des potes qu'avaient pas trop aimé que tu nous pourrisse notre réserve de bière. F'in, quoi, si t'avait pas été un nain, sûr qu'on t'aurais pas soigné. Plutôt que sur le coups, on t'aurais laissé crever dans le désert, rien que pour l'économie de nourritures. Mais bon, t'avait de la barbe et t'avait l'air d'avoir eu des problèmes avant d' faire ton vol plané. Si on t'avait pas aidé, pour sûr qu'on aurait été déshonnoré. Enfin... encore plus, quoi.

Intrigué par le monologue de ce qui semblait être un frère de race, il ouvrit les yeux.
Ce qu'il avait prit pour un éclair n'était en faite qu'une crète orange caractéristique des tueurs. Une barbe de la même longueur êtait découpé en trois longues mèches. Sans doute ce qu'il avait prit pour des précipices. Mais ce qui l'étonnait le plus, c'était que la couleur de peau du Tueur n'était pas de la teinte traditionelle des nains, donc blanche avec une variation de rouge celon les grammes d'alcool contenue dans le sang, mais noir-brun, comme les hommes dont il avait entendu parler vivant dans les pays chauds. Il resta bouche bée devant cette étrange pigmantation, ce que le tueur remarqua avec amusement.

-Eh eh... t'en a jamais vu des commes nous, c'est ça ? Bah. Tu t'habitura. Je sais ce c'est bizarre pour des nordistes de nous voir comme ça. C'est bizarre pour nous aussi, t'sais, de t'voir, blanc comme la mousse de la bière. Nous c'est plutôt couleur des tunnels. Tout noir. R'marque, ça permet d'pas nous voir quand y'a plus de lumière. Genre un camouflage, quoi.

Le "nordiste" essaya de se relever mais le Tueur le plaqua sur son lit avec le manche d'un hache qui pouvait sans aucun doute transformé un sanglier sauvage en saucisson en moins de temps pour un nain de vider la choppe de son ami.

-Tut tu. Tu reste couché. T'a d'jà d'la chance d'être en vie alors fait pas l'humain dès ton reveil. D'ailleurs, tu t'appelle comment ?

Le nain réfléchit pendant un instant. Parmis ses vagues souvenirs baignant dans la mer brumeuse qu'était devenu son esprit, Il discernait qu'il avait un nom. Pas qu'il fut atteint d'un quelconque amnésie, mais traverser presque milles pas lancé par une catapulte rudimentaire tel un vulgaire rocher était quelque chose de passablement traumatisant.

-Warzaram. dit-il enfin. Je m'appelle Warzaram. Warzaram le Stoïc

Le tueur grogna du contentement d'entendre enfin pour de vrai la voix de la personne à qui il parlait depuis dix minutes sans aucune réponse.

-Et ben content de te connaître Warzaram le Stoïc. Moi mon nom c'est Vaardri. Vaardri Hache des Sables, comme on m'appelle dans c'pays. Mais dit moi, m'gars, comment t'as fait pour jouer les dragons bourrés, l'autres soir ?

Warzaram ne répondit rien. Autant par flegme que par le fait qu'il n'en était même pas sûr lui même. Il préféra regarder la pièce.
Il se trouvait dans une grande tente. Sur le sol était étallé des peaux de bêtes, de ce qui ressemblait à des guépart, principalement. Des amres étaient disséminé dans tout l'espace. Un gobelin était accroché au mur, une hache planté dans l'abdomen.

-On la découvert l'autre jour, avant que t'arrive. expliqua Vaardri. C'est pas le genre de gobelins qu'on voit ici normalement. J'pense que y'a une Waaaagh qu'est passer dans le coin. Une Waaaagh de chez vous. Faut la retrouver, avant qu'elle vienne plus vers nous.

Il le regarde d'un air soudain suspicieux.

-Tu saurais pas queque chose, par hasard ?

Il y eu un long moment de silence. Soudain, Vaardri se leva et tourna des talons.

-J'vois que t'es pas bien près à parler. J'reviendrais n'autre fois.

Il sortit. Warzaram resta seul un bon moment. Il rélféchit un bon moment, puis se laissa aller à la fatigue et s'endormi.

J'adore

C'est génial!

merci pour les commentaires ! ça fait chaud au coeur !

Lorsqu'il se reveilla, il était tôt le matin. Il le remarqua par une température glacial et une luminosité plus que réduite. C'est donc à taton qu'il chercha sa hache et son casque. Nullement qu'il devait y avait des cous à trancher dehors, mais la simple présence de cette superbe arme le reconfortait plus que tout.
Il y avait du bruit près de la tente, comme des objets qu'on foure dans des sacs ou des bagages empilés les uns par-dessus les autres.
Dehors, une vingtaine de Tueurs à la peau bronzé s'activaient, comme on pouvait l'imaginer, à préparer leurs bagages. Il reconnut Vaardri entrain de forcer tant bien que mal une tablette de pierres gravés de runes à renter dans son sac. Après y être à peu près réussis, il apperçut Warzaram.

-Ey ! dit-il en s'avançant vers lui. Tu t'sens en formes ?
-Où allez vous ? répondit-t-il.

Le Tueur se retourna vers ses compatriotes comme s'il venait de tout juste de s'apercevoir des préparatifs générals. Après un long moment de silence, il reprit, soudain joyeux :

- A Bel Aliad ! Nous partons chercher des vivres pour l'camps. La ville est à un jour d' marche. Tu connais ?
-Vaguement... répondit Warzaram.

Il se souvenait de contes qu'il avait entendu alors qu'il était enfant.

-J'y vais souvent. continua Hache des Sables.

Il renifla.

-t'attend pas à la ville des contes pour gosses. Maint'nant, c'qu'une ruine. Des tas de pierres. Avec quelqu'huttes dessus pour les pauv' habitants. C'est surtout des nomades qui viennent pour l'eau. Y s'ont d'quoi manger, donc d'quoi vendre. Et pour pas cher, en plus. et... Grimnir ! Faut qu'on se dépêche de partir ! Le jour va bientôt s'lever et les autres vont se reveiller ! Viens, vite, on y va !

Vaardri parti vers la sortie du camps en faisant des signes silencieux aux autres d'y aller. Les tueurs, une drôle de lumière dans les yeux, mirent leur sac à dos et suivirent leur chef.

Lorsqu'ils se furent suffisament éloigné du camps, ils entendirent un hurlement de rage venir du camps. Puis un autre. Puis le reste. Les autres tueurs en marche ne se retournèrent pas.

-Dit, demanda Warzaram, pourquoi vous...
-Ils pouvaient pas tous v'nir, et ils le voulaient tous. le coupa Vaardri.

Sans demander plus de question, il se remit en route.

Le soleil était haut et brûlant dans le ciel quand ils s'abaissèrent à faire une pause dans un minuscule oasis. Warzaram se brûla les doigts sur le sable et dû s'asseoir sur une pierre pour ne pas devoir courrir un peu partout en jurant et en se tenant son fessier. il se demandait vraiment comment pouvait faire les tueurs du désert pour marcher pieds-nus. Vaardri vint près de lui.

-Aaaah... dit-il en s'allongeant dans le sable, ce qui fit grimacer Warzaram. Y'a pas à dire, une pause d'temps en temps ça fait pas d'mal !

Warzaram ne répondit pas et regarda un lézard se jeter désesperement dans l'eau pour trouver un peu de fraicheur. Vaardri fouilla dans son sac et sortit sa tablette.

-Qu'est-ce que c'est, des nomades ? lache-t-il soudain avec le même air qu'un enfant nain qui demande comment est né petit-frère Borgrim.

Vaardri quitta des yeux sa tablette et le regarda en louchant, d'un air abassourdi. Un joli coktail pour faire du ridicule mais Warzaram ne fit pas de commentaire.

-Baah... commença-t-il. Les nomades, c'est des gens qui.. hum... qui ont pas d'maison, et qui font que bouger.
-Ah ! s'exclafa Warzaram. Des Wanaz !

Le Tueur se gratta la tête.

-Non, non ! Juste des gens qui bouge tout l'temps. Y'en a des simpas, j't'assure !

Warzaram ne continua pas sur cette question, mais resta tout de même interloqué. Pour lui, un clan sans lieu pour vivre et le mot "fiable" étaient anti-nomiques. A part peu-t-être pour Bugman...

-Comment êtes vous arrivés ici, en Arabie ? demanda-t-il.

Le tueur ne répondit pas tout de suite. Il s'étala sur le sabl en se tenant les mains derrière la tête, prenant le temps de contempler un palmier qui plongeait ses racines dans l'eau.

-C'est pas nous qui sommes venu. C'est vous qu'êtes partis. retorqua-t-il soudain.

Warzaram prit peu à peu conscience de l'impact de ces mots, comme un gigantesque coups de massue qui le fairait s'enfoncer de vingt centimètre dans le sol.

-Comment ça ?

Le tueur grimaça.

-Vous, les nordistes, vous avez pas bonne mémoire. Vous vous souvenez pas des vrais choses.

Nouveau coups de massue, presque aussi violent.

-Mais...
-C'est ici qu'on vivait avant, y'a looongtemps. le coupa-t-il.C'est ici que vivait nos véritables ancêtres. Et ici se trouve le berceau de Grungni, Grimnir et de Valaya.

Il fit un vague geste de mains vers le Sud-Est.

-Enfin, plutôt par là bas. on a un peu bougé, en 7000 ans.

Warzaram se tut, abasourdis. Toujours avait-il cru que son peuple était né comme lui et ses frères. Au même endroit.

-Pis vous êtes partis vers le nord, pour creuser. Nous, on est resté. Trop attaché à nos désert et à nos montagnes de diamants et d'obsydienne. Ch'ais pas si on a eu une bonne idée... finit le tueur.

Il y eu un long moment de silence, seulement perturbé par la respiration rauque du tueur et les "plif plaf plof" des gourdes et des pierres dans l'eau.

-Et pourquoi vous n'êtes pas rester dans les montagnes ? demanda soudain Warzaram.

Vaardri hochat des épaules.

-Sais pas. Sans doute qu'il n'y avait plus rien à en tirer. Dans le desert, nous avons trouver de nouvelles richesses à exploiter.

La discussion se finit là. Warzaram sortit sa hache et la ponça avec une pierre.Vaardri, quant à lui, reprit sa tablette et s'entreprit de la lire.

-Ah, sacré Gotrek ! lacha-t-il, perdu dans ses pensée

Et c'est que t"cris vite en plus (enfin plus que moi, c'est oas compliqué )

J'aime toujours autant :)

Excellent !

C'est vraiment genial vivement la suite, t'es tres doué, enfin de tt facon je t'avais deja dis que j'aimais beaucoup ton style

A quand la prochain ?

EDIT Thormin: Attention, sujet datant de 2 mois, fais gaffe à l'avenir (à ne pas prendre mal, donc^^)
EDIT Grimm : j'ai gentillement demander a Warzaram d'aller poster pour mon recit, et il m'a aussi demander de le faire pour le sien alors je le fais
Tu sais Thormin, quand je fais qq chose c'est souvent qq de reflechis alors est confiance