Karak Draka royaume des Nathrong
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 Karak Thorn part en guerre

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Vulkan Drake
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Vulkan Drake
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MessageSujet: Re: Karak Thorn part en guerre   Karak Thorn part en guerre - Page 2 EmptyMer 7 Jan 2009 - 13:08

La suite (enfin) où on en apprend un peu plus sur le "bad guy".

Depuis si longtemps il rêvait de fouler ces terres, de ressentir à nouveau le souffle glacé du rude climat de Norsca. Assez paradoxalement, le bruit que produisait la neige sous ses pas réchauffait son être, tel un bon feu dans une cheminée. Toutefois il savait pertinemment qu’il s’agissait d’une illusion induite par son esprit, en particulier cette part ancienne et qu’il méprisait au plus au point.
Lui, Tharkos, dit le noir par ses pairs, faisait partie d’une espèce honnie de tous depuis un brutal jour d’hiver…
Depuis ce qu’il paraît être une éternité, il n’avait eu de cesse de trouver un moyen de se venger d’un affront, d’une trahison de la part de ses proches amis et même de la part de son propre frère.

Son âme désormais immortelle errait dans les sombres et inhospitalières terres des dieux sombres depuis près de dix ans. Dix seulement… lui-même ne parvenait pas encore à y croire.
Tandis qu’il descendait les froides marches de Karek Iglaz, les souvenirs affluaient dans son esprit embrumé par la haine et la corruption.
Au fur et à mesure de la descente de l’escalier de marbres, les scènes d’actes qui lui semblaient antiques repassaient devant ses yeux.
Il revit ce funeste jour d’hiver, il se revoyait vingt ans plus tôt en compagnie de sa famille d’antan, il revoyait le regard sévère de son père, un homme bourru, prompte à la violence, un imbécile notoire mais un chef courageux et un guerrier exemplaire, il fallait bien lui admettre cela.
Il revoyait le doux visage de sa mère, antithèse parfaite de son paternel, lui était à la laideur et à la colère ce qu’elle était à la beauté et à la douceur… un ange comme disait les hommes du sud. Un ange… curieux mot, bien un concept étrange de ces faibles paysans superstitieux peuplant l’Empire.
Mais il était vrai que sa mère lui avait toujours donné l’impression d’être une sorte d’esprit là pour veiller sur lui, une femme envoyée sur terre par les dieux eux-mêmes pour veiller à son bonheur à lui et à son frère.
Son frère… en ce temps il était son plus fidèle ami et confident, malgré toutes leurs différences. Ils étaient comme les deux faces d’une même pièce, son frère était un guerrier accomplit, et bel homme avec ca. Les femmes de la tribu lui jetaient des regards envieux, d’un simple claquement de doigt il aurait pu les avoir toutes pour lui, lui le grand séducteur. Et comme si cela ne suffisait pas il était un orateur charismatique, capable de réchauffer le cœur de tous les membres de la tribu d’un simple discourt, il était le fils parfait dont avait toujours rêvé son père.
Alors que lui-même…
Il portait alors le nom de Gundar, un nom qui signifiait selon les sages « nuit », si ces imbéciles de vieillards superstitieux devaient avoir raison s’eu été sur ce sujet.
A l’époque il était un homme de carrure bien plus frêle qu’à présent, un homme très grand dont la maigreur affligeante le révoltait, un jeune homme timide et au teint maladif. Un bon guerrier mais au talent ignoré par ses pairs, occulté par son frère si impressionnant. Tandis que son frère abattait son premier ours après une chasse de deux jours et deux nuits, lui, avait mémorisé et traduit dans trois langues les textes anciens contenus dans la pseudo bibliothèque des sages du clan et cela en moins de deux jours.
Ils n’avaient alors, lui et son frère que seize printemps.
Il était le cerveau, et son frère le muscle, et dans un monde aussi misérable et archaïque, seul l’un d’entre eux aurait une place parmi les dirigeants du clan.
Et ce fut tout naturellement son frère qui fut choisit…

Il était un intellectuel plutôt qu’un guerrier, il comprenait instinctivement des choses qui échappaient totalement aux « sages ». Il avait apprit avidement les conseils et les rares secrets que lui accordaient les nains de Karak Thorn. Il avait même un jour proposé les plans d’un systèmes ingénieux pour accroître la puissance du moteur des gyrocoptères. Malheureusement, ces irascibles nabots bornés n’avaient même pas daigné jeter un œil sur ses travaux, la faute à sa « race « : « Laisses donc ces trucs au nains, l’umgi ».

Les nains et les membres de son clan lui jetaient des regards teintés de suspicion, on ne lui faisait aucunement confiance, ils pensaient que son esprit était touché par les sombres dieux… que sa curiosité n’était pas naturelle pour un homme du nord.
Il était là, à cette époque, coincé entre deux races qui ne lui accordait pas plus d’intérêt qu’à un caillou sur la route. Son intellect aurait fait de lui un génie parmi les ingénieurs nains, mais sa condition humaine le condamnait à rester parmi un peuple d’arriérés, à vivre dans une société où la force dominait.
Il avait alors souvent pensé à fuir vers le sud, pour satisfaire son insatiable curiosité, plusieurs fois il songea même à rejoindre les rangs des fidèles de Tchar ou Tzeentch comme il est nommé dans le sud.
Mais la présence de sa mère le ramenait toujours dans le droit chemin, sa douceur et sa clairvoyance le rassuraient à chaque instant. Elle, au moins, avait perçu en lui son indéniable potentiel. Ce fut elle qui le guida vers le vieux Snorri, un vieil homme qui vivait en marge de la tribu, un fauteur de trouble notoire selon son père.
Mais c’était un sorcier, oh pas un de ces mages tout puissants que l’on trouve chez les elfes ou les serviteurs des dieux sombres, mais il était capable de converser avec les morts et d’invoquer les esprits des animaux totémiques. Rien de bien dangereux en somme dans un monde où dragon, démons et roi sorciers marchent parmi nous. Mais c’est cet homme qui lui dévoila les secrets de la magie, du moins les rudiments.
Ensemble ils passèrent des nuits, des semaines, des mois à converser sur la nature de l’univers, à s’entraîner.
Le vieux Snorri était bien trop heureux d’avoir enfin trouver une personne avec qui converser, une personne à qui transmettre son héritage, ses connaissances qu’il avait accumulé durant toute une vie.
Gundar, quant à lui trouvait en l’ancien, le père qu’il n’avait jamais eu, un homme qui ne désirait que son bonheur. Il avait découvert à ce moment un autre univers inconnu mais emplit de promesses. Le monde de la magie ne montrait aucune limite, à chaque fois qu’ils parvenaient tous deux à résoudre une énigme, une autre apparaissait et leurs connaissances et pouvoirs augmentaient parallèlement.
Au bout de quatre mois d’apprentissage, il était capable d’invoquer l’esprit du corbeau, le messager, et celui de l’ours, la force. Il était capable grâce à eux de voir plus loin qu’un simple mortel, il pouvait voir à travers les montagnes et les plaines, il pouvait voir des choses lointaines, si lointaine…
Au bout d’un an, il était en mesure de concentrer l’énergie qui jaillissait du grand nord et le concentrer dans la paume de sa main avant de modeler selon sa volonté et de la projeter sur ses ennemis. La première tentative avait conduit accidentellement à l’incendie de la hutte de Snorri. Les deux sorciers avaient quelque peu galéré avant d’éteindre le brasier, avant de tomber tous deux dans la neige dans un grand éclat de rire. Ce souvenir arracha presque à Tharkos un sourire, ce fut l’un des rares bons souvenirs qu’il gardait de cette maudite époque.

La complicité entre Snorri et Gundar dura encore cinq ans, durant lesquels ils discutèrent encore longuement de la nature et des secrets qu’elle contenait. Leurs talents magiques devinrent plus important que ceux des chamans des tribus voisines. A tel point que Snorri, surnommé le « Bizarre » par les membres de la tribu en venait à être craint, et ce malgré ses prouesses magiques contres les hommes en armures du nord. Gundar, quant à lui avait fait grand soin de masquer à ses proches ses nouveaux talents, de peur de la réaction de son père. Même sa mère ignorait ses capacités, même si elle devait avoir des soupçons, mais elle n’en faisait pas mention.
Snorri s’éteignit à l’âge de soixante printemps dans son sommeil. Gundar venait de perdre son plus proche ami, il avait éprouvé un sentiment de tristesse sans précédents, un sentiment que même les paroles de sa mère et de son frère ne parvinrent à calmer.
Gundar passa alors son temps enfermé dans sa hutte, dédaignant même les invitations de sa mère. Il continua le travail du vieux Snorri et améliora ses talents, l’univers livrait un par un ses secrets. Il n’avait plus qu’une idée en tête : parvenir à ramener Snorri d’entre les morts, toutefois cela restait en dehors de ses capacités ce qui ne fit qu’accroître son isolement.
Soucieux de l’état de santé de Gundar, son frère lui rendit visite et ils discutèrent longuement, comme seul savent le faire deux frères. Les jours qui suivirent, ils se virent plus souvent, Gundar reprenait goût à la vie, il participait plus régulièrement aux activités du clan. Il participa même à la Grande Traque, une chasse importante destinée à rapporter suffisamment de viande pour tenir l’hiver. Et il se révéla des plus utile, il semblait savoir par avance où se cachait les ours et les mammouths. Cet hiver là le clan pu manger à satiété sans jamais manquer de provisions. Mais son père refusait encore et toujours de lui accorder le respect et l’honneur qui lui était dû, clamant durant le banquet de la Grande Nuit que le succès de la Grande Traque n’était dû qu’au talents de son frère. Son orgueil blessé, Gundar laissa libre cour à sa colère et devant l’intégralité du clan déchaîna ses pouvoirs en projetant un vague d’énergie sur son père, le projetant plusieurs mètres plus loin. Son père se releva avec effort, et tous purent lire de la peur dans ses yeux, mais le mal était fait.
Tous les membres de la tribu commencèrent à l’éviter comme la peste, murmurant dans son dos des choses ignobles. Il fut mis à l’écart du clan, mais pas banni, pas encore du moins. Seul son frère et sa mère s’opposèrent à son bannissement et même à sa mise à mort, mais de toute façon, personne n’aurait eu le courage de lever la main sur lui après sa démonstration de pouvoir.
Pire encore les membres du clan commencèrent à parler du vieux Snorri comme d’un démon qui aurait perverti son âme. Ce fut l’étincelle qui mit le feu aux poudres, Gundar pouvait vivre à l’écart, il en avait l’habitude et même développé un certain goût. Mais dénigrer ainsi l’âme de son mentor lui était insupportable, cet homme était un homme de valeur, plus ouvert spirituellement que tous ces sauvages et de principes, farouchement hostile aux agissements contre-nature des sorciers servants les sombres dieux. Il lui avait toujours enseigné que la magie devait permettre d’aider la nature et les hommes, pas les réduire en servitude ou les détruire…
Ivre de colère, Gundar gagna le camp du clan en pleine nuit, bien décidé à venger cet affront, armé d’une hache il libéra maints sortilèges sur les huttes, incendiant les stocks de nourritures, faisant fondre les armes des guerriers et coulant les drakkars de la tribu libérant maints maux tel des nuées de corbeau sur les villageois.
Nul ne s’opposa à son courroux à l’exception d’une jeune femme à la beauté incroyable, qui pleurait devant l’incendie de sa demeure. Mais plus que par tristesse, Gundar lut dans son esprit qu’elle craignait pour sa vie, voyant ce qu’était devenue le fier et noble Gundar. Cette révélation anéantie totalement Gundar qui sombra à genoux des larmes de regret coulant sur ses joues. Il délivra un ultime sortilège qui mit fin aux incendies, les armes reprirent leurs formes d’autrefois et la nourriture réapparue parmi les cendres des réserves.

Il balbutiait à propos de l’offense fait à la mémoire du vieux Snorri, mais rien n’y fait les hommes et son père le battirent quasiment à mort sur le lac gelé. Contre toute attente, Gundar n’émis aucune protestations, aucun son et subit un tourment tel qu’un esprit plus faible aurait cédé à l’étreinte glacée d’Helà, la déesse norse des morts.
La colère de son père fut terrible, il délivrait ses coups comme s’il frappait sur un ours, chacun de ses coups broyant un os, lacérant son visage, humiliant chaque fois un peu plus celui qu’il n’avait jamais considéré comme son fils.
Après ce qui sembla être une éternité, les hommes jetèrent le corps inanimé dans les profondeurs glacées du lac, le condamnant à une mort certaine…


Dernière édition par Vulkan Drake le Mer 7 Jan 2009 - 13:12, édité 1 fois
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Vulkan Drake
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MessageSujet: Re: Karak Thorn part en guerre   Karak Thorn part en guerre - Page 2 EmptyMer 7 Jan 2009 - 13:11

Il reprit connaissance trois jours plus tard dans sa propre hutte, légèrement hagard et incapable de faire le moindre geste, chacun de ses os ayant la consistance de la neige qui recouvre les plaines de Norsca.
Monopolisant ses dernières poches de volonté, il se consacra à guérir magiquement chacune de ses blessures une par une. Guérit mais épuisé il sombra de nouveau dans les ténèbres de l’inconscience…

A son réveil, il trouva sa mère et son frère à son chevet, ils avaient les trais tirés, comme s’ils avaient veillé longuement à ses côtés chose qui s’avéra véridique lorsqu’ils expliquèrent ce qu’il s’était passé.
On l’avait trouvé brûlant de fièvre dans sa hutte, ses blessures miraculeusement guéries mais hurlant dans son sommeil des choses épouvantables sur un enfer peuplé de mort et gardé par un loup gigantesque puis soudain on retrouvait Gundar sanglotant demandant pardon à Snorri pour ses actes. Alerté par ses délires, sa famille s’était regroupé loin de son père pour veiller sur lui.

Gundar tenta maladroitement de s’excuser pour ses actes irréfléchis de l’autre nuit, pleurant de tout son être pour qu’on lui accorde le pardon… en vain. S’ils avaient veillé sur lui, ce n’était qu’en raison des liens du sang. Calmement ils lui expliquèrent que tous les membres du clan venait de voter son bannissement et la sentence était irrévocable. Dès qu’il serait en mesure de marcher, il devrait partir pour ne plus jamais revenir.
La nouvelle le secoua comme un coup de masse, sa propre mère avait demandé son départ… anéanti au plus profond de son âme il se mit à sangloter de plus belle, jamais il ne s’était senti aussi abandonné, il n’avait plus aucune attache qui le reliait à ce monde…
Au moment où sa mère et son frère le quittèrent, Gundar posa une dernière question : qui l’avait secourut en le sortant des abysses mortels du lac ?
On lui indiqua qu’il s’agissait de la jeune femme dont il avait lut les pensées…

Son mentor lui avait dit autrefois : vois-tu mon jeune ami, malgré tous nos pouvoirs il ne restera qu’un seul mystère que nous ne seront jamais en mesure de résoudre : la femme, vois-tu serais-tu aussi puissant que les dieux, le cœur des femmes te serait encore fermé… en voilà un mystère intéressant…
Jamais ces mots ne sonnèrent si juste, sa propre mère le condamnait à mort sans aucun regret, et une jeune femme qu’il était sur le point de tuer risquait sa vie pour sauver la sienne…

Les jours passèrent, jusqu’au jour où Gundar fut suffisamment remis de ses blessures pour prendre enfin la route vers l’infinie.
Il avait rassemblé quelques affaires, bien peu en réalité, Gundar n’était pas un grand sentimental, il ne s’encombrait jamais de babioles inutiles. Il marcha jusqu’au tumulus de Snorri, il lui adressa un ultime remerciement puis le quitta sans se retourner pour se diriger vers le village, faire ses adieux à sa mère et son frère.
Le soleil se levait timidement à l’horizon, la neige crissait sous ses bottes, ses cheveux et sa barbe tressés à la mode norse. En lui-même il se dit que c’était une belle journée, et il prit cela comme un nouveau départ, une chance de recommencer sa vie ailleurs.
La route entre sa hutte et le village était longue, et il fallait passer une série de falaises de glace, au fur et à mesure de son approche, il notait une odeur de grillé, sans doute le repas qui rôtissait, Gundar en avait l’eau à la bouche, peut être conviendront-ils à lui en laisser un morceau pour le voyage ? Toutefois malgré ses pouvoirs, il ne parvenait pas à voir le village, quelque chose bloquait sa vision « magique » , sans doute était il encore trop faible pour user de magie aussi tôt.


Puis enfin le village s’offrait à lui, ou plutôt ce qu’il en restait : toutes les huttes finissaient de se consumer, les corps des femmes et des enfants étaient entassés en un ignoble tertre, hommage macabre à ce qu’on appela par la suite le Ilindir Lor Nark, la nuit sanglante.
Poussé par une curiosité macabre, Gundar examina les corps, et remarqua avec horreur que tous sans exception avaient la gorge arrachée, comme par un lion des neiges. A ceci près que les fauves ne brûlent pas les villages qu’ils attaques…
Parcourant le tas de cadavres, il aperçu le visage de sa mère, figé dans un rictus de terreur : ce fut le coup de grâce pour l’esprit fragilisé du nordique. Saisit d’une folie, Gundar se saisit d’une épée reposant près du tertre et usa de ses pouvoirs pour repérer la piste des monstres ayant perpétrés ce carnage.
Immédiatement, une série d’empreintes écarlates se dessinèrent sur le sol gelé, menant vers le sud. N’écoutant que sa colère, et mue par l’énergie du désespoir, il se lança sur la piste sans regarder derrière lui.

Plusieurs heures durant, Gundar couru dans la neige à la poursuite des meurtriers, s’aventurant toujours plus encore dans les territoires inexplorés du sud. Jusqu’à ce qu’enfin il l’aperçut…




Désolé pas beaucoup de nains cette fois ci, mais il fallait que je présente le méchant (un perso qui me tient beaucoup à coeur et qui deviendra très intéressant par la suite Twisted Evil ).
On avance pas beaucoup dans l'histoire, mais j'ai déjà la fin (qui va en surpprendre plus d'un grenn enfin j'espère).
Bon c'est pas tout faut vraiment que je finisse cet arc...
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Traguente Xtravène
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MessageSujet: Re: Karak Thorn part en guerre   Karak Thorn part en guerre - Page 2 EmptyMer 7 Jan 2009 - 15:22

Intéressant... Est-ce que c'est ton général CV ?

J'attends la suite !
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Don Barikson
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MessageSujet: Re: Karak Thorn part en guerre   Karak Thorn part en guerre - Page 2 EmptyMer 7 Jan 2009 - 15:54

héhé... c'est très bon. j'attend la suite, encore plus que d'habitude.

gorges arrachées? empreintes sanglantes, ça laisse présager un bonne rencontre, à toi de jouer maintenant. C'est d'ailleurs étrange, mais un des nouveau personnage du chaos à à peu de chose près le même historique que ton nordique, mis à part le bannissent... celui de Tzeentch, le marionetiste.

En tout cas, c'est du grand art
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Grumdor Le Gris
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MessageSujet: Re: Karak Thorn part en guerre   Karak Thorn part en guerre - Page 2 EmptyMer 7 Jan 2009 - 16:52

Citation :
faut vraiment que je finisse cet arc...
De quoi tu parles ? :interro :

Comme d'hab', c'est trés bon ! J'attends la suite.
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Vulkan Drake
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Vulkan Drake


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MessageSujet: Re: Karak Thorn part en guerre   Karak Thorn part en guerre - Page 2 EmptyMer 7 Jan 2009 - 17:10

Grumdor Le Gris a écrit:
Citation :
faut vraiment que je finisse cet arc...
De quoi tu parles ? :interro :

Définition Arc (story-arc) : ensemble d’épisodes formant une histoire complète (notons cependant que la plupart des évènements ont des conséquences sur la vie des personnages et sont donc, par nature, une partie d'un tout en devenir et non une histoire à part entière pouvant s'arracher de la continuité).
C'est plus un terme utilisé dans le domaine des comics, mais j'ai l'habitude de l'utiliser un peu trop...

Sinon merci pour vos remarques, je commence la suite, c'est pas les idées qui manques (j'ai calculé qu'au rythme de 10 lignes word par jour, il me faudrait ~1 an et 3 mois pour tout écrire => va falloir raccourcir).

Autrement, oui Tharkos est mon général vampire (et fier de l'être).

Citation :
C'est d'ailleurs étrange, mais un des nouveau personnage du chaos à à peu de chose près le même historique que ton nordique, mis à part le bannissent... celui de Tzeentch, le marionetiste.
J'étais écoeuré de voir ca, bon en même temps c'est un grand classique dans l'héroic fantasy (non :interro : ).
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Grumdor Le Gris
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MessageSujet: Re: Karak Thorn part en guerre   Karak Thorn part en guerre - Page 2 EmptyMer 7 Jan 2009 - 17:42

Merci.
Dire que mes parents m'ont toujours dit que c'est pas avec "mes warmeurs" (c'est comme ça qu'ils disent...) que j'apprendrais des trucs !

Ne raccourcis pas ! Plus c'est long, meilleur c'est !
PS : que personne n'ait de pensées males placées sur cette dernière expression !
PS2 : et ne voyez pas de jeu de mots avec " pensées males placées"... merci.
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Don Barikson
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MessageSujet: Re: Karak Thorn part en guerre   Karak Thorn part en guerre - Page 2 EmptyMer 7 Jan 2009 - 17:57

encore une ou deux comme ça et nous aurons Grumdor le Rose, Heraut de Slaanesh
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