Campagne de Bugman 1- "expédition vers les plaines de Zharr"

Voici la présentation de la campagne:

Membres du groupe:
-Dammaz, thâne pnj
-8 poils-au-menton pnj
-Stramnarov Parle-Pierre, maître des runes joué par Krankar Svensson
-Grundil Poing d'Acier, ranger joué par Gromdal
-Ordin, martelier joué par Polo
-Gromgar, tueur de trolls joué par Gorgii (qui arrivera en cours de campagne)
-Grunek le sauvage, tueur de trolls joué par Dohkoj


Tour de jeu normal :
Pas d'ordre particulier.
Tour de jeu en combat:
mj, Krankar, Gromdal, Polo, Dohkoj, Gorgii (quand il sera présent)...

Aussi, je voudrai vous demander une chose:
Déjà respectez l' ordre de jeu.
Ensuite tout post sera un RP, pas une discussion sur la pluie ou le beau temps.
Seul les joueur et moi seront autorisés à participer au sujet.
Merci, le respect des ses règles permettra un bon déroulement du jeu et une bonne lisibilité pour moi, les joueurs et les autres nain voulant lire l' aventure.

Ensuite, les messages hors RP doivent être placé entre 2 *.
Les messages de perte de pv ou de pvi sont marqués par moi en rouge.
Les messages de gains d' xp ou de niveau sont marqués par moi en vert.
Les messages devront comporter un minimum de 5 lignes et un maximum de 25 (quelques lignes en plus c' est pas grave).

voilà, maintenant les 2 règles les plus importantes:
-le mj a toujours raison (ou presque toujours).
-surtout, amusez-vous bien !

*maintenant je post le premier message de la campagne, ensuite vous appliquez l' ordre de jeu*

Cela faisait déjà deux jours que Dammaz et sa troupe marchaient dans les montagnes du bord du monde. Dans deux autres jours la bande passera la frontière des plaines de Zharr. Dammaz avait recruté peu de guerriers mais certains paraissaient plus expérimenté que les jeunes nains. Parmis ces nains il y avait deux tueurs, un ranger, un martelier et un apprentit maître des runes, paraissant jeune par l' apparence mais ancien par l' esprit. Il y avait aussi six autres jeunes nains qui ne semblaient n' avoir jamais combattus.
Dammaz sortit la carte où l' éclaireur qui était partit localiser le roi avait marqué d' une goute de sang l' endroit exact du campement ennemi. D' après mes estimations, il devrait nous rester seize jours de marche avant de passer la frontière.
Ce qui le rassurait, c'était qu' ils avaient assez de nourriture et de boisson surtout, pour tenir pendant cinquante jours au moins.

*A toi Krankar, ensuite continuez dans l' ordre, il y aura de la baston quand tout les joueurs (sauf Gorgii) auront posté un messages.*

[Grom]Fautes corrigées !
Rien de bien grave mais fais attention à tes conjugaisons et aux quelques "s" qui apparaissent et disparaissent de temps en temps et ce sera parfait !

*Je ne sais pas si c'est une super idée cet ordre. Perso je suis pas convaincu, enfin.*

Saletés de Dawi Zharr. Ils avaient enlevés notre Roi, certainement pour lui faire subir des tortures affreuses voir le réduire en esclavage. Tandis que nous nous enfoncions dans les Montagnes du Bord du Monde, je sentais monter un mauvais pressentiment. Toute cette mission allait mal finir c'était sûr.

Tirant sur ma courte barbe, je ruminais en marmonnant un peu. J'avais gardé cette habitude, même si ma courte-barbe m'identifiait comme un Nain jeune. En effet à la suite d'un incident magique inexplicable j'avais rajeuni de cinq bonnes centaines d'années passant de l'âge vénérable de six-cent ans à celui de nanillon de cent ans. Et le pire était que j'avais oublié tous les secrets des runes. Mes pouvoirs étaient encore là, mais enfouis, comme à mes débuts. Par contre je me rappelais très bien tout ce qui était arrivé avant l'accident ce qui faisait que malgré que ma barbe nne mesurait qu'une dizaine de centimètres, tous m'écoutaient comme si j'étais un Longue Barbe ce qui était le cas d'ailleurs.

Sortant de mon grommellement, j’empoignais mon bâton et observait les alentours. Rien ne semblait devoir troubler le calme qui planait dans les environs mais on est jamais trop prudent. Je l'avais appris en voyant un Assassin Skaven égorger un Thane qui s'était assis sur un trône sans regarder ce qui se cachait derrière. Je m'approchais ensuite du Ranger qui était revenu de sa mission d'avant garde. J'engageais la conversation d'une voix étrange. Ferme et sage comme quand j'avais six-cent ans:

"Alors, depuis quand êtes vous Ranger vous? Vous m'avez l'air d'un Ranger plein d'expérience."

*Allez, hop, mon premier message RP !*

Grundil marchait avec la troupe depuis deux jours. Apparemment, leur mission était de secourir un certain Roi, et tous seraient grassement récompensés s’ils réussissaient. Mais ce n’était pas vraiment l’argent qui intéressait Grundil. Plutôt tuer des Dawi Zharr, pour tout dire. ‘Fin bon, ça va peut-être être différent que des Grobi ! Qui sait ? pensa-t-il. Mais il ne doutait pas qu’ils n’allaient pas manquer de besogne : une petite quinzaine de dawi contre des dizaines de leurs lointains cousins corrompus, ça allait en faire des victimes par Dawi ! Pas que ça l’inquiétait, bien au contraire…
Mais un bruit le tira de ses pensées :

"Alors, depuis quand êtes-vous Ranger vous? Vous m'avez l'air d'un Ranger plein d'expérience."

C’était un jeune Nain, à l’air ferme, qui lui avait adressé la parole. Grundil se retourna pour mieux observer son interlocuteur, interloqué par la façon que ce dernier avait de prononcer ses propos. Tiens, c’est curieux, on dirait que ce jeune a des manières de longues barbes… Étrange… Mais ce qui ne l’empêcha pas de répondre :

« Moi ? Ranger ? Depuis, cinquante-sept ans, oui oui oui… Expérimenté ? Ah, pour ça j’en ai vu, des choses, ouais ! J’en ai tué plein, aussi… Mais bon, ça fait que cinq dizaines d’années que j’fait le métier alors, expérimenté… dans cinquante ans plus tard, oui, peut-être ! »

Grundil rit doucement et envoya une claque amicale dans le dos du Nain.

« Ah, et puis appelle-moi Grundil ! Et arrête de me vous-voyer, hein ! Comme on va en passer un bout de temps ensemble, autant s’faire ami-ami dès le début, nan ? Ouais, ‘fin bon, je parle, je parle, mais toi ? Comment qu’tu t’appelles ? »

*Au fait, c'est bien beau, tout ça, mais les dialogues, comment on va faire si on doit attendre tout le monde pour répondre ? *

*Mj: ok, je fais faire autrement, l' ordre ne s' appliquera uniquement en baston, et la baston arrivera donc quand je le désirerai, je n' attendrai donc pas que chacun est posté. Ca vous va mieux ainsi ?*

Mais qu'elle idée ai-je eu de m'engager dans cet aventure? Ce s'ra dangereux qu'il nous disait.

Comme à mon habitude je marchais en fin de peloton grommelant sur ma destiné qui ne voulait toujours pas se dessiner. J'avais déjà entendu parler d'un tueur vagabond qui parcourrait les terres avec un humain sans jamais connaître son destin, une légende surement, et je me demandais si je ne deviendrai pas comme lui malgré ma vengeance accomplie. Je me souviendrai toute ma vie de ce jour tragique qui me fit quitter mon Karak pour les plaines entourant Zorn-Uzgul, un peu au nord d'ici. En jetant un oeil dans cette direction, je perçus rapidement les sommets des montagnes du nord et la mélancolie m'enveloppa.

Toujours aussi majestueuses, elles ne change pas....

Je remarqua quelques pas devant moi et y vit le 2ème tueur. Si je me souviens bien notre réunion devant le roi, son nom est Drenga ou Drengo, enfin quelque chose comme ça. Que lui est il passé par la tête pour se retrouver comme moi, embarqué dans cette longue et pénible marche vers les plaines de Zharr? J'aurai tout le temps de lui demander je pense. En attendant, ce pays est plus que tranquille, chose étrange à l'est des montagnes. Peut-être devrions nous méfier, un léger frisson me parcourut, surement l'excitation qui revenait.

Ce qui m'inquiète le plus c'est la jeunesse du groupe, personne, mis à par ce tueur, n'a l'air d'avoir connu la férocité des combats. Je décida alors, je ne sais même pas pourquoi de remonter un peu le long du chemin vers l'avant du groupe. Au passage je donna un coup de coude au tueur et lui fit signe de venir. Le groupe aura surement besoin de nous dans peu de temps, et je pourrai peut-être enfin connaître ma destiné.

"Viens avec moi, remontons à l'avant!" dis-je froidement au tueur en passant à côté de lui.

"Je m’appelle Stramnarov Parle Pierre. Et on ne le dirait pas mais j'ai plus de six-cent ans, mais je suis d'accord pour v... te tutoyer, Grundil. Je pense qu'on va bien s'entendre tous les deux. Dis moi, as-tu déjà rencontré des Dawi Zharr? Moi oui il y a deux centaines d'années, leurs sorciers sont redoutables, mais pas assez forts pour briser les enchantements d'un Seigneur des Runes..."

Le ranger n' avait pas encore eu le temps de répondre que Dammaz coupa les discutions, en criant:
-Il commence à fair nuit, et on a marchés toutes la journée sans faire de poses, alors là, j' ai vu une grotte où on va s' arrêter pour se reposer, daccord ?
Le groupe rentra dans la grotte, puis les diférents nains reprenaient des activités normal, il buvaient, mangeaient, certains dicutais et d' autre se reposais.

Cela faisait deux heures que le groupe se trouvait dans la grotte, quand une douzaines de flèches arriva dans l' abri des nains.
Malgrès que la plupart d' entre elles ratèrent les nains, une d' elles transperça un tonneaux de bière et une autre toucha l' épaule d' un des jeunes nains.
-Nous sommes attaqués !, cria un des poils-au-menton.
A peine, le nain avait prononcé cette phrase qu' une vingtaine de gobelins rentra dans la grotte. Ils étaient armés de lance et de boucliers.
A l' entrée de la grotte, il y avait une quinzaine de gobelins portant des arcs courts.
Au milieu des lancier, se trouvait un gobelin, paraissant plus fort que les autres et ayant une terrifiante cicatrice qui passait par son oeil gauche.
Il montait un loup géant de couleur noir et portait une épée couverte de sang et une armure légère.
-Tué lé barbu !, cria le boss gobelin, Chargé !
Les lanciers chargèrent vers les nains, et les archers tiraient leur flèche, la plupart touchant le dos d' un autre gobelin.
Le boss, quand à lui, laissait paraître un rictus cruel sur ses lèvres, attendant qu' un nain le défi.

*Veuillez laisser en vie le boss et son loup, cela à une importance pour la suite, merci*
*Veuillez respecter l' ordre de jeu en combat, merci*
*Gromdal, ne corrige pas les fautes que j' ai fait quand le boss parle, c' est fait exprès, merci*

Je me réveillais en sursaut quand j'entendis un poil au menton crier "nous sommes attaqués".

Après avoir un peu repris mes esprits j'essayais de voir s'il y avait des énergies magiques. Parfait ils n'avaient pas de chamanes avec eux. Je me ruais alors sur l'un des Gobelins et lui fracassais le crane de mon bâton runique. Puis je fracassais la poitrine d'un autre gobelin. Voyant que les Nains ne savaient pas vraiment quoi faire j'ordonnais à quelques poils au menton d'aller attaquer les archers qui nous bombardaient de flèches avant de recommencer à frapper tous les gobelins qui passaient à ma portée.

Après en avoir tué une dizaine je reculais précipitamment, j'avais failli tomber tellement il y a avait de gobelins qui m'assaillaient et l'un d'eux avait profité pour me donner un coup. La lance grossière s'était brisée sur le cotte de Gromril mais l'un des fragments s'était enfoncé dans mon épaule me rendant incapable de manier mon bâton. Je saisis alors une hache qui trainait mais je savais que je ne pourrais pas me ruer à nouveau dans la bataille et préférais attendre patiemment qu'un gobelin vienne vers moi.

Grundil fut tiré de son demi-sommeil par le cri d’un de ses compagnons :

« Nous sommes attaqués ! »

Accompagné du sifflement de la pluie de flèches qui s’abattait sur la petite compagnie. Le ranger reprit bien vite ses esprits, une capacité bien utile dans le métier, et attrapa son arbalète. Chargeant cette dernière, il avisa le combat. Une vingtaine de lanciers accompagnée d’un chef grobi s’avançait dans la caverne et combattait déjà les Nains, pendant qu’une quinzaine d’archers se chargeaient de faire pleuvoir leurs flèches sur les combattants depuis l’entrée de la caverne. Le choix ne se fit pas attendre : Grundil visa un des archers grobi avec son arbalète, le carreau transperçant la gorge du gobelin qui s’effondra dans un cri étranglé.

Désormais, il n’y avait plus de temps pour recharger l’arme et tirer, alors Grundil posa son arbalète, prit sa lourde hache qui faisait sa fierté et s’élança en hurlant contre le bloc compact des lanciers qui avaient presque rejoint le petit campement en contrebas de l’entrée. Le premier grobi essaya maladroitement de parer le coup avec son bouclier, mais le bois pourri céda sous l’impact et la hache pénétra profondément dans la chair, blessant le gobelin à mort. Grundil prit le temps d’achever sa victime, ne voulant pas se risquer à exposer son dos à un coup en traitre. À peine retirait-il son arme du cadavre qu’un nouvel adversaire s’avançait vers lui, la lance baissée. Faisant un pas de côté, il évita l’attaque et abattit en retour sa hache sur la tête de l’inconscient attaquant. L’acier rouillé dévia en partie le coup mais le fil de la hache trouva bien vite une faille dans le haubert que portait le gobelin et ce dernier tomba, gisant dans son sang.

Grundil recula un moment pour prendre un peu de répit, le souffle court. Mais déjà un nouvel attaquant se précipitait et il retourna dans la mêlée.

*J’ai pas voulu aller trop loin dans le gros-billisme, est-ce que mon post est convenable ?*

*MJ: t' inquiètes pas, t' en a pas trop tué ni pas assez. T' as fait le juste milieu.*

Je fut réveillé par un grand cris :

« Nous sommes attaqués ! »

Je me leva, empoignant mon lourd marteau, un peu désorienté par ce réveil brutal, ce fut les bruits du combat qui me réveillèrent pour de bon.

Atteint dans mon honneur de ne pas avoir été le premier à faire fusionner tête de gobelin et roche, je m’élança sur les immondes raclures qui avait osées nous attaquer. Devançant de plusieurs mètre les courtes barbes qui  étaient restées sur place, je rencontra un gobelin qui sauta sur moi la gueule ouverte mais vite remplie par la tête de mon marteau qui tenu comme une fourche dessinait une courbe pour y planter sa tête au sol et y enfoncer celle du gobelin à quelque centimètre dans la roche.

Un second sauta sur moi, je retourna mon buste d'un seul coup et mon marteau, entrainé par la force centrifuge, lui fracassa les cotes en plein vol avant de le projeter sur le sol.

Puis un autre gobelin fonça sur moi, sa lance en avant, mon marteau pointant le sol je ne disposais pas d'assez de temps et dû encaisser la charge de la lance qui se brisa en morceau de bois pourrit sur mon épaule, mais du me laisser un belle hématome. Je leva brutalement mon marteau, lui faisant rencontrer le menton de grobi qui termina encastré au plafond.

J'entendit le Maitre des runes dire au courte barbe d'attaquer les archers gobelin et alla rejoindre le ranger qui avais l'aire essoufflé et dû aplatir la cage thoracique d'un peau vert gisant au sol, et  brisa les jambes d'un second qui voulut m'arrêter, dans la mêler je rencontra le ranger et voyant la multitude de gobelin je me mit dos à dos avec le ranger, puis un grobi plus massif que les autres( surement chargé de protéger son chef) courut vert moi, il me mit un coût de masse que je para avec mon marteau, puis , profitant de son déséquilibre, je le poussa à terre , un pied sur sa main droite, le pied gauche sur ça cuise gauche, et mon marteau jeté sur sa main je me redressa et sortit ma pioche, le marteau, trop lourd pour être soulevé à une seul main, bloqua la main de Grobi, puis à la manière dont on abaisse violemment une hache sur une bûche de bois, j’abaissa ma pioche dans le crâne du grobi puis je la retira, avant d'être projeté à terre....mais par quoi ?

Cette nuit fut difficile, je n'arriva pas a trouver le sommeil.
Depuis cette après midi je nous sentais suivit, épié...quelque chose n'allait pas, c'était trop calme.

Et puis j'attendis tout à coup le "Nous sommes attaqués !" d'un des gardes de l'entrée.
Mon mauvais pressentiment se vérifié, surement mon expérience de la vie de vagabond.
Je sauta sur mes 2 jambes, mes 2 haches en main, juste à temps pour voir une flèche me passer tout près.
Je me lança dans la mélée en criant

"Pour Grimnir"

Ils n'étaient qu'une quarantaine de gobelins, ma première pensée fut un peu de déception, ce ne sera pas aujourd'hui que mon destin me sourira. Le premier peau verte rencontra une de mes haches qui, grâce à mon élan, le coupa en 2. Je frappa un deuxième gob du revers de mon autre hache, lui éclatant la tête.
Le sang et sa cervelle gicla sur mon visage me poussant un peu plus loin dans ma frénésie.

Je continua d'avancer et coupa la jambe droite d'un troisième adversaire, qui se retrouva agonisant, tenant à 2 mains son moignon, quand une flèche se figea dans mon épaule gauche, heureusement sans trop de gravité. Je perdis légèrement l'équilibre mais pu me rétablir à temps pour éviter d'être embroché par 2 lanciers qui fondaient sur moi.

En me relevant, je vis à ma gauche le maître des runes ce débarrasser de quelques adversaires, il n'avait pas l'air comme ça mais on pouvait reconnaitre là un nain expérimenté. Je frappa mortellement les 2 lanciers d'un seul coup de hache, retira la flèche de mon épaule et alla porter main forte au maître des runes.
Juste à ce moment il fut frappé par une lance qui lui fit lâcher son bâton. Je me fis un plaisir en tranchant la tête du gobelin dont le corps fit encore 2 ou 3 pas avant de tomber inerte dans une flaque de sang vert. Je me recula alors légèrement.
"Maudits archers! Pleutres, lançais-je, venez ici j'vous attends!".

+Devons nous "censurer les descriptions des tueries?+

*Garagrim se désinscrit*
*non, je ne censure pas les descriptioins de tueries, justement, je préfère les descriptrions de tueries, tant que c' est pas exagéré*

Les nains massacraient les gobelins. Cé gobz son dé abruti , pensa le boss. J'vé fér l' boulo moi mém.
Il regarda quel nain allait-il tuer en premier. Il regarda autour de lui. Puis il fit charger son loup sur un martelier.
Le choc de la charge propulsa le martelier, sous le rire des autres gobelins et du boss.
-T' va crevé mon pot !, dit le boss en regardant le martelier.
Les autres gobelins chargèrent les nains, lances baissés. Même les archers chargèrent, sortant des dagues, des épées courtes ou ramassant les armes des morts.
Une dernière flèche fut tiré, transperçant le coeur de Drengi, son lourd cadavre s' écroula, une flaque de sang se mélangeant à la bière du tonneau percé.
Les gobelins, malgrés leurs nombreuses pertes, gardèrent l' avantage du nombre.

"Non pas l'bière, on v'boire quoi? Enfoirés de Gobiz, creuvez!!!"

+j'ai fais un peu plus de description... +

*Voilà, désolé, c’est long mais je me sentais inspiré ce soir ^^*

Devant la horde de gobelin qui s’était refermée sur lui, Grundil avait reculé et se retrouvait maintenant dos à dos avec un de ses coéquipiers, qu’il identifia comme Ordin grâce au lourd marteau qu’il magnait. Bien, on ne sera pas trop de deux pour finir le boulot, pensa-t-il alors qu’un Grobi s’avançait vers lui. Un grand coup de hache et ce dernier s’écroula dans un gargouillement étranglé, tenta désespérément de retenir ses entrailles qui jaillissaient de sa bedaine tranchée et se répandaient maintenant sur le sol, le condamnant à une lente agonie que Grundil lui épargna en le décapitant d’un retour de sa lourde arme.

Mais déjà deux adversaires prenaient la place du premier, et Grundil du reculer, parant tant bien que mal les coups maladroits des Grobi, et sa joue fut garnie d’une longue plaie. Refoulant la fatigue et la douleur aussi soudaine que malvenue, il prit son élan et s’élança dans un grand coup latéral où il mit toute la force. Grand bien lui fit ce geste, car les gobelins, n’attendant aucunement une attaque de la part de cet adversaire qu’ils jugeaient faible et épuisé, n’eurent le temps de parer ce coup soudain et, avouons-le, désespéré, et se retrouvèrent avec le torse séparé des jambes pour l’un, et avec la tête séparée de ses épaules pour l’autre.

Cependant, l’élan et l’énergie condensée dans le coup entraina Grundil loin de son camarade et il partit en avant titubant. Un éclair de fourrure grise lui indiqua qu’il venait de se faire frôler par le grand loup du chef de la bande et l’envoya à terre d’une petite poussée tant le ranger était déséquilibré. Un fracas métallique suivi des rires de quelques grobi lui indiqua que son coéquipier venait de rencontrer à son tour la grande bête de guerre. C’est par ma faute qu’il s’est fait renversé, je n’aurais pas dû m’éloigner de lui ! Vite, il faut que je l’aide à se sortir de ce bourbier dans lequel je l’ai fourré. Aussitôt dit, Grundil se remit sur pied tant bien que mal et tituba vers sa grande hache qui lui avait échappé des mains lors de sa chute. Mais, alors qu’il allait saisir le manche, un pied botté se posa sur l’arme et l’envoya au loin. Lentement, Grundil leva les yeux.

Un grand gobelin, plutôt musclé, se dressait devant lui, armée d’une grande lame barbelée et d’un bouclier. Celui-là ne sera pas aussi facile à battre que les autres… Sûrement un des gardes rapprochés du chef qui vient de me passer sous le nez. Il me faut une arme, vite ! Mais l’affaire se révéla plus difficile à réaliser qu’à énoncer car à peine le ranger avait-il finit de penser ces propos que le guerrier gobelin s’élançait vers lui, un rictus cruel aux lèvres… Reculant Grundil évita un coup, puis un deuxième, mais ses pieds rencontrèrent un obstacle qui se révéla être le gobelin précédemment décapité et il tomba. Roulant sur lui-même, il eut à peine le temps de s’écarter de la lame du grobi qui s’écrasa dans le cadavre du gobelin, s’enfonçant profondément dans la cage thoracique déjà mal en point du cadavre, et y resta coincée.

Voilà ma chance ! s’exclama intérieurement Grundil. Et ni une ni deux, il s’empara d’un de ses carreaux dans sa sacoche et, le tenant fermement dans son poing, le planta violemment dans le bras de son adversaire qui s’efforçait, bandant ses muscles, à décoincer son arme — en vain. Le Grobi émit un hurlement strident lorsque la point effilée pénétra la chair et s’enfonça dans son avant-bras, le carreau pénétrant jusqu’à l’os. Le guerrier recula en sifflant, lâchant son arme pour tenir son membre blessé. Grundil ne se le fit pas dire deux fois et s’élança, prit un petit poignard de pierre taillée qui trainait sur le sol à côté du cadavre et fonça sur son adversaire. Ce dernier ne perdit pas son temps et sortit lui-même un petit coutelas de sa ceinture pour engager le Nain en combat.

Les coups s’échangèrent brièvement mais le Gobelin, grièvement blessé ne faisait pas le poids contre le ranger expérimenté, même armée d’un poignard, et, lorsqu’une ouverture se présenta, la main de Grundil s’élança et frappa du poignard la gorge de son adversaire. Le sang jaillit de la plaie béante et le gobelin s’effondra dans un gargouillis empreint de souffrance. Croyant son adversaire battu, Grundil relâcha sa garde et souffla un grand coup. Mal lui en prit car, dans son dernier souffle, le gobelin lança son bras et planta son poignard dans le bras gauche du ranger, au-dessus du coude. La douleur soudaine arracha un cri au Nain qui s’empressa de retirer l’arme de son bras, serrant sa manche dans une tentative pour arrêter le flot de sang. Dans son angoisse, il aperçut un éclat métallique derrière le cadavre chaud de son adversaire : sa hache. Titubant, il la saisit et, cette fois, personne ne s’interposa.

Hagard, les cheveux ébouriffé, emmêlés et tachés de sang — il avait perdu son casque dans la mêlée mais ne pouvait se rappeler quand, il regarda autour de lui. Drengi gisait dans son sang, transpercé de part en part. Cette vue suffit au ranger pour raviver sa haine et son envie de combat. Fort de ce regain d’énergie, il avisa le grand chef qu’il identifia par son grand loup géant. Ordin devait être en train de le combattre et il devait l’aider, coûte que coûte. Profitant d’une ouverture qui lui laissait un chemin jusqu’au chef gobelin — les autres gobelins étaient apparemment bien occupés à combattre ses camarades — Grundil s’élança, brandissant sa hache à deux mains malgré la douleur à son bras gauche blessé. Il courut jusqu’au loup et leva son arme. Il n’aurait droit qu’à un coup, et il le savait, car la fatigue et ses blessures allaient avoir raison de lui dans les prochaines minutes.

« ORDIIIIN !!!!!! »

Hurla-t-il alors qu’il abattit sa hache sur le flanc du grand loup de combat.

*Voilà, ça te fait un petit bonus que tu pourras utiliser comme tu veux, Polo ! (c’est ton combat, donc à toi de décider quand mon coup tombera, même si tu peux dire que je l’ai raté si tu ne veux pas utiliser ce petit joker que je t’offre )*

*ouaaa c'est super Gromdal!!!! Les coéquipiers me plaise ;-) et t’inquiète j'accepte l'aide mais l faut pas blaisser grièvement le boss *

Un peu sonner par le choc violent qui venait de me projeter à quelque mètre de mon point d’origine, je me leva avec peine et vie le loup massif monté par son écœurant chef à la lame anormalement vibrante d'une sorte d’énergie. Le choc mettait venu de face et j'ai eu du mal à respirer, l'innioble grobi se lança sur moi. Armée de ça lance qu'il tenant au bras droit, près à être déplier, chargea avec son loup à la gueule grande ouverte.

Soudain, je me rendit compte que je n'avais plus mes arme, dans un incroyable réflexe je mit mon avant bras gauche devant mon visage. Les croc du loup s’enfoncèrent profondément dans mon bras mais à la seconde même où il me mordit je lui mit un puissant coup de poing dans le museaux se qui le fit faire un bon en arrière sans le quelle la lance du chef gobelin aurait fait plus que de me retiré mon casque du bout de la lance .

J’aperçut mon marteau à la gauche du chef peau-vert qui se débattais pour reprendre son loup en main, je me mit à courir profitant de la situation, Je prit le marteau mais au moment où je me redressa le chef ennemie dessina un arc de cercla avec ça lance afin de
me découper l’estomac mais je pu paré par réflexe avec le manche de mon marteau, je senti soudain un incroyable douleur dans le bras gauche dû au poids du marteau et à ma blessure. Mais mon perfide adversaire avait, dans son geste, tiré la gueule du loup sur son coté gauche pour que je sois prit en tenaille par la tête du loup et sa lance. Le coup de crâne du loup me fit faire un salto avant par dessus le manche de mon propre marteau.

Mon dos me faisait atrocement mal et j'ai eu une grande peine à me redresser, je tentait de seconde fois de lever mon lourd marteau mais la douleur se fit plus forte, je ne pouvais plus manière l'arme à deux main.

Le grobi se retourna lentement, voyant que sa technique avait fonctionné et qu'il avait réduit le dos du nain en bouilli, il leva lentement sa lance en se concentrant sur sa cible et s'élança sur le martelier.

Je sentais le regard de mon adversaire surtout en voyant les tête pâle que faisaient les grobi masser en cercle atour de nous. Il me fallait réagir...

Je me redressa lentement, tenant mon marteau tête en bas dans ma main droite je fit glisser le manche entre mes doigts jusqu'à la tête touche le sol et le bout du manche soit dans ma main, l'adversaire commençait son galos, je l'entendais, je n'entendais que lui, le reste ne produisit que chuchotement, je me concentrais, je fit le silence dans mon esprit, dans se silence la course du loup était telle à des battement de cœur, je pris une profond inspiration et ouvrit les yeux. Dans un puissant cris de guerre de pivota et entrainant à la force de mon bras le marteau dans un élan et un force centrifuge telle, qu'il se leva dans les airs, sans quitter ma main, un atroce bruit d'un fortement entre une pointe d'acier et une armure déchira les lieu, le lame du gobelin m'avait fait une entaille partant de l’omoplate gauche jusqu'à mon épaule et sur mon avant bras, soudain, un bruit sourd, raisonnant, comme celui d'une cloche , imposa le silence , mon marteau venait de percuter violemment le casque et la joue droite du gobelin qui fut projeté plusieurs mètre sur le coté.


J'aperçus ma pioche quelque mètre devant moi et je me mit à courir à en perdre haleine malgré la douleur de mon dos et de mon bras et du lourd poids de mon marteau, dans le brouhaha et les cris de guerre un gobelin bondit de ses paire. A quelque mètre de ma pioche je lâchât mon marteau et l'empoigna pour le projeter au loin. Cette acte me permit de voire le chef peau vert qui fonçait sur moi, les yeux plein de haine.

Dans la panique je voulut prendre l'une de mes deux armes à terre mais la douleur de mon dos m’empêcha de me baisser assez vite. Trop tard. Le loup n'était que à quelque centimètre de moi, la gueule grande ouverte, près à arracher ma tête, je prit la première chose qui me tomba sous la main et en fit un bouclier, quand soudain le loup se figea nette si bien que le chef grobi avait culbuté en avant et ne pu porté de coup. Quelque chose avait stoppé la charge du loup, apparemment c'était moi , le bras droit toujours tendu vers la gueule du loups, me tenant l’articulation du bras avec mon autre main, je leva doucement ma tête en ouvrant lentement mes yeux et je vit se que ma main avait attrapé pour stopper le loup.........................un gobelin.

Un gobelin entier que j'avais enfourné dans la gueule immense de la bête, ses crocs traversant de par et d'autre le corps du malheureux. Le temps de que je me rende compte de ma situation, le chef gobelin se redressa et prit ça lance pour me la planté sur le sommet du crâne. Son cri de guerre me rappela à la réalité puis je plia le bras pour mieux pousser le loups qui se retrouva debout sur les patte arrière et qui broya le grobi dans sa gueule avec un craquement d'os sinistre.

Le chef gobelin reperdit équilibre et lâcha ça lance alors qu'il se tenait le plus ferment possible au poile du loups. J'empoingna ferment le manche de ma pioche et lui fit dessiner un arcle de cercle au dessus de ma tête, le loup voulut paré en m’écrasant de ses griffes acéré, mais je mon attaque ne visais pas le coup ou la tête du loup, mais sa patte gauche qui tomba lourdement et où ma pioche s’enfonça profondément jusqu'à en percer la pierre en dessous.

Le loup hurla de douleur et je bondit derrière son oreille gauche, là où sa patte droite ne pouvait m'attendre et là foule de gobelin ne lui permettait pas de pivoter. La bête voulut dégager sa patte mais n'y arriva pas, je pris mon marteau à la base de la tête, il était certes lourd mais je parvint à le manier à une main puis je frappa à plusieurs reprise le chef gobelin qui essayais de me blesser à coutp de lance piquer à un gobelin de passage.

Il tenta une dernière fois de m'enfoncer la lance dans le visage mais d'un coup nette et vif de mon marteau je cassa la lance, dans mon élan mon marteau frappa violemment l'arrière du crâne de sa monture.Ce fut ma plus grave erreur car le loups fut projeter contre le sol et en avant, le gobelin maintenant à mon niveau lâcha son bout de lance et sortie un énorme sabre de métal rouiller avec le quelle il dessina un arcle de cercle que je para de mon marteau, mais le coup fut si puissant que mon marteau vola dans les aires malgré son poids massif. Le coup fut ci puissant que même mon coup de marteau ne puis le dévier totalement et me dessina un sillon partant du bas de ma clavicule entre les pectoraux puis descendit jusqu’à la fin de ma cage thoracique ou la lame suivit les contour de mon squelette, dévia donc et sortie brutalement de mon coter.

Je m’effondrais au sol , me tordant de douleur , le chef gobelin eu un sourire sadique en me voyant, il se redressa lentement en même temps que son loups se relevait, il me regarda de haut, me tordant de douleur, toujours avec le même regard et le même sourire il se mit à ricaner de plus en plus fort jusqu’à explosé d'un rire machiavélique tous en tendant son sabre vers le ciel et en crispant les doigt de sa mais droite au niveau des hanche.Tous les gobelin me saisir, je perdit tellement de sang que je ne pus me débattre, tous les gobelin vociféraient et bondissaient de "joua" puis le chef s’arrêta lentement de rire me regarda et pointa son sabre vers moi, me fixa de c'est yeux rouge, en haletant, en respirant fort dans le brouhaha, les gobelin me tenait sur les genou face à lui, le gobelin respirait de plus en plus vite , de plus en plus fort, excité par son prochain meurtre et son loups grognait de férocité et voyait ses babine dégouliner d'un véritable floe de bave.

Le chef des peau vert s’apprêtait à hurler quand soudain son loup hurla plus fort que toute la mêler environnante. Je relava doucement la tête mais juste assez haut pour voir entre les pattes du loups que je voyais de flan, je voyait couler au sol une assez importante quantité de sang.

Tous les gobelin se tue, et je pu voir le visage du ranger ,Grundil Poing d'Acier, devant le loups qui venait de se retourné lentement vers lui. Qu'il soit bénit par grungni et valaya pour m'avoir sauvé la vie mais malheureusement je ne peut plus sauvé la sienne. Le ranger tenait à peine debout et tenait sur sa hache, le gobelin le regardais d'un horrible regard de haine et alla bientôt explosé de rage quand soudain une ombre vain lentement en marchant au milieu des gobelin apeuré qui lui s’écartait à son passage.....c'était un tueur, surement avait il décider d’affronter la bête don il venait d'entendre le puissant cri .....

* voila désoler c'est un peu long mais je fais plusieurs description pour que l'on si retrouve un peu près*

*dohkoj je te laisse affronter un grosse bestiole mais c'est toi qui voit t'es pas obligé ça peu bien être l'autre tueur qui est passer en PNJ mais se serait classe que tu le mette en fuite dans un truc bien épique *

*tu as vu Gromdal? Ton offre était la bien venu désoler pour ta petite description mais je pense que après un coup pareil tu est toi aussi à bout de force donc il ne te reste plus que a te tenir debout face au chef don l'intension et (je pense ) attiré sur le tueur. Voila j’espère que ça ta pas dérangé sinon dit le moi et j'enlève *

Sur mes paroles, je vis tous les archers jeter arcs à terre et sortir des épées....Je ne pouvais que me réjouir de la portée de ma provocation. Elle avait fonctionné et la vingtaine de gobiz avançait vers moi.
A ma droite se tenaient debout 3 jeunots, 2 d'entre eux tremblant, les mains mal assurées tenaient haches et boucliers. Le 3ème un peu plus sûr me regarda, il deviendra un grand guerrier.

"Laissez la peur aux elfes et à vos adversaire. Elle n"a pas d'place dans l'coeur d'un nain."

Ces paroles les réveillèrent, ils prirent un peu plus d'assurance et attendait de pieds ferme leurs adversaires.
Le 1er peau verte fut pour moi, une de mes haches lui trancha net le bras droit, il tomba inconscient à mes pieds. Je m'élança sur les suivant, mes haches tournant au dessus de moi. Je fis un véritable carnage. Déjà 3 non 4, 5 cadavres autour de moi.
Une hache bloquant l'arme de mon opposant, la deuxième le prit à revers. A ce moment je sentis un souffle derrière moi, un gob tomba mort. Le poil au menton venait de me sauver la vie. J'esquissa un sourire, il avait l'air fier et prenait plaisir à couper des peaux vertes.

Je redoubla de violence dans mes aces, un bras, une tête puis un gobelin entier volèrent....mais je me fis finalement entourer par 6 nabots. Ils sautèrent sur moi tous ensemble. Dans un rugissements digne d'un démons, je me redressa sur mes jambes, tous mes adversaires tombèrent, pour la plupart morts ou du moins grièvement blessés.

Je sentis du sang coula dans mon oeil gauche, impossible de savoir à qui il appartenait. Je m'essuya la visage, mon épaula gauche me fit mal, mais bizarrement je me sentais bien.Une formidable jouissance m'emplit. Ces archers venaient de me mettre en appétit. Il me fallait plus de sang, quelque chose de plus gros.

J e regarda autour de moi et vit le poil au menton décapiter un gobelin agonisant. Lui aussi couvert de sang, vert et rouge. Les 2 autres étaient à terre, l'un blesser à la jambe, l'autre juste sonné. Je tourna la tête vers le fond de la caverne d'où venait le brouhaha de combats. C'est à ce moment que j'entendis un hurlement strident. Il frémis de joie. Ce cri ne pouvait venir que du loup et me rappela que ce monstre serait une pièce de choix pour un tueur.

Je chercha dans l'obscurité la bête et finis par la trouver. Le temps s'arrêta, ce fut à moi de pousser un rugissement.
"Grrriiiiimniiiiiiiirrrrrrr"
Tous s'arrêtèrent net. 2 gobiz venant vers moi tombèrent en arrière et s'enfuirent à quatre pattes. Je vis la bête tourner la tête vers mois, ses 2 grands yeux jaunes me fixèrent. Elle délaissa les 2 nains qui allaient lui servir de diner.

Tous les gobelins, s'écartèrent devant moi.J'avançais...je ne voyais plus que le loup...je jeta une de mes haches qui était trop lourde à manier avec mon épaule blessée...j'avais besoin aussi de toutes mes forces pour trancher le cuir du monstre. Sans regarder, je leva mon bras droit, celui qui tenait encore une hache. La tête d'un gobelin vola pour s'écraser à 5 mètres de là, je venais par pur réflexe de tranche un impudent qui venait de m'attaquer par derrière au niveau de la machoire.

Je pris ma hache à 2 mains et sauta en direction de la bête. Elle esquiva, mais je lui tira tout de même un hurlement en lui coupant sa queue en deux. Elle referma sa machoire en direction de ma jambe gauche mais ne trouva que de le vide. Je lui assena alors un coup de manche dans la tête. Etourdie, elle vacilla mais se rua très rapidement vers moi, son 1er coup de patte frappant un jeune nain un peu trop près.

Le pauvre, il n'aura pas connu la joie des véritables combats

Tout de suite, le loup sauta en avant et me projeta en arrière, je tomba, lachant mon arme. Je senti le souffle de la bête sur mon visage... sa bave me dégoulinant sur le visage. Je ne pouvais bouger mon corps sous son poids. Au moment où elle ouvrit la gueule, je lança mon poing qui trouva sa truffe. Elle n'apprécia guère et recula me laissant libre de mes actes.

Malgré mon corps endolori, mon épaule douloureuse, je pu me rétablir et empoigna ma hache. Le loup encore légèrement sonné par mon coup, ne fit pas attention a moi. Je dévoila toutes mes dents (enfin celles qui me reste) et m'élança vers mon destin.

"Merci Grimnir"

Ma hache lever retomba lourdement au sol, le loup venait d'esquiver mon attaque. Je lui avais tout de même entaillé l'oeil droit.

*Désolé pour mon absence, j'étais un peu surchargé*

Je regardais la bataille d'un œil inquiet, je perdais du sang, trop de sang et je ne savais pas si je pourrais me défendre même contre un grobi si ça continuait. Tout en grommelant contre les Montagnes qui n'étaient plus aussi sûres qu'il y a six-cent ans, je fouillais dans mon sac et parvins à trouver des herbes médicinales. Parfait, malgré la perte de mes pouvoirs runiques je n'avais rien oublié de l'antique art de l'Herbomancie et pourrait me soigner avec ces ingrédients. Je me fis rapidement un bandage pour arrêter le sang, ais n'utilisait pas d'herbes cicatrisantes, je n'avais pas encore le temps de m'extraire le fragment d'épée logée dans mon épaule et cicatriser la plaie ne ferait que rendre plus pénible l'opération.

Je m'allumais ensuite une pipe bourrée d'herbes calmantes pour oublier la douleur lancinante dans mon épaule et regardais autour de moi. Un Courte-Barbe était à terre, certainement mort à en juger par sa tête trois pouces plus loin. Mais deux autres n'étaient que blessés. Je posais mon bâton que je ne pouvais plus manier et qui ne ferait que me gêner et me dirigeait vers eux avec mon sac d'herbes. Je m'accroupis prés du premier et tâtais doucement la plaie qui lui barrait le ventre. La lance qui l'avait blessé avait transpercé la cotte de maille et avait enfoncé plusieurs mailles dans la chair, mais les organes ne semblaient pas touchés. Je lui fis un rapide bandage, pour qu'il ne perdit pas trop de sang en attendant que je revienne.

Le deuxième était un cas plus sérieux. Touché à l’œil par une flèche, il vivait encore mais était très faible. Avec douceur j'extrayais la flèche, il serait borgne mais cela valait mieux que d'être mort. Je préparais ensuite une emplâtre de divers herbes pour faire cicatriser la plaie et mis un bandage sur son oeil.

Le boss gobelin regardai la pièce. Dans l' escarmouche, deux nains uniquement ont perdu la vie, dont un arborant une crête orange. Chez les gobz, il ne reste plus que lui avec trois lanciers et cinq archers. Il fallait fuir, ou alors, moi, un gobelin surpuissant allait mourir, pensa le boss. Il récupéra sa monture puis, s' enfuit, laissant ses soldat dans la grotte. Tanpis si ils meurent, il ne sont pas important, il ne sont pas comme moi.
Puis le boss, sur son loup géant, s' enfuirent par l' entrée de la grotte. Le boss cria ceci avant de partir:
-Vou lé nabo, j' vé vou rtrouvé et quan je vou oré rtrouvé, j' améneré mon armé et je vou zigouilleré, vou connétré ma vangeance ! Vou allé le regrété de m' avoir rencontré !
Puis le gobelin disparut.
Les derniers gobelins présent se firent tuer jusqu' au dernier.

Dammaz regarda ses compagnons. Ils étaient tous plus ou moins amochés. Un courte-barbe a été décapité et le tueur nommé Drengi était transpercé par une flèche.
-Aller, on repart, c' est trop dangereux ici !, dit- Dammaz.
La troupe repartit vers les plaines de Zharr, après s' être soignée.

*Distribution des Xp:
Grom: +1 xp
Polo: +2 xp (+1 xp parceque comme tout le monde tu t' es battu et +1 xp car tu as combattu le boss qui est assez fort)
Krankar: +1 xp
Dohkoj: +1 xp
Pertes de pv:
Grom: -1 pv
Polo: -2 pv (-1 pv parceque comme tout le monde tu t' es battu et -1 pv car tu as combattu le boss qui est assez fort)
Krankar: -1 pv
Dohkoj: -1 pv*

*Aler, je vous laisse faire vos RP hors combat*

+Je reprends à la suite de mon attaque+

Mon souffle devint plus bruyant, surement du à la fatigue. Je vis le chef gobelin monter la bête et s'enfuir. Je ne pouvais plus bouger, mon épaule droite me faisait horriblement mal, je sentais aussi un liquide chaude me couler sur le coup, certainement étais-je blessé à la tête. Mes jambes ne me portaient plus, je perdis l'équilibre...un voile noir se forma.

Je tomba à genoux, sans pouvoir faire le moindre mouvement, l'adrénaline du combat s'étant dissipée, la fatigue m'enveloppa. Je n'entendais au loin que les cris des quelques gobiz survivants en train de se faire rosser par les autres nains. Si jamais un décidait de venir vers moi, je ne pourrai nullement me défendre.

Je repris conscience assis contre la parois de la grotte. Un poil au menton se tenait devant moi et il me raconta la fin de la bataille. Tous les gobs étaient mort, seul le chef s'était enfuis sur son loup. Ma blessure à l'épaule était soignée mais j'avais toujours mal et ne pouvais me lever le bras. Un bandage sur la tête témoignait d'une blessure sur le crane. Rien de bien grave, je pourrais continuer vers mon destin de gloire dans la mort.

Après quelques heures, je n'avais plus trop la notion du temps, nous décidâmes de repartir car ce lieu funeste n'était pas sûr. Les gobiz pouvaient revenir en nombre à tout moment. Je me releva péniblement, toujours cette douleur dans l'épaule gauche, et suivit le groupe vers la sortie de la caverne.

Pendant le deuxième soir après leurs entrée dans les plaines de Zharr, Dammaz vit un feu de camp allumé à quelques centaines de pas de là.
-Venez, tous, y a quelqu' un là-bas. Sûrement des nains du chaos,, dit-il à ses compagnons.
La troupe le suivit, les armes à la main. Quand ils furent assez près, ils virent que la personne était un tueur de trolls.
-Que fais-tu ici ? Comment te nomme tu ? Et veux-tu participer à une mission suicide en notre compagnie, tueur ?

*à toi Gorgii*

* Et me voilà les amis *

J'étais tranquillement en train d'uriner sur le côté, près d'un buisson, lorsque des bruits de métal s'entrechoquant et de de lourds pas résonnant sur le sol vinrent troubler ma solitude. Aux bruits, ça ne pouvait être que des orques ou des nains du chaos.
Ou bien des Nains pensais-je tout d'un coup. Impossible. Aucuns nains, à part peut être moi-même, n'est assez fou pour venir dans un coin si reculé. Et pourtant...
Terminant rapidement ma besogne, j'attrapa mon énorme hache runique et me tapit derrière le buisson ou gisait un grande flaque d'urine malodorante.
Pfff... J'aurais pas pu me cahcer aut'part quand même ? me disais-je.
Ce fut alors qu'un groupe fort d'une dizaine de nains, peut être un peu plus, déboucha sur la clairière où je m'étais installé. Quelle ne fut pas ma surprise de les voir débouler ici ! Des nains, des vrais ! la dernière fois où j'en avais rencontré datait au moins d'il y a un an !
Ce pendant, je prit mes précautions. Hache à la main, je sortit avec précaution de mon buisson ( et de ma flaque d'urine... ) avant de lancer au groupe :
-Qui qu'êtes vous, nains ?
Mes confrères s'arrêtèrent. Ils étaient en piteux état.
-Nous sommes des tes amis, brave nain, répondit l'un deux, un nain a l'aspect jeune, mais dont les yeux démontrait une certaine sagesse.
-Qu'ès' c'que cé que vous m'voulez ? fis-je sur un ton plus bourru que je ne l'aurai voulu.
-Nous sommes en mission. Nous partons délivré notre seigneur, retenu pas d'exécrables nains du chaos. Quel est ton nom, tueur ?
La joie de pouvoir parler de nouveaux avec des confrères eut raison de ma prudence. Un grand sourire au lèvre, je répondit :
-Gromgar ! Et vous ?
Un autre nain s'avança. Il dit s'appeler Dammaz, et se présenta comme le chef de cette aventure. Puis il me présenta un à un ses compagnons. Lorsqu'il eut finit, sa mine devint sombre puis il me demanda :
-Veux-tu participer à notre mission suicidaire en notre compagnie, tueur ?
Ce à quoi je répondis par un énorme "OUI" ! Je croyais ne jamais avoir été aussi heureux qu'en ce jour.
Puis je leur lança :
-Et ça vous dirais pas d'passer la nuit dans mon camp ? J'ai à mangé si vous voulez !

*Ah, me voilà presque ( j'ai bien dit presque, n'exagérons pas les choses ) aussi heureux que Gromgar de participer à l'aventure !

Après que le groupe ai suffisament dormis dans le petit camp du tueur, ils repartirent en route vers le campement nain du chaos.

*Bon, désolé, c' est court mais bon, j' peux pas trop décrire là*
*Aussi, Gorgii, évites de faire parler tes compagnons (à part les poils-au-menton), un coup de temps en temps seulement*
*allez, je vous laisse faire du RP, puis ensuite, j' enchènerai avec une tiote baston*

Malgré des blessure apparentes pour certains, nous dûmes repartir vers notre destination.
Pour ma part les quelques heures de repos m'avait suffit pour récupérer et seul une légère douleur provenait de ma blessure à l'épaule. Elle ne m'empèchera pas de me battre.

De plus j'avais le moral en hausse depuis l'arrivé de ce nouveau tueur. Lui au moins savait se battre, enfin je pense. Un nain inexpérimenté ne s'aventurerait pas seul dans ces contrées. Il ne serra pas de trop d'avoir 2 bras musclés dans le groupe.

La marche était des plus tranquille, trop tranquille et mon instinct me poussait à la prudence. Je m'approcha du nouvel arrivant et lui dit:

-T'es d'où? Pour ma part j'suis du nord, j'viens d'la grand'pass.

-D'puis combien d'temps es-tu dans la région?

-Pourquoi es tu venu ici seul?

-Connais tu quelqu'choz sur la tribu de Zharr?

+J'enchaine les questions sinon cela nous prendra 10 ans, réponds comme si on faisait un dialogue+

Pas une fois depuis que nous étions partis de la grotte je n'avais pu choper le ranger nommé Grundil Poing d'Acier. Il était toujours en reconnaissance, en convalescence, en discutions de déploiement et quand il était disponible c'est moi qui ne l'était pas.

Nous marchions tranquillement mais prudemment dans cette région désoler et maudite. Soudain je vit le tueur qui avait combattu le loup, Grunek je croit, c'est drôle....j'ai toujours pensé que les tueur était taciturne ....faut croire que ça lui fait du bien de voir quelqu'un qui porte le même fardeaux....enfin moi je suis pas un tueur donc je peut pas trop comprendre. D’ailleurs, lui aussi m'a sauvé la vie. Il a sauvé ma vie et celle de Grundil. Mais étrangement je ne ressentais pas un grand besoins de le remercier...je pense que c'est le fait qu'il la fait plus parce que c'est son" boulot " où son destin plutôt que pour nous sauver la mise ...... Bof.

Soudain je vit Grundil revenir et sur se coup je ne me raterais pas!!

Je marcha d'un pas rapide jusqu’à lui, il me vit arrivé et se tenais fixe face à moi puis je lui mit un claque sur l'épaule en m’arrêtant .

"Salut l'ami ! " Lui dit-je.

Je n'étais pas habitué à dire merci....par pour une chose pareil en tous cas...

"Je..je..heum........Je voulais te dire un grand merci!!! Sans ton intervention je serais surement déjà plus là et ......."

Je repensais à l'affrontement, à mes douleur, à la panique, la tension, l'horrible regard haineux et meurtrier du gob'z......

".....et je suis vraiment ....vraiment désoler pour avoir été incapable de venir à ton aide....Voila!....J'ai une dette envers toi et n'essaye pas de me faire changer d'avis " lui dit-je en souriant sur la fin .