Rapport de bataille du 23 juin de l’an 2547 du calendrier impérial.
Alors que nous explorions une contrée du nord, nous vîmes sur une petite surélévation de la zone une des bornes que jadis nos ancêtres avaient établi un peu partout aux frontières de leur terre. La neige freinait notre avancé mais nous prîmes place au alentour pour vérifier si le coin était sûr. Alors que notre maître des runes lisait l’ancien texte gravé sur la pierre, haute de 4 m comme le voulait la règle, nous aperçurent une troupe d’orques foncer droit sur nous.
Nous devions protéger notre stèle qui se révéla être sacré après quelques phrases déchiffrer. La catapulte et le canon à flammes se tinrent au côté de la stèle, prêt à la défendre coûte que coûte. Devant se placèrent les arbalétriers. Leur flanc gauche était protégé par les marteliers, accompagnés de notre seigneur : Alrik. A côté de son régiment, stationnait une troupe de guerriers accompagnés de la grande bannière, et derrière lui se trouvait le maître des runes avec sa garde de 18 guerriers. Sur la colline opposée à la borne se placèrent le canon et les arquebusiers.
Nous vîmes venir l’ennemi de loin. Il reçut bon nombre de blessure dans ses rangs encore lointain mais il ne flanchât pas. Seul les servants d’un canon furent chanceux en détruisant un nuage de neige qui n’était autre qu’un char. Soudain, il se ruât comme un fou vers nos lignes ; d’un coup il divisât la distance qui nous séparait par deux. Nous purent voir pour notre malheur un seigneur monté sur vouivre, une troupe d’une quarantaine d’orques et trois trolls. Cette armée nous semblait tout de même ridiculement petite comparer à la notre. Encore un fois, nos tirs firent mouche mais pas suffisamment. Avec effroi, les servants du canon et les arquebusiers firent sortir au coin de la forêt un géant. Alors que la vouivre allait charger les pauvres arquebusiers, qui fuirent de terreur, mais Alrik lut le texte magique de la rune majeur de défi et l’horrible lézard se tournât alors vers lui, le chargeant dans un rugissement de colère accompagné de son cavalier. A eux deux, ils mirent à terre 5 marteliers mais d’un coup bien ajuster, Alrik décapitât l’orque noir. Malheureusement, la vouivre était bien décider à rester avec son maître mais dans la mort.
Alors qu’Alrik essayait d’en finir avec le lézard vert, le géant se prit une ogive de canon, qui lui fit perdre la moitié de ses points de vie, alors que les arquebusiers lui en retirèrent deux supplémentaire. Mais il s’avançait toujours vers nous. Il mourut seul, par un dernier coup de semonce donner par les canon. Alors que la catapulte continuait d’abattre de l’orque et le canon à flamme les trolls sujets à la stupidité, nous nous pensâmes en sécurité. C’est à ce moment que des gobelins sur araignées et sur loups surgirent sur notre flanc gauche et une troupe de gobelins sur notre droite. Menaçant le canon, des fanatiques sortir de la masse verdâtre. L’un fît deux mort chez les servants et l’autre un mort chez les arquebusiers. Les nouveaux arrivants de droite commencèrent à harceler les servants de la catapulte avec des flèches tandis que la vouivre diminuait le nombre de marteliers à vue d’œil.
Alors que toutes les nouvelles troupes venues allaient charger, l’animosité fit enfin l’effet attendu de nos troupes. Nous purent voir les araignées et les loups se battrent entre eux ainsi que les orques, qui ne pourrait charger les guerriers pourtant très proche… Seul les gobelins chargèrent le survivant du canon après s’être reçu un coup de mitraille au tour précédent, faisant 9 morts chez les peaux vertes. Aucune blessure ne fut porter sur le côté nain mais celui-ci abattît un gobelin. Seul contre tous, il restât, stoïque.
Malheureusement, l’effet de l’animosité ne durait pas et les gobelins reprirent rapidement possession d’eux même. Le maître des runes souffla alors dans sa corne et la note, profonde et grave fît trembler de terreur les araignées, les loups et les orques. C’était la puissante rune majeure de terreur. Le gyrocoptère profitât de ses deux derniers tours pour faire fuir les loups et les araignées. Alors que les guerriers accompagnés de la grande bannière avait chargé les orques et les avait mis en fuite, il furent chargé par un char. L’unité comptât alors 3 morts. Enfin débarrassé de la vouivre, Alrik se tournât vers les trolls qui avait peu avancé depuis que le général avait péri au deuxième tour. Les deux trolls restant chargèrent les marteliers lorsqu’ils les virent. Non sujet à la stupidité, ils commencèrent à tuer quelques guerriers nains mais au dernier tours, la menace n’existait plus.
résultat de la bataille :
Des lignes à rayer de mon livre des rancunes. Victoire majeure pour les nains alors que les orques et les gobelins fuyaient à travers la plaine enneigée, sans chefs ni héros pour les commander.
Sur les 2000 points de mon adversaire, je lui ai tué ou mis en fuite pas moins de 1200 points d’armée.