Le forteresse de Karak Athall, ou les Mines profondes.

J'ouvre ce sujet pour vous parler de ma forteresse, Karak Athrall, où vivent mes braves nains. Ici, c'est la première partie, qui explique la forteresse, sa situation etc... Je continuerai ce sujet ensuite pour expliquer comment elle fonctionne, ses dirigenants, son histoire et tout sa... puis j'ouvrirai peut être un autre sujet pour vous relater une bataille parmi les plus célèbres qu'à dû livrer la forteresse.

Bonne lecture !!

LA FORTERESSE DE KARAK ATHRALL

La forteresse de Karak Athrall, ou Les mines profondes, fait parti de la chaîne des montagnes du Bord du monde. Située à environ cent cinquante lieux au sud de la forteresse perdue de Karak Ungor,à presque trois cent lieux au Nord De Karak Kadrin et à une soixantaine de la fin d'une gigantesque forêt, elle occupe une place assez stratégique, notamment grâce à la forêt à proximité lui fournit du bois pour approvisionner les hauts fourneaux de la forteresse. Pourtant, ce n’est pas cette emplacement envié de certains, ni la quantité phénoménal de bois d’excellente qualité (car coupé par des nains !) à porté de main qui a fait sa renommé, mais bien autres chose : ses mines !

La forteresse et ses mines.

Karak Athrall a été bâtit par des nains entre les années -302 à -222 (sur le calendrier impérial) à la base d’une vieille montagne au sommet aplati, la montagne Athrall, qui a ensuite donné son nom à la forteresse. Cette dernière se divise en deux parties. L’une, la plus petite, à l’extérieur, et l’autre, de plus grande importance, à l’intérieur de la montagne.

La partie externe :
Entouré d’une résistante ligne de défense, la partie extérieure de Karak Athrall est un puissant centre de défense doublé d’une petite ville, appelé par les habitants du Karak « le quartier du dehors ». Ici sont logés les plus pauvres des nains de la forteresse, dans des habitations de pierre taillé qui pourrait paraître aux yeux des humains magnifiques, mais qui ne sont pour les nains que de modestes demeures. Ces logis ne mesurent rarement plus de 50m², et très peu d’entres elles possèdent un étages en plus du rez-de-chaussée. Les nains qui y habitent exercent des métiers considérés comme pauvre par les membres de leurs races, comme fermier ou chasseur. Il existe cependant quelques exceptions, et des forgerons ou mineurs ont décidé de s’établir dans ce quartier.
Karak Athrall est protégé au dehors par trois lignes successives de rempart, chacune construite en montée par rapport à la précédente. Du terrain mort est laissé entre chaque rempart, sans aucun bâtiment de construit dessus. Les murs de la forteresse sont de tailles épaisses, capables de résister aux coups de géants furieux, tandis que leur hauteur est capable de repousser les tours d’assauts qui pourraient avoir raison de nombres de murs plus petits. Toute cette tactique a pour but de décourager l’adversaire : lorsqu’il parvient à faire tomber le premier mur de défense, le plus dur à protéger car le plus étendu en longueur, il doit escalader une longue montée tandis que des arquebusiers, arbalétriers et machines de guerre les harcèle du haut du second mur. Il en est de même pour le dernier mur. En cas d’attaque, les habitants du « quartier du dehors » se réfugient avec leurs possessions à l’intérieur de la ville. Ainsi, Karak Athrall a su résister sans jamais faillir aux siècles de bataille et de sièges qui ont précédé sa construction.

La partie interne :
C’est là que se situe la ville en elle-même, ainsi que les guildes, le Conseil des Anciens et là où logent les nobles et les citoyens plus riches. Elle s’étend sur près de la moitié de la surface de la montagne, soit trois fois plus que le « quartier du dehors », et est divisé en quatre quartier, représentant les pôles : « quartier ouest, quartier est, quartier nord et quartier sud. Les guildes, le Conseil des Anciens et les nobles habitant ce dernier quartier qui est le plus enfoncé dans la montagne.

Les mines :
La surface qu’occupent les mines Karak Athrall est tout bonnement gigantesque. Elles s’étendent sur la surface non occupé de la montagne, dans les souterrains sur plusieurs kilomètres de profondeur mais surtout dans toutes les montagnes aux alentours. Elles sont la fierté de Karak Athrall, mais leurs proportions sont telles que plus des deux tiers des nains non nobles et qui ne font partis d’aucune guildes exerce la profession de mineurs. Ce métier est parmi les plus respecté là-bas, et des mesures ont été prises pour ce métier qui fait vivre et prospéré Karak Athrall.

Guilde, chefs et autres...

Les guildes :
Karak Athrall, comme toute forteresse qui se respecte, possède en son sein plusieurs guildes.

-La Guilde des ingénieurs : de taille modeste, la Guilde des ingénieurs de Karak Athrall se concentre sur des inventions à l’utilité passive, qui serve notamment dans les mines. Elle à notamment mis au point un système de rail avec des chariots qui peuvent libérer, par petits coups des jets de propulsion qui marchent à la vapeur. Les nains de Karak Athrall s’en servent notamment pour rejoindre la forêt où ils trouvent le bois plus rapidement, ou pour atteindre des mines lointaines. Malgré tout, la Guilde des Ingénieurs à aussi mis au point des machines de guerre et des arquebuses qui accompagnent le throng lorsqu’il s’en va en guerre.

-La Guilde des Maîtres des runes : Cette guilde compte plusieurs experts des runes, dont la plupart font partis de l’honorable conseil des Anciens. Ils sont souvent présents lors des batailles pour contrer la magie adverse et nombreuses sont les armes runiques forgés par ces Grande Barbe. Les Seigneurs des runes de la forteresse ont notamment créé la rune de la mine qui servait à l’origine aux mineurs dans leurs épuisant travail, mais qui à fait ses preuves sur le champ de bataille depuis. Cette rune est désormais gravée sur la plupart des pioches des chefs de groupe des mineurs. Les Maîtres des runes de la forteresse refusent catégoriquement de livrer son secret aux autres nains, même pour de l’argent.

-La Guilde des Mineurs : Propre à la forteresse de Karak Athrall, la guilde des Mineurs est de loin la plus puissante et populeuse de la forteresse. Elle est d’ailleurs l’une des fiertés de Karak Athrall, et malheur à qui quonque qui l’insulte en présence d’un habitant de la forteresse. Tout est basé autour de cette guilde, les autres guildes, l’industrie, les dirigeants. Elle fournit d’ailleurs l’essentiel des guerriers de Karak Athrall, et est donc une force majeur de la forteresse en cas de bataille. Les mineurs sont plus nombreux que les habitants nains en général de la forteresse, et cela se reflète lorsque le throng part en guerre. De plus, ces guerriers sont connus pour prendre l’adversaire à revers et bien des ennemis proches de la victoire ont été vaincus par une horde de mineurs sortant d’un tunnel inconnu. En quelques mots, Karak Athrall est la Guilde des Mineurs et la Guilde des mineurs est Karak Athrall.

Le Régime politique :

Karak Athrall ne suis pas un système politique des plus normaux. En effet, cette forteresse ne connaît pas de roi et n’en a jamais connu depuis sa création. Elle est donc dirigée par le Conseil des Anciens ainsi que par le chef de la guilde des Mineurs, Le Maître des Mines. Ces deux puissants partis se sont depuis toujours partagé les rôles dans la forteresse.

Le Conseil des Anciens :
Le Conseil des Anciens de la forteresse ressemble à celui de toutes les autres. Le même nombre de membres, etc.… Enfin, presque… Le Conseil des Anciens de Karak Athrall diffuse des autres sur une chose, une seule : son rôle. En effet, dans les autres forteresses, le but du Conseil des Anciens est de conseiller (comme l’indique le nom) le roi. Or, l n’y a pas de roi. Le Conseil des Anciens est donc chargé de contrôler les échanges commerciaux, d’établir ou d’entretenir les relations avec les autres peuples ou forteresses, de régler les différents, entre des nains ou entre des guildes… Le Conseil des Anciens est très respecté et sans lui, Karak Athrall ne vaut pas grand-chose.

Le Maître des Mines :
Le Maître des Mines est certainement la personne la plus importante de la forteresse et celle qui se rapproche le plus d’un roi. Dirigeant de la Guilde des Mineurs, il détient tout pouvoir sur les mines. C’est lui qui ordonne quel groupe de mineurs s’occupent de tel tunnel tel jour, etc.… Il fait marcher toute l’industrie lié aux mines. Mais ce n’est pas son seul rôle dans la forteresse. Il est aussi le général de l’armée en temps de guerre, et c’est lui qui fait office de stratège, il établit les plans de bataille et mène l’armée à la bataille. C’est pourquoi c’est aussi un excellent combattant, aussi bon au moins que la plupart des rois et thanes des autres forteresses. Il est l’image même du guerrier des tunnels.

Donc voilà et surtout, n'hésitez pas à postez des commentaires. Merci

génialle ,incroyable,magnifique ,extraordinnaire
j'ai beaucoup aimé et j'attend la suite impassiament



ps:je voulais fair une historique moi aussi mais tu ma devencé

Merci pour le compliment, polo, sa fait plaisir !!

La suite devrait ( normalement ) arriver demain ou après-demain parce que je l'ai toujours pas écrite bien que je sais exactement les idées!!

ps : fait ton historique aussi, comme sa y en aura deux en même temps, sa sera cool !!

Bon début, je vois que tu t'y connais bien sur le fluff nain, ça fait plaisir.

Merci Gotreck, sa fait plaisir !!

Je voulais aussi rajouter que pour les lignes de défense, je me suis inspiré d'une forteresse d'un livre que j'adore, qui est certainement l'un de mes préférés : Légende, de David Gemmel, édition Milady ou Bragelonne. Bien qu'il ne parle pas de nains, je vous le conseille vivement, il est super, beaucoup d'actions, des personnages réalistes, ni bon ni mauvais...

J'ai édité mon sujet pour changer la position qu'occupait ma forteresse, car je trouvais qu'elle était trop proche de Karaz-A-Karak, et donc que quasiment aucune attaque de gobelins, orques ou autres ne la touchait. Or, je voulais une forteresse minière mais aussi guerrière, qui a repousser plus d'une attaque de gobs.


Voici une image de la carte des Montagnes du Bord du monde Au Nord où j'ai mis ( un peu grâce à l'aide de paint ) ma forteresse Karak Athrall :

Du beau travail, mon gars, y a pas à dire !

Sinon, ta carte est bien foutue ! Ça rajoute du réalisme au Background.

Merci c'est sympa. Pour la carte je vais juste ajouter que je l'ai numériser à partir du livre d'armée, avant de la coller sur Paint puis j'ai coupé pour avoir juste ce que je voulais avant de finir en mettant ma forteresse. Voilà !!

Donc voilà la suite de l'histoire de ma forteresse. Un petit récit racontant sa création. J'espère que vous aimerez, et surtout ( comme d'habitude) n'hésitez pas à mettre des commentaires !!

Bonne lecture

L’HISTOIRE :

La création de Karak Athrall :

Dans les années de -400 à -300, des expéditions minières de grande envergure sillonnent les Montagnes du Bord du monde. Les nains qui en font partis proviennent de plusieurs forteresses différentes, et c’est ainsi qu’un important groupe de mineurs découvre une forteresse perdue, toute délabré, mais aux mines riches en métaux précieux : la futur Karak Athrall. Le légendaire Skorri Poings-de-pierre est le chef de cette expédition :

Skorri fut le premier à poser le pied dans la forteresse. Son regard fit le tour de l’immense pièce circulaire dans laquelle il venait d’entrée. Il constata de suite que la forteresse était passée aux mains de l’ennemi. Des signes ne trompaient pas : des excréments trainaient au sol, des poutres en bois en équilibre précaire retenaient le plafond là où auraient dû se tenir des magnifiques colonnes ouvragés. Désormais des vestiges… Après une inspection minutieuse des lieux, il remarqua de nombreuses tapisseries représentant Grungni éparpillé sur le sol. La plupart était souillé. Skorri garda son calme et remarqua aussi que la forteresse devait être riche autrefois. Encore une fois, des signes qui ne trompaient pas. Mais les chefs-d’œuvre des nains étaient désormais cassés, salies, au point qu’il devenait méconnaissable. Comme le reste. Skorri s’arma alors de sa puissante pioche puis fit signe à ses compagnons de le suivre. Plus de deux mille mineurs entrèrent à sa suite dans la salle dans un fracas assourdissant. Si Skorri comptait agir dans le silence, c’était raté. Il grimpa sur un rocher et sonna dans son cor pour faire taire ses soldats et qu’ils se tournent vers lui. Alors il s’écria, d’une voix forte :
-Cette forteresse est tombée aux mains de l’ennemi ! Nous ne savons pour l’instant rien d’elle, mais il se peut qu’elle renferme un incroyable trésor ! Ses mines recèlent peut être des métaux parmi les plus précieux en grand nombres ! C’est pourquoi je vous ordonne, à vous, frères nains, de repousser l’envahisseur qui s’est emparé de cette forteresse ! Qui est avec moi ?!
Un terrible rugissement provenant de la gorge des deux mille nains lui répondit. Skorri sourit sous sa barbe. Il les avait convaincus en quelques mots ! Il s’apprêtait à continuer son discours lorsqu’un hurlement bestial retentit. Il provenait de derrière la porte qui menait au reste de la forteresse. En levant bien haut sa lourde pioche, Skorri s’écria alors, par-dessus le rugissement ennemi, à ses soldats :
-A L’ATTAQUE !
Puis il sauta du rocher où il avait pris position et s’élança vers le bruit, suivit de deux mille mineurs hurlant. La porte s’ouvrit d’un coup, laissant apparaître derrière elles une horde de trolls prêt à la bataille. Pourtant Skorri ne ralentit pas. Il accéléra. Il arma sa pioche dans son dos puis la balança d’un coup dans le ventre du premier troll. Il esquiva ensuite un coup de massue, retira son arme du monstre puant et agonisant et tenta de l’enfoncer dans la jambe de son prochain adversaire. Mais alors qu’il extrayait sa pioche de là où elle était planté, le troll qu’il venait d’éventrer s’était relever et le balança au loin d’un coup de pied. Tandis qu’il se relevait, de la poussière plein la barbe, il s’écria :
-Ils se régénèrent ! Repousser-les et refermez la porte.
Au bout de longs efforts et malgré l’incapacité à tuer complètement les trolls, les mineurs parvinrent à faire reculer les trolls puis poussèrent les lourds battants de la porte. Ils la barricadèrent avec tout ce qui tombait sous leurs mains. Skorri laissa un contingent d’une vingtaine de nains pour la garder tandis que les trolls tentaient de la défoncer (certainement avec leurs têtes ou leurs épaules vus les craquements étranges qui parvenaient aux oreilles des nains). Skorri monta de nouveau sur le rocher et s’adressa aux guerriers qui lui faisaient face.
-Il faut s’organiser ! On ne peut les tuer avec des armes non magiques ! Il faut du feu ! ( il réfléchit quelques instants avant de continuer). Je propose de faire des groupes de deux : le premier attaque le troll avec sa pioche et tente de le mettre à mal. L’autre, derrière son compagnon, profite de la moindre occasion et, armé d’une torche, brûle c’te foutu troll ! Des questions ?
-Oui, moi, l’interpella un nain dans l’assistance. C’est qu’on où trouve vot’feu, thane Poings-de-pierre ? Et les torches ?
-Eh bien, mon vieux, qu’est-ce que ‘as dans ton sac de mineur, à ton avis ? (le désigné prit un air songeur, puis sa mine s’éclaira). Et ouais, t’as des torches et des briquets à silex. Etrange, non ? Et avec quoi on va allumer un énorme feu pour allumer ensuit nos torches ? Facile ! (ses yeux se braquèrent sur un pilier en bois. Tous les nains suivirent son regard. Ils n’eurent pas besoins de d’autres explications). Bon, bah au boulot les gars !
-Une dernière question, mon thane ! Et si les trolls fuient, on fait quoi ?
-Les trolls ? Fuirent ? Ils sont trop bêtes cela, même face à des nains ! Ecoute-les ! (le silence se fit dans la salle. On entendait des chocs sourds à travers la porte, résultat des tentatives de défonçage de porte des trolls. Tout d’un coup, un craquement sinistre résonna, suivi d’un hurlement. Puis d’un nouveau choc sourd). T’entend ? dit finalement Skorri, un sourire aux lèvres. Trop bête !
Les nains se mirent ensuite au travail et, au bout de quelques minutes, un grand feu régnait au milieu de la salle. Les nains firent ensuite ce que leur avait dit leur chef, puis ils ouvrirent la porte.
La bataille avait commencé. Les nains se jetèrent avec fureur sur leurs ennemis, Skorri à leur tête.
Lui combattait seul. Une pioche dans une main, une torche dans l'autre. Il était tel un dieu de la guerre. Il était un mélange de colère et de fureur contrôlé. Il était un guerrier sans peur. Il était un nain !
La technique de Skorri marcha à merveille. Les trolls se firent décimés jusqu’au dernier, mais aucun ne pensa à se sauver. Trop bête pour cela, songea le nain, durant la bataille.
La bataille toucha bientôt à sa fin. Les nains de Skorri ne comptaient qu’une trentaine de morts et une centaine de blessés, des pertes mineures si on les comparait à celles des trolls. Skorri remercia Grungni d’une prière.

Les nains dormirent ici puis, au matin, visitèrent les mines de la forteresse reconquise. Elles étaient si riches qu’ils décidèrent de s’installer ici. Ils commencèrent à remettre la forteresse en état. Des nains de Karak Kadrin et de Zhufbar vinrent à la demande du Maître des Mines Skorri Poings-de-pierre et les aidèrent dans toutes sortes de tâches. Un temple dédié à Grungni fut érigé en tant que premier bâtiment. Signe de renouveau, comme disait Skorri. Beaucoup de nains au départ venus pour aider s’installèrent dans la nouvelle forteresse. Et bientôt (enfin, au bout de presque un siècle), la forteresse fut achevée. Et son nom donné :

Karak Athrall, les mines profondes.

C'est vraiment, vraiment du beau boulot ! J'ai tout parcouru avec avidité et ça m'a beaucoup plus !

Par contre, les fautes comme Grungni, etc., ce serat mieux sans ! Mais c'est quand même très bien. Oh et puis Bhorg, je trouve pas ça très ... nain. Ça me rappelle le prénom Bjorg que j'ai sûrement lu dans un bouquin. Je ne me rappelle ni le bouquin ni le perso, mais ce qui était sûr, c'est que ce n'était pas un nain !

PS : remarque, moi aussi, pour mes rapports de bataille j'ai toujours du mal avec les prénoms...

Merci ! pour Grungni, je vais tout rectifié de suite. Sinon, j'avoue que les prénoms et les titres, j'ai toujours eu du mal (beaucoup de mal devrais-je dire ! ). Je savais que sa faisait pas très nain Bhorg mais j'avais rien d'autres.

Sinon, tu veux bien m'aider à trouver un prénom de nain?

J'ai: snorri, morgrim, gurvii, godri, kadrin ( oui c'est aussi un prénom ), gotreck, kurgan, skorri ( je l'aime bien celui-là ), daled, magnus, thurgromm, stromni, skalf, gudii...

Tout ces prénoms proviennent directement du LA que j'ai sous mes yeux. Lesquels tu préfère ?( genre dit tes trois préférés, parce que moi si je choisi, sa sera la cata( non pas la catapulte, la catastrophe !!) Si quelqu'un d'autre à un avis, je l'accepte

Bon bah j'ai choisi Skorri Poings-de-pierre, maintenant au boulot, faut que e rectifie tout sa moi !!

bon courage

tu a été epoustouflant ,si ça avait été un film il aurait recut un oscare parceque tu est trés doué.

Merci c'est trop sympa !! Bon, maintenant, faut que je me mette à la suite...

Donc voici une sorte de suite, un récit de bataille mais qui ne provient absolument pas d'un rapport. Donc voilà, et aussi désolé pour l'abscence, mais sa risque de se répéter, et c'est à cause de quelque chose de fantastique que l'on appelle "les vacances " !


La Bataille des deux mille pioches

Asseyez-vous, asseyez-vous, jeunes nains. Je vais vous conter ici une bataille, certainement l’une des plus célèbres de notre glorieuse forteresse. Tout commence en l’année 351, alors qu’une gigantesque armée gobeline traversait les montagnes en rasant tout sur son passage, ne laissant rien derrière elle à part mort et désolation. Le Maître des Mines Skalf Pioche-sans-peur mena alors le throng de Karak Athrall dans une vallée en pente afin intercepté les horribles gobelins de la nuit.

Skalf grelottait. Cet hiver était particulièrement froid et la haute altitude à laquelle il se tenait n’arrangeait rien. Il continua pourtant d’avancer malgré les désagréments de la nature. Il ne porta pas un regard, pas un seul, aux nains derrière lui. Il savait qu’ils suivaient le rythme. Même lorsqu’ils traversèrent un col étroit qui culminait à des centaines de kilomètres d’altitude, il ne s’assura pas que ses guerriers rencontrent des problèmes. Il leur faisait confiance. La pioche sur l’épaule, il menait le puissant cortège à travers les paysages glacés. Il le dirigeait jusque là où il avait prévu d’aller : le champ de bataille. Il avait lui-même décidé d’amener son throng jusque là-bas. Car il avait une mission, et pas de moindre importance. Il devait arrêter une Waagh !! De gobelins de la nuit menés par un chef de guerre bien connu dans la région pour ses nombreux méfaits. Grosh’nut Crâne-luisant. Il allait enfin mettre un terme à l’orgie de violence et de destruction qu’il avait causé. C’est pour cela qu’il menait les nains de Karak Athrall dans ces territoires inhospitalités. Et il était décidé à repartir vainqueur, où alors de ne pas repartir.
Skalf Pioche-sans-peur et son armée parvinrent bientôt sur le site où le nain comptait affronter son ennemi. Il déploya le throng sur les hauteurs d’une vallée en pente. Ainsi, il avait l’avantage du terrain. Un bien mince atout si on le comparaît à la taille de la Waagh !! Ennemi. Plus de 50 000 milles « guerriers », si on pouvait employer le terme pour désigner les couards gobelins. Contre cinq milles nains. 1 contre 10, pensa mentalement Skalf. Mais ce n’était pas le seul avantage de ce terrain. De nombreux tunnels étaient accessibles dans les environs et permettraient certainement de prendre l’ennemi à revers. Là était le cœur même de son plan.
Alors, les gobelins arrivèrent. Un nuage de poussière (de neige) les annonçait. Ils entrèrent ensuite dans la petite vallée sous un flot continuels de guerriers. Et ça n’arrêtait pas. Il y en avait toujours plus. Le fracas qu’ils produisaient devaient s’entendre à des mille à la ronde. Dix minutes après que le premier grobi fut entré, il en restait toujours encore. Un spectacle impressionnant pour les jeunots dut penser plus d’un Longue-barbe. Sentant que ses hommes prenaient peur, Skalf monta sur un haut rocher afin de s’adresser à ses guerriers :
-Nains ! Ecoutez-moi ! L’ennemi est peut-être en surnombre, mais vous vous êtes de nains ! (un grand cri d’acclamations suivit cette phrase) Vous avez une forteresse à défendre. Des familles à protéger. Laisserez-vous des gobelins piller Karak Athrall, massacrer vos familles ? (un rugissement de colère monta des gorges des nains rassemblés) Non ! Auriez-vous peur de ces horribles grobis ? Non ! Vous allez les combattre. Non, pas seulement les combattre, mais les massacrer ! Qui est avec moi ?
Tous les nains présents hurlèrent à pleins poumons et tapèrent leurs armes entre elles pour signaler à leur chef qu’il n’était pas seul. Ce vacarme assourdissant recouvrit même celui des gobelins, en contrebas de la vallée.
En portant un regard sur son throng, Skalf remarqua que ses officiés avaient déjà placés les hommes selon le plan de bataille prévu la vieille. Les guerriers des clans avaient pris place sur le flanc gauche. Les longues-barbes tenaient fièrement le centre de la ligne tandis qu’un puissant régiment de tueurs envoyés pas Karak Kadrin s’occupait du flanc gauche. Sur les hauteurs, les arquebusiers et arbalétriers avaient pris places aux côtés des quelques machines de guerre. Plus de trois mille nains se tenait ainsi, le regard fièrement tourné vers leur ennemi qu’ils ne craignaient pas.
Pendant ce temps là, les deux mille mineurs entraient dans les tunnels. Leurs bougies allumés, ils s’engouffraient dans les grottes afin de contourner l’ennemi. Ils chantonnaient à voix haute un chant de guerre de mineurs, la pioche sur l’épaule. Et bientôt, ils disparurent complètement dans les sombres profondeurs.

Les gobelins chargèrent un criant les nains sur les hauteurs. Ils se dirigeaient tous vers le centre de la formation adverse, avec pour ordre de la faire tomber. La seconde vague viendrait ensuite sur la gauche, puis une troisième sur la droite. A ce moment là, il resterait encore vingt mille gobz au bas de la pente. Ainsi que de la force de frappe Grosh’nut Crâne-luisant. Les terribles squigs des cavernes, qui répondaient aux nombres de deux mille.
Le mur de bouclier des Longues-barbes soutint sans faillir la charge grotesque des gobelins épuisés par la montée. Ses derniers s’étaient fait éclaircir leurs rangs par l’artillerie naine. Skalf, lui, était au cœur du combat. Il abattit sa puissante pioche sur le crane du premier grobi en vue, le lui explosant. Il s’écria : « Si leurs cranes luisent, ils sont encore plus facile à défoncer que les autres. Et croyez-moi, je parle d’expérience ! » S’ensuivit d’un gros ricanement, précédés par de nombreux autres dans les rangs des nains.
Malgré la facilité avec laquelle les Longues-barbes et leur chef tuaient leurs ennemis, il y en avait toujours plus. A chaque fois qu’un d’entre eux tombait, dix le remplaçait. Plus d’un nain se retrouva en difficulté à cause de plusieurs grobis qui lui sautèrent en même temps à la gorge. Mais ils ne faiblirent pas. Ils n’avaient pas le droit.
Au milieu des combats, Skalf parvint à s’extraire de la mêlée. Il remarqua que les guerriers des clans étaient aux mains avec une autre horde de grobis, tandis que les tueurs venaient d’en finir avec des fanatiques, malgré de lourdes pertes. Il aperçut alors, en même temps que les tueurs, qu’un important contingent de trolls gravissait la pente. Enfin, presque. Ces derniers s’étaient arrêter en court de route, visiblement fatigués, et s’étaient assis en mastiquaient des cailloux, l’air complètement abrutis. Skalf supposa que lui et sa troupe de vieux briscards étaient leurs cibles, mais les tueurs se jetèrent sur eux dans de grands cris de guerre dédiés à Grimnir avant même que Skalf ne leur en ait donné l’ordre. Un rictus se dessina sur les lèvres du Maître des Mines. Les tueurs étaient incorrigibles ! Mais il perdit bien vite son sourire lorsqu’il vit la fâcheuse position dans laquelle se trouvaient les Longues-barbes et les guerriers des clans. Les gobelins étaient en train de les débordés, plusieurs brèches étaient apparues dans le mur de boucliers nain. Les mineurs devaient se dépêché, et vite ! Skalf et ses nains ne tiendraient plus longtemps.
Soudain, un grobi sauta sur le Maître des Mines avant que celui ne puisse réagir. Il tomba lourdement au sol et lâcha sa pioche dans la chute. Le gobelin se tint au dessus de lui et pointa sa lance sur la gorge du nain, un rictus mauvais sur les lèvres. Mais mourir ne figurait pas dans les plans de Skalf pour la bataille. Il se débattit et parvint à déstabiliser le gobelin. Avec un peu d’élan, il réussit alors à sauter et à attraper sa pioche, juste à temps pour dévier un coup de lance du gobelin qui s’était repris. Il tenta une feinte avec son arme avant de l’écraser promptement dans la figure du grobi, qui s’écroula pour ne plus jamais se relever. Le nain ne put réprimer un soupir de soulagement, puis se jeta à nouveaux dans la bataille.

Un grand sourire mauvais illuminait les traits de Grosh’nut. Ses gobz étaient en train de remporter la bataille ! Ils noyaient les nains sous leur nombre, ces derniers ne pouvaient tout simplement pas faire face. De plus, il lui restait encore dix mille gobelins en réservent, il venait d’en envoyer le même nombre en renfort. Les Tueurs étaient occupés avec les stupides trolls qui, malgré de lourdes pertes, devraient pouvoir les exterminé. Mais ce n’était pas tout : il avait gardé en réserve sa garde d’élite, les squigs des cavernes ! Il était lui-même en train de monter le sien, un spécimen géant auquel il s’était attaché, pour la charge finale qu’il s’apprêtait à mener. Ecraser ses propres troupes n’était pas un problème, et tant pis pour elles si elles ne se poussaient pas !
Il restait tout de même une ombre dans son plan : d’après ses éclaireurs, les nains de Karak Athrall comptait en tout et pour tout quatre mille guerriers. Plus le régiment de Tueurs envoyés par la forteresse des crêtes orange, cela devait approcher des cinq mille. Mais au début de la bataille, pas plus de trois mille nains tenaient la vallée. Il en manquait quand même beaucoup ! Presque… mille cinq cents ? Compta Grosh’nut. Puis le chef gobelin se dit que ce n’était pas important, et il s’abima dans ses rêves de gloire dans lesquels il devenait un chef puissant et respecté, plus encore que Skarsnik, et qu’il marchait vers l’Empire après avoir laissé un sillon de carnages dans les forteresses naines… Il leva son cor de guerre bien haut afin de lancer l’assaut avec ses squigs mais tout d’un coup, une portion entière de terre s’écroula devant lui, et des centaines de nain armé de pioches chargèrent le chef gobelin et sa garde d’élite abasourdis. Sans vitesse, les squigs étaient plus que vulnérables et les mineurs n’en firent qu’une bouchée.
Alors que les nains déchaînés se jetaient sur lui, la dernière pensée Grosh’nut fut : aaahhh… c’est p’tête eux les nains manquant. A moins que…

En haut de la pente, Skalf et les survivants reprirent espoir. Le premier groupe de mineur venait d’écraser Grosh’nut Crâne-luisant et ses terribles squigs, bien qu’ils soient désormais en mauvaise posture face aux gobelins laissés en bas de la vallée. Le deuxième venait d’entrer une vingtaine de pas derrière l’armée ennemie et la prenait à revers tandis que le dernier n’avait toujours pas pointé le bout de son nez. Dans une tentative de relier le second groupe de mineurs, Skalf hurla le ralliement avant de se jeter sur le premier grobi en vu. Il balaya deux autres d’un revers de sa pioche et esquiva un coup en se mouvant sur le côté. Malgré tout, il ne pourrait pas continuer comme ça. Ses bras se faisaient lourds et sa respiration, saccadée. Le combat avait été éprouvant et même son incroyable endurance dû à creuser des mines ne suffisait plus. Il en était de même pour les derniers Longues-barbes et guerriers des clans qui se faisait maintenant repousser malgré la férocité de la contre-attaque initial. Bien qu’il refuse de l’admettre, Skalf savait que la bataille était bientôt terminée.
Durant ce temps là, les Tueurs parvinrent à se défaire des trolls dans un combat où beaucoup d’entre eux trouvèrent ce qu’ils cherchaient. Mais près de deux cents survécurent et ils dévalèrent la pente vers le combat qui se déroulait en contrebas, dans de grands chants de guerre, qui firent reculer de plusieurs pas les grobis les plus proches. Les mineurs apprécièrent à sa juste valeur ce renfort inattendu, qui les sauva surement d’un massacre sans règle.
Un autre renfort se joignit alors à la bataille, au grand bonheur de Skalf et les siens cette fois ci : le troisième groupe de mineurs débarqua en plein milieu de la horde gobeline encerclée, semant la peur dans les rangs ennemis. Ils expliqueront plus tard que leur retard est justifié par un effondrement de terrain, même si les riches seaux d’or qu’ils ramenèrent de la bataille firent penser autrement à bien des personnes…
A la vue de ses guerriers sortis de nul par, et de la férocité soudaine dont faisait maintenant preuve les autres nains, les gobelins, bien qu’en surnombre écrasant, s’enfuirent de toutes parts, poursuivit par des nains ivres de sang. Leurs compatriotes en combat avec les mineurs et les Tueurs ne tardèrent pas à suivre l’exemple et la bataille se solda par une victoire écrasante de Karak Athrall.

Seulement, la victoire avait un prix. Seuls trois milles sept cent cinquante-trois nains exactement rentrèrent à la forteresse ce jour là. Un quart d’entre eux était gravement blessé, et la moitié restante souffrait de blessures superficielles. Skalf Pioche-sans-peur devint bientôt une légende vivant parmi les siens et cette victoire contribua à rayer nombres de rancunes dans le livre de Karak Athrall.


Voilà et n'hésitez pas à mettre des commentaires !

Mis a part quelques petites fautes d’orthographes (officiés,waagh qui s'écrit avec trois a au lieu de deux),c'est un très bon récit : il a de l'action,il est ni trop long ni trop court.

La description de ta forteresse est bien réalisée,avec un historique profond et joliment écrit.

En bref : je t'encourage à continuer car tu as véritablement un talent pour l'écriture ! :D

Merci pour tes compliments Glundror, sa fait plaisir !!

Pour les fautes d'orthographes, excuse-moi, c'est vrai que j'avais un peu la flemme de réctifier, surtout pour waaagh dont je ne savais pas trop le nombre de a.

Voilà