[Récit] Guerrier du Nord

Voilà le début d'une histoire de ma création.
J'espère qu'elle vous paira, et n'hésiter pas à poster vos commentaires



Gorgii attisa à nouveau le feu. Le froid était mordant. Il réajusta sa cape afin d’être mieux protéger, puis se leva. Les yeux de ses compagnons assit autour du feu suivirent son déplacement, mais aucun d’entre eux ne prit la parole. Il attrapa son lourd marteau puis sortit de la grotte pour la nuit noire et profonde.
Un loup hurla, mais Gorgii l’ignora. Un lourd manteau de neige recouvrait le sol et lui arrivait presque jusqu’aux épaules. Pourtant il avançait. Il se frayait un chemin en écartant la neige à grand coup de marteau, ce qui avait pour effet de la faire voler en éclats. La lune brillait intensément dans la nuit, ce qui permettait de se repérer facilement. Mais Gorgii n’en aurait pas eu besoin, car il voyait dans le noir comme en plein jour.
Il ne savait pas ce qu’il cherchait, à marcher ainsi dans la pénombre. Peut être seulement la solitude. Il se sentait fatigué mais il continuer d’avancer. Peut être cherchait-il quelqu’un. Ou peut être encore était-il sous l’emprise d’un sort. Cette option le fît s’arrêter, puis il se mit à réfléchir. Longuement. Longtemps. Enfin il se remit en marche. Mais cette fois dans le sens inverse. Il avança dans le demi-tunnel qu’il venait de creuser dans la neige quelques minutes auparavant.
Soudain, il entendit un bruit derrière lui, puis un deuxième. Des pas lourds le suivaient. En tendant l’oreille, Gorgii parvint à identifier le nombre de créatures qui avançaient ainsi derrière lui. Ils devaient être une demi-douzaine. Sans plus attendre, il se mit en position de combat. Ainsi positionné, le marteau tenu à deux mains près de son torse, il bloquait entièrement l’étroit couloir.
Enfin, il aperçut des voix. Elles s’approchaient. Elles étaient accompagnées des bruits sourds et caractéristiques du métal contre le métal. « Des guerriers, donc, se dit le nain. La rencontre promet d’être intéressante.
Il perçut alors ce que disaient les voix :
-Mar’ de c’te pourri d’froid ! On s’les gèle ici !
-Oué, cé encor’ sur nous ke sa tombe ! Sa sert à rien en plus cé tours de gard’, komm’ ki di l’chef.
-J’sui bien d’accord, intervint une troisième voix. Mêm’ki dit k’cé pour êt’ sûr ki à plu de nabots ki traine dans le coin, l’chef. N’import’ koi, on les à tous bouffé !
-Silens’ ! ordonna une voix plus grave que les autres. Arrêter un peu d’vous plaindr’ ! On dirait des gobz !
Alors, les orques entrèrent dans le champ de vision de Gorgii. Ces derniers l’aperçurent en même temps :
-CHAAAARRRGEZ ! s’écria Voix-grave, qui devait être chef de la petite bande. Tous ses guerriers le suivirent en hurlant : WAAAGH !
Tandis qu’ils chargeaient, Gorgii pensa : ils sont vraiment idiots, ces orques. Ils ont même vu que j’étais à plus d’une centaine de mètre d’eux
La suite, prochainement...

J'espère que sa vous a plus et dîtes moi ce que vous en penser

plein d'humour , de tension (très légère),de sérieux ,très bon mixage et encore plus meilleur dénommant

quesqu'ils sont crétin ces orques et ils se tape entre peau-vertes




bravo trés bonne nouvelle , à raconter ou à lire les longue soirée....d'hivers.

Bien... Très bien...
J'attends la suite !

Grom'

Un beau pt'tit récit !

La suite, la suite !

Merci pour les compliments, la suite devrait arriver prochainement.

Citation :

bravo trés bonne nouvelle , à raconter ou à lire les longue soirée....d'hivers.

Heuu... Ce n'est pas une nouvelle
En tout cas merci encore pour les compliments, sa me pousse à continuer d'écrire

Gorgii a écrit:

Heuu... Ce n'est pas une nouvelle

...................................ok ,aujourd'hui c'est pas mon jour........................................je voulais dire que cette partie de ton histoire qui risque d'être long et génial suffit déjà à s'en payer une bonne tranche quand on a envie de rire,le fait que le début soit génial prouve que la suit ferat preuve de génie et talent de la part de l'auteur

POURQUOI ON COMPREND JAMAIS MES BLAGUES!!!!!BOUhOUHOUHOU ( )

Et voici la suite, en espérant qu'elle vous plaise
Comme d'hab, n'hésiter pas à commenter

Skorri regarda partir à travers la paroi de la grotte son ami avec une inquiétude non dissimulé. La nuit était froide dehors, et des prédateurs de tout poils rôdaient. Une cible seul et isolé était une proie facile pour n’importe qu’elle bande assez bien organisé. Même si cette cible était un nain.
Skorri soupira et attrapa sa choppe de bière. Il la leva à ses lèvres et en but une gorgée, puis une deuxième et une troisième. Il reposa le gobelet et songea avec plaisir lorsqu’il sentit le liquide chaud se répandre dans son estomac : La bière. La plus belle invention du nain.
Mais son inquiétude demeurait. Il décida finalement de le rejoindre, au cas où. Il se leva, puis porta un regard interrogateur aux quatre autres nains assis autour du feu. Ces derniers comprirent le message et se levèrent à leur tour. Aucun ne fut échangé. Il éteignit le feu par précaution et attrapa son marteau de bataille. Ses compagnons firent de même, puis le petit groupe sortit dans le froid.

L’impact fut bref, et brutal. D’un énorme coup de marteau, le nain expédia un orque dans la mort, explosant son crâne verdâtre. Mais le deuxième, plus imposant que son feu congénère, était déjà sur lui, brandissant d’une seule main un kikoup’ d’une taille impressionnante. Gorgii esquiva le premier coup maladroit que lui porta la bête, mais déjà un second s’abattait sur lui. Relevant les yeux, le fier guerrier aperçut un autre adversaire encore, suivi d’un troisième, qui tentait de le frapper. Il para un coup de massue et expédia l’arme du revers du marteau plusieurs mètres plus loin. Quelque chose le frappa dans les côtes, mais le nain resta stoïque. Il brandit haut son marteau, puis le fit pivoter jusque dans le torse de l’orque qui venait de perdre son arme. L’arme enfonça profondément la cage thoracique de ce dernier et l’envoya rouler dans la neige. Il était inconscient, voir mort.
Un coup de poing cueilli Gorgii au visage, et provoqua sa chute. Des années, voir des siècles de guerre avaient appris au nain que mieux ne valait pas rester au sol lors d’un combat, ce qui le poussa à effectuer une roulade. A peine relever, il fit effectuer à son marteau un arc rotatif qui vint briser les jambes de l’orque qui venait de l’envoyer au sol. Un second coup de son arme fit taire les misérables hurlements de douleurs de la bête, qui traînait piteusement dans la neige.
Les peaux-vertes restants restèrent cette fois à distance honorable du guerrier nain. Trois d’entre étaient désormais réduit à l’état de cadavre. Les survivants, menés par un guerrier à la peau vert sombre et plus armés que les autres, le toisaient de leurs yeux rouges malveillant. Gorgii mit à profit ce court répit pour en apprendre plus sur ses adversaires. Celui le plus à droite était d’une carrure plutôt chétive, pour un orque, et brandissait deux kikoup’ de taille modeste. Celui-ci ne devrait pas poser trop de problème, se dit Gorgii.
Le second, au milieu, était un orque que l’on pouvait qualifier de standard. Musclé, imposant, armé d’une lance et d’un bouclier et surtout, moche. Le nain devrait sans sortir. C’était à sa gauche qui lui posait problème : d’après ses estimations, Gorgii en conclut que c’était un orque noir. Les plus dangereux des peaux-vertes.
Cinq battements de cœur plus tard, Gorgii avait établi son plan. Et le mit en exécution.
Il se jeta avec fureur sur le plus frêle des peaux-vertes et, avant que les deux ne puissent réagir, le déstabilisa d’un coup d’épaule et l’abattit de trois coups rapides. Il recula pour faire face au second : ce dernier s’approcha en hurlant et tenta de lui porter un coup de sa lance. Mais Gorgii fut plus rapide, lui attrapa un bout de la hampe et tira brutalement l’orque vers lui. Le coup de boule partit tout seul, le casque en fer forgé brisant le misérable bouclier de bois qu’avait porté en avant le peau-verte et finit sa course dans le menton de ce dernier. Le choc ne suffit pas à arrêter l’orque, mais un coup vicieux de marteau dans les rotules, si.
Gorgii jeta un regard mauvais à son dernier adversaire, cracha dans la neige et se jeta en avant.

La suite, après la pub

BASTOOOOOOOOOOOOOON!!!!!

très bien , les scènes de combat sont génial mais le meilleur est à venir

la suite! avec une baston qui dépote un affrontement nain vs orque noir c'est pas tous les jours , d'habitude c'est 30 nain vs 60 orque noir

je léve ma chope à ton talent
aller la suite!!!

polo a écrit:

BASTOOOOOOOOOOOOOON!!!!!

Ouais, BASTON !!
Moi, j'aime la baston

En tout cas merci pour les compliments, sa fait plaisir

Joliiiii !

Citation :

'habitude c'est 30 nain vs 60 orque noir

T'a raison, ces maudits orques viennent jamais assez nombreux. Y s'étonnent qu'on leur foute la pâtée après !

Citation :

La suite, après la pub

Pour les épées durendil peut-être ?

Arthamir a écrit:

Citation :

'habitude c'est 30 nain vs 60 orque noir

T'a raison, ces maudits orques viennent jamais assez nombreux. Y s'étonnent qu'on leur foute la pâtée après !

lol

hahahah excellent , tu vas me tuez

Arthamir a écrit:

Citation :

La suite, après la pub

Pour les épées durendil peut-être ?

hahahahahahahahahahahhahaahhahahaha!!!!! trop c'est trop tes un assassin charger de me tuer c'est ça

ouf c'est bon , désoler mais il faut savoir que les bonne blague ponctuelle me font rire au éclat et j'ai très souvent des fou rire innarètable

Voilà la suite de mon histoire ! J'espère que la pub sur les épées durendil n'a pas été trop longue
Comme d'habitude, n'hésiter pas à poster vos commentaires !

Skorri et ses compagnons avançaient péniblement dans la neige. Ils avaient repérer sans problème l’énorme passage que Gorgii avait laissé derrière lui, mais eux essayaient d’être plus discret. Ils avançaient silencieusement sur le côté, laissant le moins de traces possible dans la neige. Des bruits trahissaient parfois le sombre silence de la nuit, mais ils les ignoraient promptement.
Soudain, ils entendirent des bruits de combat au lointain. Au début ce ne fut qu’un murmure, mais il s’intensifia petit à petit.
Skorri, qui menait la petite bande, ordonna aux nains :
-Ça sent ce bourrin de Gorgii à pleins nez. Il a encore dû trouver le moyen de s’enfoncer dans le pétrin jusqu’à la moustache. Quel idiot.
Puis ils s’élancèrent silencieusement vers l’endroit d’où leur provenaient des bruits de combat.

Gorgii fut rapidement sur l’orque. Celui-ci brandissait une énorme hache, qui devait bien faire deux fois la taille du nain. Cependant, ce dernier ne fut nullement impressionné, et esquiva d’un pas sur le côté le premier coup. Il tenta de faire basculer l’orque noir mais ce dernier ne sentit presque rien. A peine s’il n’émit un grondement. Le peau-verte avait relevé son arme et effectua un balayage horizontale. Le nain leva son marteau juste à temps pour éviter de finir coupé en deux, mais le choc se ressentit dans son arme qui vient lui cogner la tempe. Il manqua de s’effondrer, mais son casque lui sauva la vie. L’orque rugit puis frappa à nouveau. Le nain, étourdit, para l’attaque de peu, et recula encore. Le peau-verte profita de sa situation favorable en tapant encore sur le nain qui s’effondra au sol. L’orque le surplombait intégralement. Il beugla de satisfaction et mena sa lourde arme au-dessus de sa tête.
Mais le nain n’avait pas dit son dernier mot. En des mots inconnus de l’orque, le nain étendu dans la neige fit briller son marteau. Des signes étranges se mirent à luire de plus en plus fort, jusqu'à ce que tout le marteau soit recouvert d’un halo lumineux, qui respirait la puissance. L’orque, intrigué, rabaissa son arme et regarda d’un air songeur l’arme runique. Le nain se releva doucement, dans des mouvements empreint de noblesse, puis brandit le marteau. La neige avait fondu autour de l’emplacement où avaient été activées les runes de l’arme.

Voilà la suite de mon histoire ! J'espère que la pub sur les épées des

Skorri et les siens entendaient plus clairement les bruits de combat maintenant. Ils sentaient qu’ils s’approchaient du but. D’un geste de la main, un des guerriers indiqua à ses frères d’armes qu’il avait découvert quelque chose. Ils le rejoignirent en vitesse et se penchèrent à travers les feuillages pour apercevoir une étrange scène qui se déroulait en contrebas.

Le marteau brisa d’un coup la hache. Des débris volèrent en tous sens, venant se figer dans la neige. Seul le manche de l’arme était encore en place dans la main de l’orque. Celui-ci rugit, puis sortit deux kikoup’ de taille qui en ferait blêmir plus d’un. Mais le nain avait exploité ce court moment de vulnérabilité et son marteau effectua un puissant mouvement d’avant arrière. Une trainée de flammes suivait la courbe effectuée par l’arme runique. Les crânes des orques étaient connus comme parmi les plus résistants d’entre toutes les races, pouvant même rivaliser avec ceux des vouivres. On disait, chez les humains, que le combat entre un mur de pierre et un crâne d’orque appartenant à un individu quelques peu attardé était loin d’être joué d’avance.
Cependant, cela ne suffit pas. Le crâne explosa sous l’impact, répandant une matière visqueuse grisâtre aux alentours. Le corps de l’orque plia sur les genoux, puis s’enfonça face contre terre dans la neige.
Le nain, haletant, déposa délicatement son marteau qui s’était éteint contre la base d’un arbre non loin. Il s’assit lui-même à coté et retira son lourd casque afin de s’aéré un peu. Un vent frais lui balaya le visage, ébouriffant les majestueuses tresses qui ornaient sa barbe et ses cheveux, séchant les lourdes gouttes de sueur qui perlaient sur son front. Il soupira de plaisir. Il était de peu fièr de son combat contre l’orque noir, car il avait été obligé d’activer les runes de son marteau pour s’en sortir, alors qu’il se savait largement capable de vaincre dans un tel duel sans même se fatiguer. Mais il n’avait pas réfléchi. Il était dans un mauvais jour.
Il espérait seulement que la puissante lumière émise par son arme runique n’avait pas alerté d’autres créatures.

Ah la la ça cogne dur par ici !

Bravo pour le récit, il est bien sympa, je viens de tout lire, c'est assez bien ficelé, j'attends la suite avec impatience pour voir ce que vont dire les copains de Skorri !

Je n'ai qu'une chose à dire (à part : c'est trop cool) :

La suite ! La suite ! La suite !

Grom'

Merci pour les commentaires encourageant, sa fait plaisir
Je vais de suite me remettre à l'écriture

devine quoi . aller devine.tu c'est pas? bon ba je vais te le dire alors. BASTOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON!!!!!!!!!!!!



c'est génial continu comme ça on attend la suite.

polo a écrit:

devine quoi . aller devine.tu c'est pas? bon ba je vais te le dire alors. BASTOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON!!!!!!!!!!!!



c'est génial continu comme ça on attend la suite.

Lol !
J'avais pas deviné !
Merci en tout cas

Voilà la suite !
J'espère qu'elle vous plaira
Je préviens de suite, il n'y a pas de castagne dans cette partie
Surtout, n'hésiter pas à lâcher les commentaires, ( bon ou mauvais ) sa fait toujours plaisir de savoir son récit lu !

_________________________________________________________________________

Skorri se pencha à travers les feuilles et écarta de la main des branches basses qui gênaient sa vision. Au centre de la clairière, il apercevait Gorgii, en train roupiller, adossé à un large arbre. Son fameux marteau runique à ses côtés. Quatre cadavres d’orques, dont un d’orque noir, traînaient à ses alentours. Skorri soupira, puis déclara à ses compagnons :
- Regardez-le. Il abat quatre des créatures les plus violentes du monde connu, sans même s’essouffler, la nuit, dans de la neige qui lui arrive quasiment aux épaules et après une heure de marche. Puis il en profite pour se taper un petit somme contre un arbre, ne craignant rien. Eh bien sachez-ceci :
Il est votre chef.

A quelques milles de leurs positions, un groupe de guerriers du chaos étaient en train d’éventrer les survivants d’une tribu orque. Des maraudeurs débarquaient de leurs navires afin de piller un important village humain et criaient des prières à leurs sombres dieux.
Dans ce monde d’horreur et de traîtrise, de magie et de corruption, les nains étaient l’image même du courage et de l’honneur.
C’était un monde de froid et de neige, de dangers et de périls.
C’était la Norsca.

XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX

Le roi ruminait des paroles inintelligibles à travers ses lèvres. Il avançait d’un pas rapide dans le tunnel magnifiquement sculpté, ne s’arrêtant à peine lorsque l’on lui adressait la parole. Il bouscula quelques naines qui bloquaient le passage sans même s’excuser.
Il était pressé.
On l’attendait pour un conseil de guerre. Il ne savait pas encore ce qu’on avait à lui dire, mais il sentait que c’était de la plus haute importance. Des rumeurs circulaient déjà dans tout le Karak quant à l’explication de la venue de deux nains haletants et bardés d’armes à une heure aussi tardive le soir précédent. Le roi les avait fait entré sans même leurs posé de question – ils étaient des dawis, après tout – puis leur avait laissé une journée pour se reposer. Il était désormais temps de répondre aux questions.
Il connaissait par cœur l’inextricable labyrinthe de tunnels que formaient son Karak, et se savait bientôt arrivé à la salle des conseils. Sur le côté, des scènes de batailles magnifiquement sculptés à même la roche ornaient les tunnels. Elles représentaient les batailles d’antan, les éternelles guerres que les nains de Norsca avaient dû livrer contre les guerriers du chaos, les peaux-vertes, les démons mais surtout, contre leurs cousins hais, les dawi-zarr.
Enfin, le roi atteignit la grande porte qui ouvrait sur la salle du conseil. Elle mesurait près de vingt pieds de haut. Elle était finement décoré, mais gardait un coté sobre. Elle était entièrement faite en pierre, et des décorations légères l’ornaient de haut en bas. Elle était impressionnante.
La porte était gardée par deux brise-fers en armure complète de gromril. Chacun d’eux portait un grand bouclier rond, forgé dans le même métal que leur armure, et leurs visages étaient invisibles de par leurs casques qui les recouvraient entièrement. Des faces naines forgées remplaçaient les vraies. Leurs longues barbes, tressaient et décorés, dépassaient. Elles atteignaient pratiquement leurs genoux
Le roi les salua. Les brise-fer, reconnaissant leur seigneur, attrapèrent les lourds battants de la porte et la poussèrent. Un grondement puissant leur répondit, mais la porte ne bougea pas d’un pouce. Les deux nains ne se découragèrent pourtant pas, et redoublèrent leurs efforts. Alors, petit à petit, ils avancèrent. L’entrée fut bientôt ouverte.
Le seigneur entra enfin dans la pièce, tandis que les lourdes portes se refermaient derrière lui.

Postez des commentaires, critiques ou pas !

AAAaaaaahhh j'aime bien, on sent la tension du seigneur qui a quelque chose à dire ou à apprendre !

La suite !

j'aime beaucoup les personnage,le chef gorgii(toi) , le roi très pressé , la description des brise fer qui fais resortire leur appartenance à l'élite,et la déscription de la forteresse .bravo à toi tu a vraiment du talent.



PS:continu à posté des petit bout comme ça c'est pas découragent à lire (même si quand c'est bien écrit on le lit qulque soit la longueur)et puis c'est moins long pour toi

Voici la suite !
J'espère qu'elle vous plaira
Je tiens à prévenir, je ne voulais as que mes nains soient parfait, vous le remarquerez tout au long de l'histoire :

Devant lui se dressait les deux voyageurs, coiffés et portant des affaires flambants neufs, ainsi que les différents membres du Conseil des Anciens. Ils étaient placés autour d’une table en pierre taillé, rehaussé de runes brillantes. Les thanes des différents clans y siégeaient, ainsi que les représentants des plus importantes guildes : la Guilde des Maîtres des Runes, des Ingénieurs, des Forgerons ainsi que celles des Joailliers. Le trône du roi se situait en face du demi-cercle, de façon à ce que tous puissent le voir. A ses côtés, deux places étaient réservés à ses deux principaux conseillés : Morgrim, son meilleur ami et porteur de la Bannière du Karak, et Kadrin, le seigneur des runes de la forteresse.
Le roi s’assit, sous les regards de toute l’assemblée, puis soupira. Il fit signe au deux voyageurs d’avancer. Ils lui obéirent, puis lorsqu’ils se jugèrent assez proche, saluèrent le roi bien bas, leurs nez touchant pratiquement le sol. Celui-ci, un sourire aux lèvres, peu habitué à se voir ainsi montrer tant de respect, les fit relever et leur dit :
-Nous vous avons laissé une journée entière de repos, sans vous posez ne serait-ce qu’une seule question. Nous vous avons logé, sans rien vous demandé. Nous vous avons laissez libre espace dans la forteresse, sans rien vous demander en retour. Mais maintenant, il est temps de répondre à nos questions. Vous ne sortirez pas d’ici tant que vous n’aurez pas étanché notre soif.
«Alors, qu’est-ce qui vous amène ici ? »
Un silence accueilli le bref discours du roi. Après quoi, un des deux nains, celui dont la barbe était la plus longue, s’avança :
-C’est un demande à l’aide, seigneur. L’ennemi nous a attaqués. Le Chaos est à nos portes. Nous venons de Karak Krost, et implorons votre soutien. Nous n’aurions normalement dû ne pas accepter votre offre. Mais vous ne nous avait pas laissé le choix. Mais désormais, vous, notre allié, devait venir à notre aide. Car si Karak Krost tombe, votre forteresse, bien que puissante, ne fera que la suivre dans son sillage. Vous le savez autant que moi. Rappelez-vous la forteresse de Kraka Norg, tombé il y a longtemps sous les coups des serviteurs des dieux sombres. Souhaitez-vous que votre forteresse ressemble à celle-ci, qu’elle ne soit plus qu’une légende accompagnant Karak Krost dans la chute des royaumes nains de Norsca ? Il n’y a aucun espoir à attendre des forteresses du sud, déjà en guerre à ce que l’on m’a dit, contre les peaux-vertes. Notre seule chance de survie dépend de vous.
« Alors ? Que répondez-vous ? »
Le roi les regarda longuement tous deux. Il ne savait que répondre. Il savait au plus profond de lui-même qu’ils disaient la vérité. Mais il n’avait pas apprécié la manière dont c’était exprimé l’envoyé, il avait eu l’impression que ce dernier tenait son honneur en piètre estime :
-Seriez-vous en train d’insulter ma forteresse ?
Alors, Morgrim, moins consciencieux que son ami, prit la parole pour éviter un désastre :
-Il a raison, sir. Vous le savez tout aussi bien que moi. Il faut envoyer de l’aide à Karak Krost. Nous pourrions aussi en profiter pour renouer les liens avec la forteresse. (Il se baissa à l’oreille du roi et lui dit :) Et ils auront ainsi une dette envers nous, Gudri. Ils seront donc obligé d’accepter de nous aider si nous nous faisions attaquer à notre tour. N’oublie ce fait, mon ami.
Gudri sourit. Morgrim avait raison. S’il acceptait, il renforcerait la puissance diplomatique de Karak Krost, ce qui n’était pas plus mal. De plus, il s’ennuyait dans la forteresse. Il était un roi guerrier. Cela faisait longtemps que sa hache n’avait plus tâté le sang de ses ennemis.
-J’accepte de porter l’aide de Karak. Notre throng appareillera dans trois jours, vous nous conduirez à votre forteresse. Et sachez que ce sera moi qui mènerai nos troupes à la bataille.
Un sourire rayonnant accueillit ses sages paroles. Gudri descendit de son trône, et avança d’un pas solennel vers les deux nains. Il leur tendit sa main, puis les serra d’une poigne féroce.
-Allez en paix, leur dit-il. Nous viendrons.

Voilà, et postez des commentaires pour que je sache ce que je dois améliorer, ou pas

Il y a quelques erreurs de syntaxe mais la trame est superbe.

Tu dis "appareillera", ils partent sur des navires ?

Oui, effectivement, car les nains de Norsca utilise encore des bateaux styles drakkar viking, et contrairement à leur cousin du sud, aime bien de temps en temps prendre le large...
Enfin, d'après mes maigres sources

Je ne révèle rien, en fait les deux forteresses seront chacune d'un côté d'un grand lac perché entre les montagnes...
Manque plus qu'à l'expliquer

Citation :

Il y a quelques erreurs de syntaxe mais la trame est superbe.

et encore, ce n'est là que le prologue... Toujours pas fini d'ailleurs.
Oulala, je viens d'avoir une idée pour Gorgii et ses compagnons !

Gorgii a écrit:

Oui, effectivement, car les nains de Norsca utilise encore des bateaux styles drakkar viking, et contrairement à leur cousin du sud, aime bien de temps en temps prendre le large...
Enfin, d'après mes maigres sources

Et ils ont aussi construit un tunnel laritile sou la Norsca pour relier la mr des crocs et du chaos et la mer des crocs.

Grom'

Gromdal a écrit:

Gorgii a écrit:

Oui, effectivement, car les nains de Norsca utilise encore des bateaux styles drakkar viking, et contrairement à leur cousin du sud, aime bien de temps en temps prendre le large...
Enfin, d'après mes maigres sources

Et ils ont aussi construit un tunnel laritile sou la Norsca pour relier la mr des crocs et du chaos et la mer des crocs.

Grom'

C'est ironique ou bien non ?
Si ça ne l'est pasn qu'est-ce qu'un tunnel laritile ?