Les Barbes Brunes

Bonjour à tout

Voici le début de l'histoire en 3 petits chapitre de mon armée de nain les barbes brunes (pas de traduction en Kazalide). J'ai du opérer à des corrections nécessaires dans les trois premiers chapitres et dans le titre après avoir longuement imaginer la suite.

Chapitre 1: la Révélation

L’Histoire des barbes brunes commença il y a maintenant près de cent ans. Lorsque un matin comme un autre Urbar fils de Tingrold, Chef incontesté de son clan se levât et entrepris de rejoindre son bureau sans un bruis pour ne pas réveiller sa femme, vaste tache car le sol de leur chambre étai couverte de vieilles factures en règle et de biblo divers, il avait presque atteint la porte lorsque soudain;il vit le sol venir à sa rencontre. Trébuchant sur un objet très lourd, non- identifié, mais possédant sans nul doute, son pied en étai certain, au moin un coin très pointu et très solide, il tenta de se réceptionner tant bien que mal, sur le sol... Après s’être relevé en proférant tout un tas de malédiction incompréhensibles, ce qui eu pour seul effet de réveiller sa femme, il se rendit compte avec stupeur que l’objet de sa chute était le grand livre des rancunes de son clan.

Il réalisa que pendant les quinze années qui venaient de s’écoulées sa seule préoccupation avait été le rendement de ses forges et l’économie du clan. La dure réalité le frappât soudain comme un coup de poing au visage, comment lui le propre Chef de son clan, avait t’il put ignorer les anciennes valeurs de son peuple au point de laisser traîner le Grand livre des rancunes plusieurs fois centenaire dans l’affreux fourbie étalé sur le sol de sa demeure. C'était à n'en point douter, un affront fait aux valeurs inculquées par son père et tout ses père avant lui, que de faire passer le rendement avant les rancunes.

Rongé par le remord il décida de le relire de la couverture à la couverture, pour se donner une bonne clac de patriotisme. Le lendemain soir après avoir finit sa relécture du Grand livre, (sans interruption) un profond éclair de lucidité le transperçât. Tout ce qu’il avait put accomplir pendant les quinze dernières années, était du flan cela ne servait à rien, et ne menait nulle part. Pire il en avait oublié ses rancunes et ses valeurs.Il referma le livre, en rajoutant une rancune, et passa la nuit entière à réfléchir sur ses fautes et à la manière de venger la nouvelle rancune, inscrite envers lui même sur les pages séculaires.

Chapitre 2: le Projet fou

Le jours suivant il fit réunir tous les membres influent du clan, à savoir: son Arrière Grand Père Kurnrir, le plus ancien membre de la famille encore vivant à part lui, qui ne dirigeait pas le clan à cause de ses obligations dans l’élite des maître des runes de la forteresse et son jeune cousin Endrikur membre de la guilde des ingénieurs locale. Et autour d’une table bien garnie, il leurs exposât les raisons de leur présence en ce lieu en débutant par sa prise de conscience, puis en leur exposa le fruit de ses réflexions.

Le vieux maître des runes restait songeur et impassible, au contraire de Endrikur qui paraissait de plus en plus intéressé au fur et à mesure que Urbar exposait son projet. Ce dernier consistant ni plus ni moins, qu’à dépenser la fortune familiale en armement et en équipement pour lever une armée constituée de tout les membres du clan volontaires puis aller de pars le monde venger les rancunes des barbes brunes. Et ce faisant laisser tous les autres membres du clan faire tourner les forges et les ateliers pour soutenir l’effort de guerre, tandis que sa femme gèrerai les finances, comme Urbar le lui avait enseigné au cours des ans.

Plusieurs minutes silencieuses s’écoulèrent après que Urbar ait exposé ses intentions. Kurnrir et Endrikur était pensifs et pour cause, se lancer dans une telle croisade signifiait tout abandonner derrière soit pour de très nombreuses années. L’approbation du vieux maître des runes était capitale pour une telle entreprise. Kurnrir exprimât son avis en ces termes: « Urbar je commençais réellement à douté qu’un jour tu réagisse et que tu reprenne ta conduite en main. Et même si je n’en espérais pas tant de ta prise de conscience, je suis tout à fait en accord avec ton projet et je marcherai avec toi pour venger nos justes rancunes. ». Endrikur quand à lui, n’avait pas vraiment besoin de s’exprimer tant l’impatience se lisait sur son visage. En effet pour un maître ingénieur, la meilleure opportunité de tester ses machines reste le champ de bataille, et le soutien de l'armée apportait toujours des liquidités à profusion. Il fut donc décidé d’annoncer ce tournant dans l’histoire du clan séance tenante à tous les nains concernés.

Chapitre 3: le Départ

Les cinq jours qui suivirent furent entièrement mis à contributions pour préparer le départ de la troupe, pour acheter de l’équipement au près de la guilde des ingénieurs et pour établir le futur itinéraire de la croisade. La colonne partirai au matin de Karak-Hirn et remonterai les montagnes grises vers Karak-Izor, Karak-Norn, Nuln, puis les forêts de l’empire

La petite armée forte d’une centaine de nains déterminés à faire payer leurs ennemies pour leurs fautes, de deux balistes et d'un canon, de plusieurs aides de camps diverses, d’un vieux maître des runes impassible, d’un jeune maître ingénieur impatient, et d’un chef de clan déterminé se mit donc en route vers sa première rancune à venger.

Sympa comme récit.

Par contre ils auront bien du mal à venger leur rancunes tes nains, à seulement 50^^.


P.S : bienvenue sur le forum

Il faut bien un debut à tout, Après quelque victoires d'autre viendrons grossir les rang de Urbar dans sa quette de la vengence

Alors alors !
Le language parfois familier n'est pas désagréable
Les touches d'humour sont plutot sympathique, je cite mes préferé

Citation :

se réceptionnât tant bien que mal (mais surtout mal)

Citation :

d’un vieux maître des runes impassible, d’un jeune maître ingénieur impatient

En gros la forme est tres sympa.
Pour le fond...
J'aime l'idée des remords , des rancunnes oubliées etc...

Par contre il ya un probleme. La société naine et une société clanique, une société de guilde. Les nobles naissent nobles et le restent, les forgerons naissent forgerons (ou peuvent devenir maitre des runes...) les ingenieurs sont ingenieurs depuis leur naissance. Bon il ya des exeptions quand un enfant montre des talents particuliers pour tel ou tel profession. Mais c'est rare. En résumé une famille naine composé d'ingenieur , de nobles (noblesses d'épée j'entend...) et de maitre des runes eh bien c'est impossible.
C'est un inconvenient assez important je suis d'accord et outrepassé cette regle n'est pas si grave que ça. Mais il fallait que je le releve. (car je suis le vieux cons de la forteresse )

Snorri, sinon c'est tres bien !

Etant donner qu'un forgeron peut devenire maitre des runes et que Kurnrir à plussieurs siécle d'éxistance derriére lui (donc assez de temps pour devenire maitre) je ne vois pas ou est le probléme. Sinon les maitre des runes pouvant etre des fils de noble pistoner par leur pére cela résou également le probléme.

En effet le piston peux regler le probleme.
Je ne remet pas en cause que Gurdil puisse etre Maitre des runes apres desa nnées d'existence je dit juste qu'il est difficile qu'il compte dasn sa famille des membres d'autre guilde.

Snorri, c'est pas vraiment important. Ce n'est mentionné que dans Pierre et Acier alors...

A oui je comprend mieux dans ce sens la. Il est vrais qu'un maitre des runes est un maitre ingénieurs dans la même famille ça ne doit étre très courant. Mais l'histoire éxigeait de partir avec des personnage faisant partie de la même famille et lutant pour la même cause.

Et finalement Endrikur l'impatient trouve plus sa place dans la guilde des ingénieurs. Son ésprit curieux et inventife aurait sans doute été moin apprécié dans une carriere de Maitre des Runes !!!

EDIT: C'est quoi sa Pierre et Acier ??

C'est le bouquin de référence de fluff nain. En faite il n'y a que du fluff dedans. C'est vraiment un bon bouquin, il a été écrit je croie pour le JDR (fallait approfondir pour le JDR quoi ....)
Je le conseil a tous !

Snorri, où le trouver ? moi je l'ai eu sur ebay..Apres je sais pas...

Très bon début j'aime le principe du petit clan qui as des petite rancune mais qui au fur et a mesure en voit des plus en plus grande lui être infligé(c'est le cercle vicieux des nains)

Citation :

C'est quoi sa Pierre et Acier ??

par contre la je suis un peu déçus. un très bon bouquin qui t'apprend beaucoup de chose sur la société naine.

j'aime bien ton histoire. je trouve ça marrant et interressant.

parcontre, ton histoire est un peu invraisemblable pour tes rancunes : ces dernières font parties intégrante de la société naine. c'est la chose la plus importante dans une vie de nain.

Chapitre 4: Les profondeurs

La nouvelle du départ de la colonne guerrière, se répandit comme une traînée de poudre. Le conseillé du roi sollicita Urbar pour s’enquérir des répercutions possibles du départ de la troupe sur l’économie de la forteresse, et rassurer d’entendre que la femme d’Urbar s’occuperai de ses affaires ; il donna son avale et par lui celui du roi, au départ de la colonne. Et au matin nombre de nains étaient venus voir les braves quitter la citadelle par les anciens tunnels, pour un cheminement à peu près sur vers Karak-Izor.

L’avancée se déroula sans encombre; les monstres croisés dans les souterrains, qui n’avaient pas l’intelligence de s’écarter, étaient promptement anéantis par une grêle de projectiles. Seul le train d’artillerie resta un problème réel. Endrikur qui ferma la marche avec ce dernier et les Longues-Barbes. N’aillant pas été autoriser à emmener ses prototypes de Chariots-Vapeur par Kurnrir qui les jugea trop dangereux, il pestai en silence, derrière sa visière contre l’incompréhension des anciens, qui par leur obscurantisme et leur culte du bout de ficelle tendu sur un morceau de bois tordu, maintenaient le peuple nains en état de stagnation. Et accessoirement forçai son beau train d’artillerie à se traîner dans les tunnels comme une limace de roches, au lieu d’avancer à la même vitesse que le reste de l’armée, ce qu’il aurait fait grâce à ses Chariots-Vapeur.

Kurnrir quand à lui ouvrai la marche en portant une lanterne à clapet, qui éclairai le chemin plus que nécessaires, avec à sa suite Urbar et une douzaine de Brises-Fer. La lanterne en elle-même étai fort simple d’acier et de verre, mais c’est dans son fonctionnement qu’elle se distinguai ; Kurnrir la tenait pour héritage familiale, un héritage ne se transmettant que d’Initier des runes à Initier des runes, et qui datai du temps de l’age d’or. La lanterne contenait une sphère runique, luisant faiblement d’un pale éclat intérieur, même pas de quoi lire un livre de nuit, mais elle étai réactive à la chaleur et une poignée de charbon enflammée et de cendres, suffi à libérer la puissance de la sphère qui avait maintenant besoin de la lanterne à clapet sans quoi Kurnrir et tout le groupe derrière lui n’auraient pas vue plus de choses que si il avait fait complètement noir.

A Karak-Izor leur arrivée fis quelque remous, principalement au près des aubergistes chanceux qui se trouvai du coter ou ils rentrèrent dans la cité. Urbar demanda conseille aux mineur et aux patrouilles locales pour un chemin sur vers Karak-Norn. Puis ils repartirent le lendemain, avant même que les autorités de la citadelle en la personne du roi Kazran Frontaustère, n’aient pus pencher le nez sur leur cas.

Leur arrivée à Karak-Norn, posa néanmoins plus de problèmes que prévus à Urbar. Ils durent s’annoncer aux gardes, avant de franchir les portes, leur arrivée ne passa donc pas innaperçu aux yeux du roi Brokk Picdefer le Lugubre qui fis mander Kurnrir et Urbar.
Le roi ne s’emblai pas dans un bon jour, la rumeur voulait que cela soit à cause des hommes de Nuln, qui tentaient de se rendre de plus en plus indépendant des nains en fabriquant leur propre poudre et armes, par l’intermédiaire de leur propres mines, ce qui faisait quelque peu baisser les rendements de Karak-Norn.
Urbar expliqua au roi le but de son voyage, et tenta le diable en demandant des cartes de la région au nord jusqu'à Nuln. Kurnrir rajoutant qu’aucun artisanat produit en la dite cité ne serai digne de rejoindre le convois ; aussi feraient- ils ici des réserves de poudres, munitions et de tout ce que leur maître ingénieur jugerai nécessaire.
Le roi rassuré par les paroles des deux nains, accéda à la requête de Urbar. Et permit à la troupe de rester pour se rééquiper et étudier leur itinéraire. En sortant de la salle du trône Urbar parla d’une voix semi-autoritaire semi-tremblante, a son aîné : « J’espère tout de même que tu ne va pas dire à Endrikur de prendre tout ce qu’il ‘‘jugera nécessaire’’… sinon, cela risque d’englober un bon paquet de choses allant de, deux cents paires de pistolet jusqu'à trois Gyrocoptères, et six chargement de charbon… » .« Non bien sur, le rassura l’ancien avec un sourire complice, nous dirons à Endrikur de se contenter de racheter les munitions gaspillées sur les trolls en route, et nous omettrons malheureusement l’autre partie »

EDIT: Je suis en train de pondre la suite, et pour le coup je place un sondage; pensez vous qu'une forteresse digne de se nom, doit avoir un nom commençant forcément par un des adjectif suivant ou dans le même genre:
Karak - Barak - Kazad - Kraka - Karaz - etc...

J'ai pas encore lu, j'ai pas le temps tout de suite, mais je voulais savoir si le livre Pierre et Acier est un vieux livre ou s'il est relativement récent.

Snorri, si tu me lis...

j'aime beaucoup le perso du jeune ingénieur ^^, on a un peu les mêmes activités, et les mêmes pensées...
" Par leurs guerres, j'ai l'or. Par l'or j'ai le pouvoir. Par le pouvoir, je gagne mes guerres."

en gros, j'aime bien, sauf les fautes les plus grosses qui choquent même moi ^^ c'est dire.
alors une ptite relecture et c'est parfait

Don

Je suis humblement désoler pour les fautes, j'ai tappé ce texte entre 23h00 et minuit l'auto correcteur de world à donc été mon seul soutien. (mon sens me servan à me relire étant parti se coucher)

Grumdor Le Gris a écrit:

je voulais savoir si le livre Pierre et Acier est un vieux livre ou s'il est relativement récent.

Le livre est sortit en novembre 2003, il est assez récent.

Pour en revenir à ton texte, mise à part les fautes d'orthographes, je l'ai trouvé très plaisant à lire. Le personnage du Maître Ingénieur est tou particulièrement savoureux !
Je ne dirais qu'une chose : La suite !

voici donc la suite toute chaude, sortant du fourneau, j'éspère avoir mieu géré l'orthographes

Chapitre 5: Préparation: papier, tourisme et charbon…

Urbar munis de la lettre portant le sceau de l’intendant royal, se dirigea vers les archives. Il est notoirement connu, que les nains conservent toutes leur rancunes avec vénération. Il est moins connu mais tout aussi notoir de l’avis de certain, qu’ils gardent tous les actes écrit ou documents pouvant être utile dans un futur plus ou moins proche, telle qu’une vieille facture réglée ou non, les relevé sur 25 ans du filon 23/tunnel 6/niveau 2/mine 12/secteur Nord, le baille concernant le roule mort 012-3 et d’autre document plus important gardés sous coffre fort runique, telle que le secret d’une bière locale, l’acte attestant de l’ascendance divine du rois sur 58 générations, ou la méthode de fabrication d’une rune très commune… entre autre.
Mais Urbar ne venais pas pour cela, montrant son sceau aux gardes, il poussa la lourde porte et se retrouva dans la bibliothèque. Ou tout du moins l’équivalent nain d’une bibliothèque, ici exit les étagères en bois et les grandes allée stylisées, les couloirs étaient étroits et tout étai de pierre du sol, aux étagères en passant par le bureau du bibliothécaire dont il fut par ailleurs forcée de constater l’absence. Une petite cordelette pendait du plafond jusqu'a un trou dans le sol, juste devan le bureau bien en évidence, en la suivant du regard Urbar vit qu’elle étai accrochée à une cloche puis se poursuivais au niveau supérieur par un autre trou dans le plafond. Bien inspiré, il tira dessus ce qui eu pour conséquence, de multiples sons de cloches répercutées en écho dans tous les niveaux de la bibliothèque… Après quelques secondes, un nain courroucé, couvert d’une poussière séculaire (1) sorti des rayonnages au pas de course, et s’enquit de la raison de la visite de son visiteur en ces terme « Pourquoi les gardes vous ont laisser rentrer vous ?!? » Urbar tendit la missive au bibliothécaire énervé qui l’a lu, puis l’analysa sous tous les angles versos compris, et après avoir authentifié le sceau fit signe à Urbar de le suivre. La bibliothèque, était de proportion dantesque, Urbar ne pouvait que tenter de calculer sa superficie dans l’espace, en partant du principe que sous terre il n’y a aucune limite à la fantaisie des architectes, que le bâtiment étai presque aussi ancien que la forteresse elle-même, et qu’ils prirent de nombreux escalier tantôt montants, tantôt descendants… (2) Il étai presque parvenu a un calcule pertinent, en utilisant des point de calcule vectoriel lier aux escalier, au couloir et a l’usure de ses pieds, lorsqu’ils arrivèrent devant la salle des cartes…

Kurnrir de son côté pris le partie de faire la visite de la cité. La marque des maîtres des runes lui ouvrant bien grandes toutes les portes, il finit par atterrir dans les forges sans doute attirés inconsciemment par les coups de marteau et l’odeur de métal en fusion. S’amusant à jeter un œil critique sur le travail des apprenti terrorisés par sa présence aussi honorante qu’inattendu, il fut hélé par un autre nain qui s’avéra être l’authentique maître des runes responsable du secteur. (3) Tandis que les apprentis faisaient leur possible pour devenir invisible sans grand succès, les deux maître commencèrent à tenir une discutions qui commença dans un langage qui n’aurai pas déplus à un charretier et qui après quelque explications se poursuivis devant une chope de bonne bière de Karak-Norn, le plus loin possible des oreilles indiscrètes.

Quand à Endrikur… disons simplement qu’il vaudrait mieux éviter de laisser Endrikur s’occuper du réapprovisionnement à l’avenir… il s’en revint effectivement de son expédition à la guilde locale avec un baril de poudre et une boite de cartouche. Néanmoins à moins qu’un baril et une caisse ne suffisent à remplir deux larges charrettes, quelque chose ne s’étai indubitablement pas passer comme prévus…

Au soir ils firent le point dans un coin calme d’une taverne (4) .Kurnrir n’aillant rien à raconter qui soit légalement audible par qui conque étai présent, se contenta d’écouter. Urbar avait pus emprunter une carte (5) et, expliqua à ses compagnons que le plus rapide et sur chemin vers Nuln serai de sortir des montagnes et de descendre le fleuve, dont les abords sont cultivés par les hommes et les halfeling… Bien que cela signifiai quitter les montagne, terrain de prédilection des nains Kurnrir accepta le plan, en objectant tout de même, que la région, contenait des zone de forêt épaisses et un reliefs de plaine et de collines, des plus favorables aux des attaques surprises. Urbar étai conscient de cela et la colonne ne contenait aucun ranger qui aurai pu servir d’éclaireurs, et protéger leur avancée… C’est alors que les deux anciens remarquèrent la présence d’ Endrikur, le quel étai très occupé à entortiller sa barbe du mieux qu’il pouvait en évitant de se faire remarquer… Laissant leur discutions tactique de côté pour une brève période, ils entreprirent de se renseigner sur le contenue des nouvelles charrettes que contenait le train d’artillerie.
-Alors Endrikur tu est bien silencieux, comment s’est déroulée cette visite à la guilde ? demanda Urbar.
L’intéresser lâcha sa barbe mais se mis a trituré sa chope en répondant d’une voix inquiète.
-Le plein de poudre et de cartouche est fait…
-D’accord fort bien… et sous les bâches des charrettes qui portent le sceau de Karak-Norn c’est quoi ?
-C’est trois fois rien…
-Hum hum, et ‘‘trois fois rien’’ à coûter combien ?
Endrikur se savait acculé n’aillant plus gère d’échappatoire il capitula, et raconta comment il avait…
[10 minutes et plusieurs crises de nerfs plus tard]
-Donc je résume tu à acheté douze arquebuses supplémentaires, des balles, de la poudre et attend voir si j’ai bien entendu UN Gyrocoptère en pièce détaché et DOUZE sacs de charbon !?! Mais qu’es qu’il t’a pris ? Tonna Urbar si fort qu’Endrikur aurai juré voir sa bière trembler dans sa chope.
Endrikur hausa les épaule sous le regard dur de son aîné sans oser le regarder, avant de murmurer que les charrettes, l’attelage et quatre des sacs de charbon, lui avaient été offert par la guilde. Mais cela ne suffit pas à dérider le visage sévère de l’ancien. Cependant lorsqu’Urbar se retourna vers Kurnrir et le vit souriant, il compris que quelque chose lui avait échapper…

A la fin de leur réunion, il fut donc décidé d’une part, qu’ils partiraient dans deux jours au matin vers le fleuve pour Nuln et d’autre par qu’ Endrikur ne toucherai plus jamais à la caisse de l’expédition, sans la surveillance de l’un de ses deux aînés.

Les deux jours suivant Endrikur dormi peut, et se tin éveillée grâce â une bière particulièrement rance et amère… mais ses effort devais payer à tout pris, car à ce prix seulement il conserverai sa place au sein de la hiérarchie, et rattraperai quelque peut son honneur et sa crédibilité au près de ses supérieurs et parents…

Au matin la colonne repartie donc par une large porte donnant dans une vallée à la surface, une route pavé aiderai à l’avancée du train d’artillerie mais Endrikur s’en fichai éperdument et dormait tout son saoul entre deux sac de charbon. Il ne fut même pas réveillée par la misse en marche de ce qu’il avait mit deux jours à assembler. Kurnrir et Urbar regardèrent satisfait le Gyrocoptère quitter la charrette qui le transportai, prendre de l’altitude et avancer en fumant dans la vallée au dessus de l’armée.
La bévue de l’ingénieur aurai au moins permit ceci, le voyage vers Nuln comporterai bien moins de surprises que prévu…


(1) C’est un fait constaté dans tout les multivers connu,que la poussière fini toujours par s’accumuler dans les bibliothèques, et que sa quantité est proportionnelle à l’age de la bibliothèque en question, dans notre cas sa en fait un max.
(2) Essayez un peu d’imaginer un mix souterrain entre une grande station de métro/RER en plein Paris, le labyrinthe du minotaure, et la bibliothèque nationale de France… vous avez mal la tête ? C’est normal ^^
(3) Le quel lui courai après depuis plus de deux heurs, ailant été avertis qu’un étrange personnage jamais vue dans le coin, se permettait de se trimbaler librement dans SON secteur, sans SON autorisation, et de mettre son nez partout par dessus le marché.
(4) Ne doutez pas, je vous assure qu’il existe des tavernes naines, ou on peut trouver un endroit calme… selon des critères nains bien sur.
(5) Non sans laisser au bibliothécaire un nombre de pièces d’or qui visiblement lui restai coincé en travers de la gorge, et qui lui serai restituer quand la carte reviendrai, c’est pourquoi il en prenait grand soin.


Prochain chapitre : Chapitre 6: Par les collines et les plaines…

j'adore... le maitre ingénieur est toujours aussi bien, et les petits commentaires aussi...
il y a beaucoup d'humour et un peu moins de fautes.

Continue comme ça!

J'aime beaucoup cette histoire.
Les personnages sont bien définis et très nanesque!
Continue ainsi!

C'est super. Aucun commentaire négatif.
J'adore les persos, l'idée, le style d'écriture.
Vraiment parfait.
Un vrai travail de Nain (en dehors de quelques fautes).

J'aime aussi l'humour présent un peu partout et ta façon détaillée de décrire les gestes et postures des personnages.
Continue.

Interlude

A cette étape du récit, je me rends compte que je ne vous ai toujours pas décrit les principaux personnages, et troupes du convoi, et encore moins l’histoire des Barbes brunes.

Les Barbes brunes, le clan basé à Karak-Hirn depuis des siècles ; occupai du temps de Tingrold (1) une place ni trop médiocre, ni trop importante dans la forteresse. Les impôts étaient versés au roi selon la norme en vigueur, une part des nains pouvait être réquisitionné pour l’armée royale et Tingrold les menai dans la bataille. Néamoin cela changea il y a 54 ans lorsqu’à sa mort Urbar repris la tête du clan à 62 ans, certain l’estimai bien trop jeune mais ayant l’appuis de Kurnrir ce qui n’est pas négligeable, il s’imposa comme nouveau Than et bien des choses changèrent en quelque années à peine. Ayant un esprit mathématique développé et une aversion profonde à voir une main d’œuvre quelqu’elle soit (2) partir se faire en partie massacrer de manière régulière, il arrangea une petite entorse aux règles avec l’intendant royale. En l’échange d’un moins grand nombre de recru fourni par son clan, Urbar s’engagea à fournir un impôt plus élever et des prix sur ses marchandises pour l’armée royale. Et après plusieurs années, force étai de constater que la stratégie payai, les nains du clan étaient toujours plus nombreux d’année en année, bien que de temps en temps certain étaient recrutés ou se portaient volontaires comme Brises-Fer pour garder des portes dans des niveaux calmes, les caisses se remplissaient bien plus vite que l’impôt et les remises à l’armée régulière ne les vidaient … la suite vous la connaissez.

Pour ce qui est de la colonne, pour faire simple et faciliter la compréhension du lecteur, je vais partir de la tête et en faisan un de bref arrêt à chaque étape notable.

Tout d’abord prenant fièrement la tête, Urbar, Than de l’armée, dans son armure de Gromril simple mais scintillante, une lourde hache attachée sur le do, un large un bouclier cercler de fer lui couvrant l’avant bras, et plusieurs armes variées à la ceinture, il observe les signes possible du pilote du Gyrocoptère. A son côté Kurnrir, Maître des runes de son état, porte une armure stylisé et se passe d’un bouclier attaché sur son do, pour manier à deux mains un long et épais baton-marteau de Gromril, muni d’une imposante masse hexagonale dont une face sur deux comporte une rune à un bout, d’un pique fort pointu à l’autre bout et de plusieurs gardes étudié pour bloquer les lames entre les deux, dont il se sert comme d’une canne. Il a également une besace qu’il garde toujours sur lui, et ou se trouve entre autre la sphère utilisée sous terre.

A leur suite directe, on peut compter une escouade (3) de Brises-fer, tous des gardiens du clan ayant répondu à l’appelle, mais d’autre sont restés en factions à Karak-Hirn par devoir. Quelque pas derrière se trouve, huit Mineurs ayant jugés bon de venir en partant du principe que ou que l’on aille, on a toujours besoin d’un bon coup de pioche de temps à autre, que sa soit dans la terre, la roche ou dans la tête d’un Orc. Et un détachement de Guerrier portant des armes lourdes suivis de près par une escouade équipé des arquebuses toutes neuves, acheter bien malgré Urbar à Karak-Norn.

Derrière cela, le train d’artillerie fierté du jeune Endrikur, qui par son talent à concevoir, assembler et bidouiller les dispositifs mécanique, sans qu’ils ne tombent en pane n’y n’explose dans les années qui suivent, connu une montée rapide au rang de Maitre ingénieur. Le jeunot avait malheureusement prouvé qu’il avait toujours besoin du tempérament de ses ancêtres pour se dominer lui-même. Le train est donc composé de deux balistes, et d’un canon tous tracté, à l’origine deux charrettes bâchées servaient de réserves de nourritures et d’entrepôt de poudre, munition et objet divers (4) Mais après le passage a Karak-Norn deux nouvelles charrette bâchées s’ajoutent au convois, l’une est remplie de sac de charbon et d’un Maître ingénieur en état de semi réveille qui laissera bientôt la place à une gueule de bois mémorable, l’autre est plus large et seul un initié saurai reconnaître dans son plancher très épais et à découvert, les point d’attaches pour les patins d’un Gyrocotère et pour des cordes de maintien.

Derrière le train suit un détachement Arbalétriers munis de boucliers, et enfin une escouade de Longues-barbes puis un détachement de Guerrier portant des boucliers.

Après ces considérations bassement matérielle, et inintéressante au possible, retournons à notre récit.

(1) Le père d’Urbar pour ceux qui se sont perdu en chemin.
(2) Mais principalement la sienne.
(3) Un détachement=16 nains/une escouade=12 nains
(4) Telle que des clou, du minerai de fer, une enclume, la caisse de l'expédition, des pierres à affuter, des peignes et du savon... (pour les barbes)

Chapitre 6: Par les collines et les plaines…

La colonne avança sans peine plusieurs jours sur la route de la vallée, qui bien qu’ancienne avait fort bien résister au temps. Peut à peut le paysage changea la pente s’adouci, tout devin plus boisé et finalement la colonne se retrouvit dans une vallée au centre rocheux et au pentes boisées.

C’est alors que la bouche de Kurnrir se remplie peut à peut d’une désagréable sensation d’odeur de fer blanc, tandis que les poiles de son do se hérissai. Pour comprendre ce phénomène assez particulier il faut savoir, que les forgerons des runes, sont habitués à ressentir la magie au cours de leur apprentissage, ou tout du moins à en ressentir les fluctuations lors de la création des runes. Ce sens qui se développe lentement, les informes de l’état de la magie ambiante par des sensations ainsi que par des formes et des couleurs que leur esprit leur impose (1) Ils peuvent ainsi sentir la magie et avoir les réactions adéquates pour protéger leur frère à la bataille, mais revenons a nos moutons… La magie dans l’espace autour de la tête de la colonne étaient anormale, Kurnrir ressentait rouge et une sensation de danger transperçant l’emplit, il fallait réagir maintenant et se poser les question ensuite, sans quoi il pourrai bien n’être même plus la pour demander ce qu’il s’était passé.
« Halte, RECULEZ, Reculez tous à trente pas!!!! » Rugit t’il, à l’adresse de qui conque l’entendrai, d’une manière assez autoritaire pour que personne ne pose de question. Prenant soigneusement le large du vieux Maître des runes et faisan signe aux autre de ne plus progresser, les trois escouades de tête se massèrent en vitesse devant le train d’artillerie, tout en observant le curieux manège de Kurnrir.
La seul solution qui lui restai étai dangereuse, il le savait mais c’était ça ou rien, le temps de sortir un parchemin contre la magie et de le lire il pourrai bien être déjà mort. Prenant à deux mains son arme imposante, la saisissant au plus bas pour lever la masse au plus haut, il murmura une rapide prière d’activation, tandis que les autres nains voyaient émerveillés, la masse se mettre à briller et les lois de la gravitation s’inverser dans la zone environnant l’ancien. Puis à la surprise de tout il l’abattit avec force sur les innocents pavés de la voie et d’un même élan la récupéra et s’enfuis à toute jambes se mettre à couvert. Car à l’instant ou la masse quitta le trou pratiqué dans la pierre, il y eu une forte implosion d’aire chargé de magie, se dirigeant avec force vers une rune de vide toute nouvellement imprimer dans un matériaux, loin d’être fait pour y résister bien longtemps (2) Le trous émit un flash puissant qui dura quelque dixièmes de secondes, avant de produire une impressionnante déflagration sourde, qui liquéfia les pavés et le reste sur trois mètres de diamètres et de 8 à 2 centimètres d’épaisseurs, et roussi tout le reste à plusieurs mètres encore, quelque nains furent atteint de brûlures superficiel aux bras et aux jambes, mais par bonheur le train d’artillerie fut hors de portée, les nains de l’arrière garde sentir tout de même un fort souffle chaud.

Kurnrir constatant qu’il étai toujours vivant et un seul morceau, sorti de derrière son rocher à la surface fondue, et couru rejoindre ses frères, au moment ou comme il le redoutai des cors et des tambours se firent entendre depuis les flanc boisée de la vallée. A l’avant, bloquer par la section de route en fusion plusieurs trolls commençaient à contourner l’obstacle, au centre des deux cotées du train d’artillerie des gobelin montés sur araignée se précipitaient contre les servants, tandis qu’a l’arrière de la colonne, une troupe pour le moins désorganisée, mais fort nombreuse de gobelin de la nuit se précipitai à la charge de l’arrière garde.

Urbar organisa les guerriers de tête pour recevoir les trolls comme ils le méritaient. Au centre Endrikur réveillé par tant d’agitation s’octroya le commandement de tout ce qui étai muni d’une arme de tir, et tout en ordonnant au plus vite la préparation d’un tir de mitraille donna des ordres pour couvrir les flancs. Kurnrir épuisé ayant réussi à atteindre l’arrière de la colonne, fit en sorte de mettre en place une position défensive qui pourrai être évacuée rapidement pour permettre un tire du canon.

Tandis qu’une mêlée ou des nains étaient présent en sur nombre se déroulai à l’avant du convoi, le constat inverse se présentai à la queue, les gobelins trop nombreux pour être contenu bien longtemps déferlai sur la marrée de bouclier ou au centre Kurnrir faisait voler sans peine les gobelins de son arme imposante ayant activé une rune décuplant la puissance de ses coups. Endrikur de son côté arrivai à organiser ses troupes pour tenir les araignées en respect sur les flancs, et faisait de grands signes à Kurnrir de s’écarter, apercevant son manège ce dernier ordonna de diviser la formation de manière à former une brèche pour les gobelins qui sans trop réfléchirent, comblèrent l’espace et se jetèrent tête baissée sur le canon chargé de mitraille… Tout alla très vite, le feu fut bouté, une explosion tonna dans la vallée surmontant le vacarme des combats, et plein de petit bous de gobelins qui étaient entré dans la brèche furent projetés en tout sens. Tandis qu’un vent de panique parcourait les gobelinoïdes, Kurnrir commandant le renfermement de la brèche, vit un gobelin se détacher des autres, portant tout un attirail de babioles ésotériques, et un chapeau rouge il tentai de renvoyer ses congénères à l’assaut. Reconnaissant sans conteste un chaman qui étai potentiellement le responsable de l’embryon de sortilège qui avait failli tous les perdre tantôt, Kurnrir ordonna une charge pour l’atteindre, plutôt que de laissé fuir les gobelins comme il l’avait d’abord prévus. Prenant la tête en se dégageant un chemin à la masse dans la masse, il atteignit le gobelin et lui asséna un violent coup du manche destiné à le faire choir, à sa grande surprise le gobelin para son coup et tin bon sur ses jambes mais sa lame se pris dans une des gardes de l’arme du nain qui d’un même mouvement la lui arrachât des mains et lui envoya l’autre extrémité de son arme dans le crâne ce qui eu pour effet d’enlever au chaman son bonnet et la moitié de sa tête…

Leur leader local anéantis, la plupart des gobelins prirent le parti d’opérer une retraite tactique sur des positions préparées à l’avance… loin…

Du coter troll, le nombre de hache étant très nettement supérieur au nombres de trolls et à la vitesse de leur capacité de régénération, ceux-ci furent promptement mis en pièce mais plusieurs nains imprudents furent blessés par leurs dangereux acides intestinaux. Et voyant ce constat des plus négatif, les gobelins sur araignée restant prirent la tangente. Le combat avait coûté quelques charges de poudre, et plusieurs blessés mais fort heureusement aucun mort grâce à l’organisation qui s’étai rapidement mis en place et qui par chance avait réussi à fonctionner. Urbar nota dans un carnet, qu’une rancune contre des gobelins pourrait être rayé à leur retour, si retour il y avait car il se doutait bien que la chance avait été un de leur principal atout et que d’autre adversaires moins fourbes mais sans doute plus solides et organisés arriveraient bien vites…

(1) Quand a ceux qui de demanderait ce que ça fait de ressentir une couleur ou une forme ; je leur répondrai que nous sommes dans un univers d’héroïque fantaisie et que vous pouvez bien vous l’imaginez comme vous le voulez…
(2) La ‘‘rune de vide’’ à été la dernière découverte tragique d’un très ancien Maître vivant bien avant l’age d’or. Après quelques recherches dans les cendres calcinés et fondu de son atelier, son apprenti retrouva la méthode de fabrication de cette rune si particulière, dont les principales caractéristiques sont, d’une part de n’avoir d’effet que lors qu’elle est écrite par gravure dans une matière et non par moulage, ce qui est en outre très facile car son activation permet d’entamer sérieusement n’importe quoi, et d’autre part d’attirer la magie ambiante sur une zone d’une soixantaine de mètres de diamètre et ce avec une telle force que la magie arrive bien plus vite, que la matière servant de support d’impression ne réagit, ce qui fait qu’au moment ou la matière atteint le point de rupture, l’énergie emmagasiner est purement colossale. On raconte que l’apprenti se servi astucieusement du pouvoir de la rune sur la magie ambiante, pour crée les runes d’anti-magie et les runes tueuses de sort connu de nos jours. La rune de vide servant de basse cryptique elle se transmit également, mais très peut d’arme la portant ont été produite, en raison de son caractère fort dangereux


La suite de ce chapitre qui s'anonce encore long va arriver tantot. Pour les critiques, soyez indulgent et constructif car c'est la première fois que j'écrit des scènes de batailles et de combats.

Bien écrit, comme toujours.
C'est bien représentatif des Nains cette discipline militaire qui permet de réagir à toute embuscade aussi rapidement.

Continue !

Quelques jours plus tard la colonne croisa une des sources de la rivière Soll, qui avec de nombreuses autres cours d’eau venue des montagnes grises et des terres de l’Est formeraient le REIK plusieurs centaines de kilomètre plus loin…
La prochaine étape était visible du haut de la colline, un peu plus loin le long de la Soll dans le paysage paisible de collines et de plaines désertes. Sous un de ces ciel gris d’été ou un vent chaud vous annonce l’orage du soir. Résignés à quitter leur chères montagnes les Nains entreprirent de continuer à marcher sur la voie qui partait vraisemblablement rejoindre la Soll en contrebas, de la ils bifurqueraient sur le village. Profitant d’une halte la ou les nostalgiques pavées nains cédaient la place à une grossière route de campagne pour charrette, Endrikur agita un drapeau de rappel au Gyrocoptère pour lui éviter de le perdre dans l’orage cela aveuglerai leur reconnaissance, mais la contrée s’emblai paisible. Quelques minutes plus tard après quelque calcules mentaux sur la route restante, l’allure du ciel et son instinct Urbar lâchât « J’ai comme un mauvais pressentiment… » (1) Et comme pour illustrer son propos le ciel commença à se zébrer de foudre, produisant un magnifique ballet de lumière dans les nuages, qui brillaient de l’intérieur au rythme irrégulier du grondement sourd des éclaires… Urbar fit accélérer la marche, la pluie ne tarderai pas à tomber dru et la route deviendrai alors un véritable bourbier. Endrikur sentant venir aussi le problème ordonna à ses subordonnés d’augmenter la cadence, le train ne devait surtout pas s’enliser sans quoi ils pourraient être immobilisé un bon bous de temps.

Même en ayant augmenté la cadence cela n’empêcha pas les nains d’arriver dans le village en étant plus humides qu’ils ne l’avaient jamais été de leur vie. La bourgade de bien piètre importance, ne comptai de défenses qu’une tour d’observation en pierre hors d’âge planté en son milieu, et un casernement de milicien, sans doute dépendant d’une plus grande ville plus loin le long de la Soll. Les deux anciens prirent le parti d’occuper un champ en jachère à l’entrée de la ville, et de se renseigner sur son propriétaire plus tard. Nos trois compagnons aidèrent à bâcher les pièces d’artilleries et à monter les abris sous la pluie ; puis s’assurant qu’un tour de garde étai organiser, se laissèrent dormir en espérant que leurs toiles de tentes tiendraient bon, contre le vent et la pluie.

Au matin l’orage étai passé et le ciel étai redevenu d’un bleu pur que parcouraient quelque petits nuage semblable à des boules de coton, cependant à terre le constat étai moins bon…
-Regarde-moi ça ! Pesta un des servant du train en reprenant sa hache. La hampe s’enfonce de huit bons centimètres sous son propre poids, alors imagine avec les roues de notre baliste.
-Oui. Renchéri un autre. Ce n’est pas la peine de penser à aller plus loin pour le moment, va falloir attendre que la route soit dans un meilleur état.
La nouvelle fut rapportée à Endrikur, qui s’empressa d’en faire part à son vieux cousin. Le quel étai en train de discuter ferme avec le propriétaire du champ ; un paysan à l’aire bourru, juste assez intelligent pour comprendre la valeur d’un morceau de métal rond et brillant, mais pas assez toute fois pour éviter de se faire entuber par les calcules savant et un brin truqués de Urbar. De l’avis du paysan le soleil tapai assez dur pour que la route redevienne praticable dès demain. On réinstaura un tour de garde autour du camp et chacun occupa patiemment sa journée à quelque chose.

Au soir nos trois barbus tentaient de se détendre au ‘‘Réconfort de l’assoiffé’’ qui étai à la fois la meilleur et la pire auberge du village, d’autre nains étaient déjà venu mais la très grande majorité étai repartie, dégouté par la bière de l’établissement. A la vérité, très peut de personne venaient ici pour la qualité ou pour le degré d’alcoolisation de la bière, c’étai bien plus un lieu de retrouvaille entre homme qu’un débit de boison. Aussi pour pallier au manque chronique d’alcool les paysans locaux avaient inventé un autre jeu basé sur le même principe, et c’est cet étrange manège qu’Endrikur observai au lieu d’écouter Urbar et Kurnrir…
-La suite de l’itinéraire tendrait à nous faire descendre la Soll.
Deux hommes se font face autour d’une table, un troisième sur le côté sort d’étranges choses… des fruits, oui peut être que ce sont des fruits, il les sort d’un panier…
-Oui Urbar mais cela pourrai s’avérer dangereux, avec l’arrivée de l’été la rivière peut monter en crue très rapidement. Rétorqua Kurnrir.
Le troisième homme coupe plusieurs fruits en quatre, et dispose le même nombre de quartier devant chacun des deux autres hommes…
-Passer pas les collines serait bien plus long et pourrai être tout aussi risqué.
Tien, tien, on dirait que… oui ! Ils prennent des paris ça deviens de plus en plus intéressant…
-L’autre solution serai de traverser la Soll puis de s’enfoncer vers l’Est dans le Sudenland et une fois à l’ abri des crues de reprendre la route vers le nord à a travers l’Averland.
Ça y est ils ont posés le cuivre sur la table ça commence. Ils prennent chacun un quartier et… oula à voir leurs tête ça ne doit pas être très agréable à manger…
-Oui après tout pourquoi pas, loin des montagnes le climat sera plus clément. Et nous arriverons plus vite à Nuln.
Ils sont en train de finir leur deuxième fruits, le plus petit des deux humains n’a pas l’aire très bien, on dirait qu’il est de plus en plus blanc… ha il hésite à prendre le dernier quartier, les autres rigolent… hum être secouer de haut-le-cœur comme ça, ça n’annonce rien de bon…
-Oui, Null ! La ville des ingénieurs de l’empire ! Lâchât innocemment Kurnrir.
-Moui moui. Répondit distraitement Endrikur… A la vitesse ou le petit est parti et vue que les autres se partage le pactole, je pense qu’il a perdu… il doit surement être parti vomir.… Puis il réalisa qu’on lui avait adressé la parole. - Ô oui Nuln ! Oui oui oui ! Ce sera surement très intéressant.
-Surement plus que ce qui se déroule à cette table là-bas, enchaina Urbar. Bon maintenant qu’on a décidé de quoi faire, tu vas aller tester cette coutume locale si intéressante. Si, si j’insiste.

Résigner, un peu curieux et avec une certaine appréhension tout de même ; Endrikur se dirigea vers la table et l’attroupement d’humain d’hilares. Puis saisissant un fruit demanda dans son meilleur Reikspiel : « C’est quoi ça ? » Un citron mauve, lui répondit prudemment l’homme qui se tenait derrière le panier, si tous étaient quelque peu intimidés par l’irruption du nain couvert d’objet aussi hétéroclite que pointu aucun ne voulais le montrer… Pour palier au malaise qui s’installait autour de la table l’homme proposa une partie à l’importun, qui releva la tête de son examinassions minutieuse du fruit. Considérant cela comme un aspect positif et rattacher à l’espoir de continuer à écouler sa marchandise il poursuivit enthousiaste : « C’est 3 Sous de cuivres seulement pour les citrons, et tu pourras essayer de battre notre champion ! » .Endrikur jugea le champion du regard, un grand paysan bien épais comme en produisent les campagnes de l’empire à longueur d’année pour servir de chaire à canon dans leurs batailles se dit-il. Sans mots dire, il s’assit sur le banc trop bas et posa ses 3 sous de cuivres sur la table en affrontant le regard du champion. Tout le monde autour prenait les paris misant plutôt sur le champion que sur le nain, Urbar et Kurnrir suivaient de loin ne manquèrent pas de voir Endrikur parier cinq pistoles d’agents sur lui-même… Urbar se pris la tête dans les mains consterné tandis que les parieurs ouvraient grand les yeux face à la somme déposé sur la table. Puis la partie commença chacun son tour, il fallait prendre un quartier en manger la pulpe et attendre que l’adversaire en face de même, jusqu'à ce que l’estomac et les papilles gustatives d’un des deux joueur capitulent. Je risque de m’en souvenir longtemps de mon premier fruit, se dit Endrikur en saisissant le quartier de fruit à l’écorce mauve et à la chaire rosâtre pour le mettre dans sa bouche.

(1) Comme quoi on peut vivre sous terre pendant près de 100 ans et avoir une petite apréhension de se prendre la puie sur la poire.

Faut pas s'arrêter là... c'est du piment le fruit ???
Je parie aussi sur le Nain !
Allez, continue stp, j'aime bien ton écriture.

C'est vrai que j'ai mis du temps à m'y remettre, la faute aux vacances d’été passé avec ma moitié, et à une rentrée assez dure. J’ai la suite en tête et normalement elle arrivera après les vacances, puisque dans l’intervalle je n’aurai pas accès au net.
Merci beaucoup pour ton soutien Grumdor, ne t’en fait pas Endrikur ne va pas mourir suite a l’ingestion d’un fruits du chaos ^^

J'adore!

Je sais pas pourquoi j'avais pas encore lu, mais j'ai passé un bon moment à rattraper cette lacune!
Note de bas de page, humour, histoire... il n'y a que les fautes qui sont dommages, mais j'ai tendance à n'en remarquer que quand on me dit qu'il y en a^^