Les Barbes Brunes

Etrangement ce fut moins affreux que ce à quoi il s’attendait tout en étant tout de même assez immonde; le fruit avait un gout acide-amer prompt à réveiller les morts, et la pulpe froide qui donnait l’impression de siroter un bol de morve au grumeau, laissai en bouche un arrière gout sucrée-rance désagréable, comme si on avait voulu respirer du sucre glace(2). Les deux gouts contrastant fortement ajouté à la consistance vomitive et à l’impression d’avoir du gravier dans l’estomac, tout cela incitait au haut le cœur.
Fort heureusement, même si le nain moyen a les papilles gustatives en bon état, il a un estomac et un sens du gout qui a bien souvent été mit à rude épreuve par le Pain de pierre, les bières diverses, les festins en taverne, la nourriture des mines, et tout plein de bonne choses aussi lourdes physiquement que gastronomiquement parlant. En bref, Endrikur se trouva donc incommoder mais sans plus par son sens olfactif, les sensations singulières eurent un effet de réveille revigorant sur son cerveau légèrement endormi, tandis que son estomac affichai une totale indifférence.
Aussi ingurgitât-il tout les quartiers suivants avec une déconcertante facilité, commençant à apprécier l’effet de réveille mentale, et réussissant presque a en nier le gout gerbant. En face, le champion commençais à avoir l’aire déconfit, puis face au 4ème fruit qu’on lui proposait, déguerpi vers la porte une main devant la bouche, en bousculant légèrement Urbar et Kurnrir qui attendaient que le jeunot ai fini de faire son intéressant.

Endrikur ramassa ses gains sous les yeux avides et jaloux des quelques paysans et à la surprise de ses ainés, acheta le large panier de citron et tout son contenu avant de venir les rejoindre pas peut fière de sa prestation.

La colonne repris la route au matin, avançant pendant plusieurs jours la rive ouest de la Soll jusqu'à sa jonction avec le Reik supérieur, puis approcha de sont dernier affluent majeur venu des montagnes où nos barbus se heurtèrent à un petit problème - qui fut tout de même signalé a l’avance par le gyrocoptère éclaireur. Probablement soutenu par les pluies et la fonte des neiges, une coulé de boue et de bloques de roche avait dévalé le relief puis s’était canalisée dans le lit de la rivière avant de finir dans ce qu’on pouvait désormais appeler le Reik supérieur, non sans avoir emporté le pont avec elle. On traversa donc le fleuve à Wissenburg avant l’affluent intraversable et après un bref passage sans encombre de quelques jours dans l’Averland, ils purent l’apercevoir dans le soleil couchant...

Pour nombre d’entre eux première vraie citée des hommes qu’ils voyaient de leur yeux. Des terre cultivés à perte de vue et au centre du panorama la ou se rejoignent enfin Reik supérieur et rivière Arver pour former le grand Reik ; élevant fièrement les tours de ses palais et de ses collèges d’ingénierie derrières ses hautes murailles, Nuln, l’ex-capitale de l’empire, la cité état impériale et demeure de l’impératrice Emmanuelle Von Liebewitz.

Même Kurnrir pris le temps rester un bref moment en contemplations mélancolique devant l’œuvre éphémère et imparfaite mais néanmoins impressionnante des Hommes, peut être étai-ce la après tout, la plus grande force des Hommes, leur capacité à produire de manière imparfaite mais en si grand nombre et avec tellement d’audace qu’un résultat fini toujours par surgir quelque part. Peut être un jour la jeune race verrait-elle son erreur et adopterait-elle un comportement plus sage. Mais pour le moment se dit-il l’homme est un être faillible, son empire est de vent et ses cités sont de paille… à commencer par celle qu’il avait sous les yeux. Oui, un grand empire de paille, et il se remit en marche.

La nombreuse troupe monta de nuit son campement à quelques distance de la grande porte Est. La suite du plant conçu par les trois meneurs, étai de se faire engager comme armée mercenaire par la ville. Le plan partant des simples considérations suivantes, primo la région nous est inconnue et en conséquence la localisation des troupes de monstres et autre nuisance, secundo le mercenariat pour le compte de ceux qui savent ou chercher et quand même mieux que de battre la nature sans informations, et tertio le mercenariat n’est pas un service gratuit surtout pour une armée correctement équipée.

Prochain chapitre : Chapitre 7: Nuln

C'est des fruits du chaos ??? C'est pas grave pour le Nain ?
J'ai hate de lire la suite.
Continue.

J’espère que je suis resté compréhensible, la suite de l'histoire est pour bientôt

(1) Même si certes, dans le Warp c’est tellement le bordelle qu’on est bien en droit de confondre les deux.
(2) Pour ceux que sa intéresse : Illuminas le maitre de la lumière. Solkan dieu de la vengeance de l’Ordre et des répugnateurs. Arianka mystérieuse déesse vaincu et emprisonnée par un ancien dieu du chaos dont on a perdu la trace.
(3) Une influence du genre, tout les 50 ans quelques part un berger s’écrit « Hô mon dieu un chevreau a trois pates, pauvre bête il ne pourra pas survivre, coupons lui la tête et faisons en des saucisses »

Alors, c'est comme ça qu'on fait les citrons du Chaos... et ces si bonnes saucisses !
Merci pour ce cours trés clair et trés bien expliqué.

Il semblerait que nous ayons parmis nous un expert en chaos... il m'est d'avis qu'un répurgateur devrait faire prendre une douche au napalm à notre ami Gurdil. hein, les gars ? Vite je le tiens !!! C'est aussi pour toi, tu sais... juste au cas où. Vaut mieux prévenir que guérir.

Bon, bref : on attend la suite maintenant.

Pour comprendre totalement un chose mon chèr Grumdor, il faut la saisir sous tout les angles, Non a l'obscurantisme !

Oui je sais tout ceux qui ont dit sa dernièrement se sont retrouvé nécromant ou seigneur noir de je-sais-pas-quoi, mais c'est a cause des scénariste ^^

Enfin bref voila la suite

Chapitre 7 : Nuln (1er partie)

Dans toutes les armées organiser du monde, l’arrêt près d’une grande ville nécessite certaines précautions, à savoir : monter un campement sûr, établir des tours de garde, s’occuper des soldats désirant une permission, les refuser aux déserteurs et fauteurs de trouble potentielles, en accepter pour les autres, faire attention aux débordements et aux incidents diplomatiques, etc…
Dans un campement nain tout de fois, l’autodiscipline et le caractère sacrée de la mission au nom des ancêtres empêche les débordements avec la population locale - mise à part dans les débits de boisons - et exclu totalement les désertions. Ajouté à cela le caractère fortement communautaire d’une si petite armée et on obtient un campement quasiment autonome.

En bref nos trois compères barbus quittant en tout quiétude le camp au matin, sachant pertinemment qu’au soir il sera toujours la, et que personne ne manquerai à l’appel, se dirigèrent vers la porte Est.

Nuln est une ville, situé à la jonction de deux cours d’eau qui en font naitre un troisième, en conséquence de quoi elle s’étend sur les trois rives autour du nœud et sur toutes les iles qu’il contient. Sur la rive Nord ou se situe la plus grande partie de la ville ont trouve le Palais, les quartiers nobles et moyen, et tous les lieux réserver aux lettrées telles les académies et les universités. Constat inverse sur la rive Sud à peine moins grande ou on trouve les quartiers industriels et pauvres autour d’un réseau de canaux pour la navigation. Et enfin sur la pointe Est on trouve la garnison de la ville et le quartier nain, qui a eux deux ne forment qu’un dixième de la ville et encore.

Et c’est à la porte d’accès principale - et unique - de cette pointe que l’on retrouve nos trois amis légèrement interdit par l’accueille qui leur est réserver. Après avoir franchi un pont surplombant les douves, un groupe de nains vêtu et armés à la manière des gardes des villes humaines - les froufrous habituels en moins - était ferment poster sur leur chemin.
-Salutation frère nains, lança celui dont l’armure étai la plus brillante, l’un de vous est-il le chef de ce groupe arrivé hier soir ?
-Salutation, mon frère, je suis le Thane de cette expédition et voici mon état major. Répondit Urbar en désignant Kurnrir et Endrikur.
-Bien veuillez nous suivre, le maire du district demande à vous voir, dit le garde d’un ton tranchant et pas du tout impressionné.
-Le maire du district, pourquoi ?
-Il ne l’a pas dit, mais a voir votre campement depuis les murailles il est évident que votre expédition n’est pas voué à la confection de confiture et à la vente de crêpe. Aussi si vous voulez tramer quoique ce soit dans Nuln il va falloir montrer pate-blanche comme on dit.
Urbar acquiesça, jugeant sagement qu’après tout les lois des citée humaines ne sont certainement pas les même que celles de forteresses, et que n’étant pas chez eux il serait profitable d’adopter une bonne conduite vis-à-vis de l’indigène locale.

La patrouille leur fit traverser une seconde douve, les mena par quelques ruelles, fit un bref passage par l’avenue principale bondée puis s’engagea de nouveau dans les ruelles. Les édifices, tous curieusement bas pour abriter des humains, étaient pour la plus part des demeures d’artisans spécialisés, il y avait là des forgerons, ici des mécaniciens, plus loin le crissement d’un ciseau a gravure sur une pierre, et parfois le doux parfum ambiant d’un négociant en bière. La population des lieux étant elle-même majoritairement composée de nains. Comme pour répondre à leur interrogation muette un garde leur fit savoir qu’ils se trouvaient dans l’Halbinsel le district nainesque(1) de Nuln.

Arriver à un petit bâtiment administratif en bordure d’une rue agitée et encombré comme elles l’étaient manifestement toutes, la patrouille leur indiqua a quel porte frappé puis repartie dans les ruelles. Urbar s’approcha de la porte simple et frappa quelques coups. Entrez ! répondit une voix grave et forte depuis l’autre côté, ainsi fut fait. Installer dans derrière un grand bureau envahi de paperasse, posé au centre d’une pièce aux murs de boiserie rouges ou étai disposé une fenêtre, le maire du district étai absorbé dans la lecture de ce qui a son expression courroucé semblai être une facture. Puis il leva les yeux sur eux et se dressa pour accueillir ses visiteurs d’une voix joyeuse, le personnage moyennement âgé était assez impressionnant moins par sa barbe noir tresser que par la forte stature que lui conférai son mètre 68 ce qui est exceptionnellement grand pour un nain.
-Entrez, prenez places fit t’il d’un geste ample. Il y avait effectivement devant le bureau, plusieurs tabouret assez inconfortable mais d’une solidité à toute épreuves. Je suis Kan enchainât-il en se rasseyant, Maire du Schwarzrauch District (2) tout ce que vous avez traversé depuis les grandes portes jusqu’ici se situ sous ma juridiction, fit t’il avec une fierté manifeste, puis ne soulevant qu’une vague d’admiration modéré il poursuivit. Vous êtes donc les responsables du groupe qui a dresser son campement hier au soir à quelque distance de la muraille Est ?
-C’est exacte je suis Urbar seigneur du clan et voici le maitre des runes Kurnrir et le maitre ingénieur Endrikur.
-Fort bien, et qu’es ce qu’i amène une pareille équipé à Nuln ? Nous n’avons reçu aucune nouvelle annonçant votre arrivé de la part des forteresses des montagnes grises, viendriez vous de plus loin encore ? lança t’il d’un ton qui se voulait suspicieux mais pas trop.
-Nous sommes une expédition clanique originaire de Karak Hirn, mais ce n’est que notre foyer, non notre commanditaire.
-Alors pourquoi battre la campagne en ce cas, êtes vous des marchants ?
-Nous n’avons rien à vendre, nous somme notre propre marchandise.
-Vous faites donc du mercenariat, fit Kan rassuré de disposer enfin d’information concrètes. Je comprends mieux ce qui vous mène à Nuln, vous désirez trouver un commanditaire ? Léger haussement de sourcil.
-Exacte confirma Urbar, nous pension nous faire engager par la ville.
-Par Nuln ?! Ça sera difficile voir impossible, c’est une citée état commerciale, et qui plus est fluviale, la surface à défendre étant très petite par rapport à celle de ses voisins Nuln n’a pas besoin d’étoffer son armée.
-Ha… répondit Urbar en cachant sa déception. Mais, hasardât-il tout de même, si les forces de Nuln étaient mobilisées ailleurs ?
-Dans ce cas la ville engagerai peut être des mercenaires pour assurer sa sécurité extérieure, et dans le pire des cas fournirai des armes à la population. Mais actuellement la situation est au beau fixe, de plus Nuln bien assez au centre de l’empire pour ne pas être inquiété de possibles invasions.
Même s’il n’en affichait rien Urbar étai fondamentalement déçu, mais Kurnrir qui avait bien écouté jusque la pris la relève : Mais si Nuln n’entretien qu’une petite armée de sécurité, comment règle t’elle les affaires extérieure qui requerrai une intervention armée de sa part ?
Se tournant vers son nouvel interlocuteur Kan répondit : Il faudrait pour cela qu’une région voisine réclame notre soutien militaire, ce qui n’arrive que très rarement.
-Et es-ce le cas actuellement ?
Kan considéra Kurnrir d’un regard amusé : Mon ami mais comment voulez vous que je le sache, je ne suis que le maire du district, ce genre de choses regarde le département d’état aux affaires étrangères.
-En ce cas, nous vous serions très reconnaissants de vous renseigner pour nous sur la situation, et si la chose s’avère possible de recommander nos services.
Kan acquiesça dubitatif : Soit j’enverrai une missive dans l’après-midi, il est vrais que vous ne pouriez avoir ce genre d’informations par vous-même. Mais je vous préviens, la ville a des tarifs pour les mercenaires et elle marchande rarement.
-Nous nous conformerons aux tarifs, vous ne nous aurez pas rendu service en vain. Lui répondit Urbar qui se voulait rassurant.
-Bien ! Reparti Kan en se frottant les mains l’une contre l’autre, cette affaire étant réglé, il convient s’occuper votre propre situation, il va vous falloir payer une légère taxe pour le campement, vous l’avez par ailleurs monté sans autorisation préalable mais je n’en tiendrai pas compte étant donné que c’est votre premier passage en cette ville, et n’appliquerai pas de surtaxe. Expliqua t’il comme si cela atténuai le fait de devoir payer. Puis face à la mine soudain légèrement aigris de ses interlocuteurs il rajouta : Comprenez, il me faudra le temps de me renseigner pour vous, de plus vous ne regretterez pas votre séjour, après demain commence dix jours de festivités en l’honneur de nos dieux, puis il rajouta, et de nos ancêtres.
-Dix jours de festivité, s’étonna Urbar, en quel raison ?
-Je comprends votre surprise, la tradition ancienne est d’une fête d’importance majeur tout les cents jours et de neuf fêtes mineures tous les dix jours entre chaque fête majeure. Il se leva, partit se mettre à une fenêtre, regarder l’agitation extérieure de la rue et poursuivit dans un soupir. Mais la vie ici, est différente que dans les demeures de nos ancêtres, le temps nous manque, car nous devons suivre la course trépidante du rythme des hommes. Puis se retournant vers ses invités : Mais en compensation, nous célébrons chaque années une décade entière de célébration, en plus de quels fêtes mineurs que nous avons conservés, de-ci, de-là…
-Effectivement, retoqua Kurnrir l’aire et la voix sévère, cela ne respecte guère les usages. Mais, soucieux de ne pas courroucer son hôte il ne poussa pas plus loin la réprimande.
-Excusez notre communauté, mais nous ne pouvons faire autrement. Vous et les vôtres serez cependant les bienvenus dans nos murs lors des festivités, et se tournant vers Endrikur, par ailleurs lors de la fête quelques merveilles de l’artisanat de notre peuple seront exposées sur la grand place du quartier, aussi si vous disposez de matériel spéciaux, en machines, ou en armes, nous vous serions très reconnaissant de nous les céder le temps de l’exposition.
L’intéressé eu quelques secondes de réflexion, personne n’oserai contredire son choix et après tout il n’avait aucune raison de refuser la requête de Kan, mais il se pouvait qu’il y ait un habile coup à jouer ici.
-Nous possédons cela va de soit de nombreuses armes de toutes sortes, dont une douzaine d’arquebuse neuves dernier cri de Karak-Norn, plusieurs pièces d’artillerie, canon, balistes et un gyrocoptère, en bref rien que ne pourriez vous procurer directement via nos anciennes forteresse.
-Oui, c’est vrais, cela étant ce genre de matériel de guerre coute assez chère, et il nous faudra le rentabiliser après la fête, trouver des acheteurs. Si un mécène qui possédait déjà ce matériel pour son propre compte pouvait nous le céder temporairement, cela nous ferai faire de considérables économies. Je pense que nous nous comprenons.
-Tout fait, cependant comme vous l’avez souligné ce matériel est couteux et parfois fragile, aussi je ne peux accepter de vous le cédé pour rien. Et il rajouta. Je pense que nous nous comprenons.
-Parfaitement, répondit Kan d’un ton sec, qu’est-ce que vous voulez en échange de ce gyrocoptère ?
-Hô une modeste compensation financière ferai l’affaire, disons heu… à combien s’élève la taxe pour notre campement déjà ?

(1) Et oui ont dit Elfique mais dans la mesure possible on évite de dire Nanique allez savoir pourquoi…
(2) A prononcer avec un accent allemand.

Oyé oyé bonne gents, voici venir la fin de notre 7ème chapitre pour ceux que sa interesse; (offre gratuite sans obligation d'achat tout ceux que sa n'intéresse pas peuvent retourner siroter leurs bières : vive: )

Chapitre 7: Nuln (2éme partie)

Et c’est ainsi que quelque instant plus tard de retour à l’emplacement cédé amicalement par Nuln pour le campement.
-Vous pensez qu’il savait pour notre gyrocoptère ? Demandai après coup Endrikur à ses pairs.
-Oui sans doute qu’il savait. Il a du faire épier ou observé notre campement le temps que nous arrivions en ville, c’est très futé.
-Oui rajouta Kurnrir, futé mais tout de même déloyale, ce sont des manières d’humain et pire d’elfe. On peut d’ailleurs s’attendre à ce qu’avec cette même malice il fasse trainer les choses pour être sûr d’avoir notre machine assez longtemps pour sa fête.
-C’est probable, je vais de ce pas m’occuper de cette affaire avec mes assistant, dit Endrikur pour lui-même en s’éloignant.
-C’est vrais que nous somment obliger de nous fier à lui, mais nous n’avons pas d’autres options pour le moment, il va nous falloir attendre et quitte a être immobiliser, profitons de l’hospitalité, finit Urbar.

L’arrêt a Nuln durait déjà depuis cinq jours et Kan n’avait toujours aucune réponse a sa missive, on avait ravitaillé la réserve, profité des festivités, rendu honneur aux ancêtres et fait un peu de tourisme, mais le temps commençai à devenir long, il ne restait que six jours de fête et Urbar craignait de devoir trouver une autre option pour continuer leur route, tandis que l’inaction et la douceur du climat amollissais lentement les recrues. De plus l’arrangement de leur taxe de séjour avec Kan serai fini sous peut, il pourrait y avoir beaucoup de souci en perspective…

Il fut tiré de ses réflexions par Kurnrir qui franchi le seuil de sa tente, à sa mine et à sa façon de se poser face a lui il réalisa qu’il avait à lui parler.
-Oui ? lança-t-il interrogativement à l’adresse de l’ancien.
-Je voudrais te parler de la troupe c’est important.
-Qu’y a-t-il ?
-Tu sais que nous n’aurons pas toujours de la chance Urbar.
-Oui Kurnrir répondit t’il l’aire lassé, je t’en pris ne me parle pas par énigmes comme à un jeunot.
-Mais pour moi tu es un jeunot ne l’oubli pas. Rétorqua l’autre accoudé à sa masse. Alors respecte un peu tes ancêtres comme les autres. Et Urbar se rembruni un peu l’air pénitent.
-Oui, ne t’en fait pas je n’oublie pas le respect du au savoir et à la barbe ; mais que me voulais tu ?
-Te parler des gobelins, que nous avons battus dans la vallée en sortant des montages, ils étaient en surnombres, et nous étions encerclé, tu doit réalisé toi aussi que seul le facteur chance étai avec nous. Il aurait simplement suffit que le canon ne soit pas en queue du train d’artillerie et nous n’aurions jamais pu les mettre en déroute. La chance est un élément efficace, parfois déterminant, mais la stratégie en est un autre, tout comme l’expérience et les compétences individuelles de chaque nain. Nous en venons donc au problème principal.
Et comme il laissait sa phrase en suspend Urbar demanda.
-Qui est ?
-C’est très simple, presque aucun de nos combattant ne sais se battre, que ce soit en groupe ou seul, idem pour notre arment à distance, ils n’ont aucune coordination, ne tirent pas en salves et savent a peine tenir une formation. Et il ajouta. Même toi, malgré le respect du au seigneur du clan, je dois te dire que tu ferais un piètre guerrier.
A ces mots le vissage d’Urbar s’empourpra, il souleva sa hache du sol. Tu m’insulte, je ne suis pas un bleu à ce point.
-Malheureusement si, Nous ne somme qu’une poigné de vétérans à connaitre réellement le combat parmi nous, les autres touts comme toi n’ont vécu qu’une vie de civil. Et il ajouta encore toujours accoudé à sa masse comme un défit. Prouve moi que j’ai tord vas y.
Ce fut rapide, Urbar se jeta en avant envoyant sa hache de haute en vas, Kurnrir se saisi de son arme para de sa masse et engagea un cour duel de force, puis s’esquiva laissant titubé Urbar en avant sous sa propre force, il lui asséna un violent coup du manche en gromril sur le dos qui le finit de le faire choir la tête la première.
-Tu vois, termina t-il en regardant Urbar se relever déconfit, il faut de l’entrainement.
-Bien, bien, tu à raison je vais dire à nos vétérans de faire ce qu’ils peuvent. Et toi reste ici s’il te plait et apprend moi ce que tu sais, il ne faut pas que les autres sachent ce qui vient de se passer, ou je serai déshonoré comme un courte barbe.

Ainsi fut fait, pendant trois jours les vétérans s’efforcèrent de transmettre leur savoirs a leur unité dans tout les domaines. Comment former les rang, tenir des formations, communiquer rapidement pas signe et injonctions courtes, entretenir le matériel, faire un paquetage simple et fonctionnel et quelques basse de stratégie ayant pour sujet la coordination entre les groupes.
Tandis que dans la tente d’Urbar, Kurnrir lui apprenait les basses du combat et de la stratégie a grande échelle qui lui faisais défaut.

Dans l’après-midi du troisième jours, une leçon de stratégie évoquant les stratégie de défense s’appuyant sur l’environnement et prenant l’exemple héroïque de trois-cent soldat Tiléen contrant une armée de Skaven innombrable, fut interrompu par l’entré d’un humain dans la tente. Vêtu d’un grand manteau de voyage a capuche, de hautes bottes en cuire et d’un pantalon épais, il s’adressa à Kurnrir.
-Maitre nain, sans doute êtes vous Urbar le seigneur de ce clan ?
-Non c’est moi. Retoqua l’autre dont la barbe étai nettement moins longue.
L’homme pivota et posa un genoux à terre face à Urbar.
-Mes respects mon seigneur, je suis envoyer par le palais de Nuln, à leur demande je dois vous remettre cette missive et vous guider jusqu’au Moot pour votre mission.
Urbar pris la missive et après un examen rapide constata qu’effectivement Nuln les expédiait dans l’Averland séance tenante, pour y renforcer les défenses en prévision de l’été. Il releva le nez de la missive.
-Bien nous n’avons plus rien a faire ici, Kurnrir donne l’ordre de rapatrier le gyrocoptère et tout notre matériel, et que tout le monde se prépare on lance la marche demain avant l’aube.
Kurnrir sorti et Urbar reconsidéra l’homme.
-Et toi l’Humain tu n’a rien d’autre pour moi ?
-Si mon seigneur, répondit l’autre d’une voix humble et toujours à genoux, comme le veux l’usage je transporte le quart de votre solde a vous remettre quand nous seront a destination.
-Bieeeeen relève toi l’homme, quel est ton nom ?!
-Je me nome Turan Monseigneur.
-Et pourquoi t’envoie-t-on nous chaperonner ? Par manque de confiance ?
-Loin de moi l’idée de douter de votre honneur, mais la mission étant importante pour la politique entre Nuln et l’Averland je suis la pour être sûr que vous arriviez bien la ou l’on a besoin de vous. Je saurai rendre ma présence aussi discrète que possible.
-Que voila une bonne résolution le jeune ! Bon comme tu transporte notre or ton chevale reste ici , toi tu fait ce que tu veux mais soit la demain a l’aurore, si tu le veux et que tu est un peut dégourdi tu peux même aider les autres a démonter le camp. Aller fil maintenant.
Il s’exécuta et Urbar se reperdit dans ses pensées. Le Moot, l’Averland, il faudra sérieusement penser à se munir de vraies cartes détaillées. Le gyrocoptère, Kan sera peut être pas très content de le voir s’envoler de la grand place, le spectacle sera peut être saisissant c’est sûr mais il deviendra vert quand il ne le verrat pas revenir et que le reste du matériel s’évaporera des présentoirs. De toute façon il ne reste que trois jours de fêtes il devra faire sans. L’entrainement, il faudra le continuer pendant le voyage, faute de quoi l’échec finira par leur tomber dessus. Et pour finir cet humain, ce Turan au verbe haut qui les chaperonne, l’archétype même du personnage louche par excellence, certainement capable de survivre indéfiniment sans une once de civilisation tout en pouvant se refaire sans peine à ses usages, sans doute un bon garde forestier, au moins…
Allons ! Il ya beaucoup à faire se dit-il finalement et en sortant de sa tente pour aider aux rangements il vit avec satisfaction leur gyrocoptère se poser sur son chariot de transport
-Nous n’avons que trop trainé ici, souffla t’il.

Prochain chapitre : Chapitre 8: Le Moot

Dans le Moot, hein ?
Il me semble que les plus proches ennemis des Halfings sont les morts-vivants...
J'aime bien l'anecdote des 300... Tiléens contre les skav'
Et pourquoi pas des spartiates contre des perses... pfff

Bon, vivement la suite, comme toujours.

Merci beaucoup à tous ceux qui continu a me lire et qui postes leur commentaires, c’est vrais que quand on entreprend quelque choses c’est toujours bien d’avoir des commentaires même si ils sont négatif (et Grungni sais que ce n'est pas le cas ici), c’est vraiment honorable de votre part.

Entre outre je tien a m’excuser pour certaines choses ; pour les fautes d’orthographe et pourtant je suis aider par le correcteur de World, pour le temps que je mets à poster les chapitres, je n’écrit vraiment que quand j’ai le temps et l’inspiration, et pour le style du récit qui peut être a tendance à changer au fur à mesure que je l’écrit étant donné les longues périodes d’inaction qui sépares les moments d’écritures

Edit: Grumdor Le Gris quand tu parle de mort vivant, tu pense aux Comtes Vampires?

Bah voui... dans mon bouquin de jdr, il est dit que les halfings sont en première ligne ! Juste à la frontière des zombis. Ils sont séparés par un fleuve je crois. Et ils les massacrent à la fronde !

Pour tes récits, faut pas t'en faire, on a le temps ! Les Nains ne sont jamais pressés (sauf pour couper les jambes des elfes et pour picoler...) Moi par exemple, j'ai posté une histoire il y a quelques temps et ça fait plusieurs mois que j'ai pas touché à la suite, alors que je la connais et personne m'en voudra de toute façon !

Bref, prends ton temps, et continue à faire ça bien !

Chapitre 8: Le Moot

On parti tôt, voir même un peu trop tôt au gout d’Endrikur qui avait pris l’habitude de se servir de l’un des chariots du train comme d’atelier. Il avait passé tout le trajet jusqu’a Nuln à dessiner des plants et à imaginer des bricolages (1) et pendant la halte il avait pu faire discrètement l’achat de menu pièces détaché avec les quel s’exercer a longueur de journée et de soirées. Il s’endormi donc peut après l’heur du départ.

Ainsi donc a l’heur ou la campagne prenait ses premières couleurs dans les rayons timides de l’aube (2) la colonne laissai déjà a l’horizon les hautes tours de Nuln. Guidé par Turan elle s’enfonça dans l’Averland en remontant le cour du Reik supérieur

Le voyage se passa sans incident majeur voir presque sans incident tout cour. Les troupes continuaient à s’entrainer chaque jours, Turan qui se pris au jeu finis même par tenté de transmettre ses connaissances a quelques intéresser, posant la première pierre de ce qui serai peut être un jour un vrais groupe de rangers. Le seul réel incident fut qu’Endrikur failli se faire sauté avec son prototype d’arquebuse évolué, mais personne ne sue jamais que l’explosion de vapeur comique et inoffensive qui se produisit subitement dans son chariot-atelier aurait pu être une vraie explosion dévastatrice s’il avait tardé à ouvrir la valve de la chambre de combustion.

Il fallu presque six jours jusqu'à Averheim la capitale de l’Averland, puis encore cinq autres pour atteindre la Moot.



Jour 38 AD. Printemps, 3éme mois, jours 1, An 2401 Calendrier Impériale

En ce jour Urbar fils de Tingrold des Barbes Brunes commence ce journal de bords de la première expédition de la vengeance.

Cela fait maintenant 38 jours que nous avons quitté Karak Hirn. Nous avons traversé Karak Izor et Karak Norn, atteint Nuln en remontant la rivière Soil et nous sommes fait engagé comme mercenaire, notre périple nous mène maintenant au Moot dans l’Averland. Notre guide, un humain nommé Turan semble finalement digne de confiance. J’ai pu apprendre par lui que l’Averland est une province assez pauvre, ses principales ressources sont le commerce de chevaux des plaines et la culture des abords de la rivière Aver et ce plus particulièrement dans la région du Moot.
Les Halfling qui occupent cette région sont un peuple dépourvue d’instinct belliqueux et les forces les protèges normalement ont été partiellement réquisitionné par l’Empire et ne reviendrons pas avant la fin de l’été. Les autorités craignent donc des pillages sur les nouveaux stocks de vivres récolté au coure de l’été.
Nous arriverons ce soir a Saucrapfel où la situation nous sera expliquer plus en détailles.

Jour 38 AD. Printemps, 3éme mois, jours 3, An 2401 Calendrier Impériale

Nous avons été reçus par Aldelm Sauttebuisson qui nous a expliqué que le Moot craignait principalement les attaques d’Orc, de Gobelin, et de mort vivants venu des forets de l’Empire et des montagnes du bord du monde. Même si l’armée régulière est majoritairement partie, suffisamment de Pistoliers et de Cavalier sont restés pour établir une large bande de surveillance. Nous resterons à Einsamholz au centre géographique du Moot, ainsi, si les patrouilles repèrent une menace, nous pourrons nous positionner sur son chemin à la frontière et bénéficier d’une journée pour renforcer nos positions.

Jour 66 AD. Printemps, 3éme mois, jours 28, An 2401 Calendrier Impériale

Cela fait presque un mois que nous sommes ici et les patrouilles Impériales ne rapportent toujours aucun signe d’activité hostile.
L’entrainement progresse bien, les anciens n’aurons bientôt plus rien de théorique à apprendre aux jeunes, et la tourmente des combats deviendra leur plus grande maitresse. Une maitresse efficace, mais qui ne tolère aucun échec.
D’âpres ce qu’en disent les Halfling qui vivent ici, l’été qui arrive bientôt et plus propice aux attaques de pillages de stocks de vivre par la vermine peau verte. Les mort vivants n’en ayant aucun besoins préfèrent les attaques hivernales quand les nuits sont longues et le climat plus dure pour les vivants.

Jour 73 AD. Été, 1er mois, jours 4, An 2401 Calendrier Impériale

Les récoltes des différentes denrées sont abondantes et les Halfling généreux, nous ne dévirions à ce rythme rencontré aucun souci pour payer notre approvisionnement.
Des nouvelles inquiétantes nous arrivent du Nord, il y aurait du mouvement dans la forêt de l’Empire toute proche. Aldelm Sauttebuisson a dors et déjà ordonner notre départ pour le village frontalité de Heukern à une cinquantaine de kilomètre d’ici au Nord, et le rapatriement de tous les stocks à Einsamholz
Bien que je n’aime pas que l’on s’adresse à moi comme à un soufifre je ne peux m’empêcher de comprendre Aldelm dont le peuple a déjà été trop de fois victime de la tourmente des guerres, à sa place j’aurai agit de semblable manière.

Jour 75 AD. Été, 1er mois, jours 6, An 2401 Calendrier Impériale

Nous sommes arrivé aujourd’hui à Heukern mais les nouvelles du Nord restes menaçantes Aldelm a ordonner à la population de fuir vers Einsamholz. Sur les 400 Halfling environ que compte cette ville, seul 20 ont manifesté la volonté de rester se battre avec nous. La terreur que le combat inspire a ses gents me consterne, en une pareille situation, une communauté naine de même taille aurai fourni 300 guerrier équipés, et non une poigné de fou armée du courage de la jeunesse et de quelques instruments de fermes. Nous commencerons demain l’édification des fortifications, les Pistoliers et les Cavalier Impériaux seront nos yeux et nos oreilles au Nord, je pris Grugnir qu’ils soient fiables.

Edite nous sommes en 2401 Calendrier Impériale mais bien en 5401 du calendrier Nanique

C'est frustrant de s'arrêter juste avant l'action !!!
C'est toujours aussi bien, j'espère avoir la suite dans pas trop longtemps...
Ouais, BASTON ! :chevalier: :orque:

Juste une petite remarque : la date, que signifie AD ?
Et pour l'année, c'est trop loin... normalement, le warhammer auquel on joue, se passe aux alentours de 2000 quelque chose...
Toujours quelques fautes qui piquent les yeux mais bon, l'important, ça reste l'histoire !

Bonne continuation !

Oui Grumdor il y a effectivement un petit pépin, j’avais mit les date en calendrier Nanique et non Impériale. A savoir que le calendrier Nanique a 3000 ans de plus que son homologue Impériale. Je vais tout de même laisser les notations en calendrier Impériale étant donner qu'il est le plus utilisé, mais en rectifiant les dates.

Pour "AD" se sont des initiales qui servent à marquer un point de repère comme "J.C", le point de repère étant le jour du départ. "38 Jours AD" signifie donc 38 jours après le départ

Pour ceux qui me suivent encore (et je vous en suis infiniment reconaisant) voici la suite de ce récit dont le style d'écriture semble changer selon mon humeur .

Le lendemain quelque part au nord d’Heukem, un Pistolier et son petit frère patrouille à quelque distance de la forêt.

- J’m’ennui…
- Crois-moi le jeune tu préfère t’ennuyer qu’autre chose… et moi aussi d’ailleurs.
- J’m’ennui quand même, et arrête de m’appeler le jeune il n’y a que quelques années de différences entre nous.
- Oui quelque années d’expérience, c’est pour ca que JE suis capitaine et TU feras ce que j’te dis, seconde classe.
- Rhô c’est bon, alors dis Capitaine, t'y crois à ces rumeur d’peau vertes ?
- Je crois que ce que je vois tu sais et je préférerai ne rien voir qui me dérangerai.
- Ha… mais la d’toute façon avec la forêt on les verra pas venir d’toute manière.
- Tu ne retiens rien à rien toi, il faut observer les signes extérieurs.
- Comme ?
- Comme un sillage de poussière, de la végétation qui bouge un peut trop, des arbres qui tombes, et puis surtout des bêtes sauvage qui s’enfuis toutes d’un coup, sa marche très bien avec les d’oiseau par exemple.
- Ha bon, tu devrais pt’ête regarder d’mon coté alors pace qu’y s’y passe à peut près tout c’que tu viens d’m décrire. D’ailleurs si les bêtes sauvage ont des cavalier, es que sa veut dire quelles sont pas si sauvage qu’sa ?
- Non. Sa veux juste dire qu’il y a deux bêtes sauvages l’une sur l’autre, essayons de voir combien ils sont et tirons nous avant d’être repéré.

Jour 77 AD. Été, 1er mois, jours 8, An 2401 Calendrier Impériale

Grugnir a entendu mes prières, cette après-midi un groupe de Pistolier est venu rapporter l’apparition d’une vaste bande de peaux vertes sortant de la forêt. Ils n’ont pu avoir de détailles mais estimes leur nombres à environ trois cents, dont au moins un groupe de gobelin sur loup qu’ils n’ont pu semer que grâce l’endurance de leur chevaux. Les peaux vertes seront sur nous dans un peut plus d’une journée.

Le village est situé au sommet d’une colline en forme de larme dont la pointe rocheuse et abrupte pique au Nord-est, en surplombant la plaine de dix bon mettre. Elle n’est accessible qu’une fois la colline gravi. La pente de la colline commence aux palissades du village et descend en pente douce vers le Nord et plus rude vers le Sud.
Les fortifications avances bien, nous avons abattu la ridicule palissade que les Orques auraient écrasé sans peine et repositionné les rondins qui la compose la pointe vers l’extérieur en les inclinant à 35° pour crée deux point faibles ou canaliser l’ennemie, et 50 ° par rapport à la pente, de cette manière le palissade bénéficie d’un plus grand appui et les adversaires grimpant la pente y serons empalés par leur camarades poussant derrière eux.
De son coté Endrikur a fait une découverte singulière sur la pointe, un ancien site de mortier Impériale du temps ou les humaines n’ayant aucune confiance en la poudre faisais des essais dans des lieux reculé des zone rurales denses. Malheureusement, les pièces ont moyennement résisté à l’épreuve du temps et ce n’est rien par rapport à la charpente du bâtiment et aux mécanismes d’orientation des tirs, pour finir Endrikur prétend que nos boulets sont trop gros pour être utilisé via ces mortiers. La bonne nouvelle c’est que les ingénieurs Impériaux ont entièrement pavé le site et l’on ceint d’un muret d’un mètre de hauteur surmonté par endroit des restes d’un toit de bois. Avec quelques aménagements nous pourrons utiliser cette pointe comme une position avancée sûr pour les tireurs et l’artillerie.

Jour 79 AD. Été, 1er mois, jours 10, An 2401 Calendrier Impériale

Les peaux vertes sont en vue et moins nombreux que prévue, ils sont environ une centaine mais nul ne peut dire ou sont allé les autres, certain espères qu’ils ont rebroussé chemin dans les bois mais je n’y crois pas.
Nous avons positionné les balistes de chaque coté de l’entré principale. Endrikur, le canon et tout les tireurs sont à la pointe, de la ils pourront canarder les Orques massé devant la palissade. Les Brises-Fer protégeront le seul accès menant au tireur tandis que le reste des Nains prendra position devant la palissade inclinée. J’irai à l’entré principale avec mon régiment, et Kurnrir sera à l’autre entrée sur le front gauche avec ses longues barbes. Nous devrons privilégier une bataille d’usure, faire tourner régulièrement les régiments défenseurs et éviter toutes brèches dans nos lignes et dans la palissade. L’attaque aura sans doute lieu ce soir pour aveugler nos tireurs dans la nuit, mais notre dernier aménagement de cette après-midi sur la plaine en cas d’attaque de ce type devrait permettre d’éviter le massacre.
Puisse Grimnir nous être favorable.


Ne vous en faites pas je ne compte pas faire le vieux coup du suspens, la suite est écrite il ne reste qu'a la taper.

Dans ce cas, tape vite !

Je préfère ton style d'écriture majoritaire : le passage avec les pistoliers... j'aime moins. Mais c'est trés subjectif, hein !

Toujours pas mal de fautes, mais il semblerait qu'il y ait un effort de correction ou de relecture peut-être...

Certaines descriptions sont un peu techniques et nécessitent un effort d'imagination pour bien visualiser, mais c'est pas génant du tout.

Et euh... combien sont les Nains ? Si les peaux vertes ne sont qu'une centaine... c'est pas effrayant quoi. A moins qu'il n'y ait que des gros orques noirs... mais il y a des gobs apparement...

Enfin, vivement la suite. Et merci pour ce partage !

Je suis désolé j'avai promis de donner la suite dans l'aprème mais j'ai eu des contre temps indépendant de ma volonté
A savoir que mon ordinateur m'a fait plussieur blue screen (vous savez cette écrant qui fait peur qui dit que windos choisi d'arreter votre ordinateur pour lui éviter une mort certaine) et a fini par ne plus s'allumer completement pretextant un fichier système windows manquant. A la suite de quoi il s'est mit a refonctioner d'un coup allez savoir pourquoi et comment :interro : (sans doute un point de destin utilisé) et ces dernier jours je n'ai vraiment pas eu le temps de faire autre chose que ce qsfv :barbare: -à"ç-)à)= :orque: '"(f de Projet de Terminal (maudit soit-il vous l'aurez compris.)

Bon je vais tapper la suite maintenant que je n'ai plus que ca à faire ^^

T'inquiètes pas, je suis pas pressé, je suis encore jeune...

Pour ton PC je comprends... Il se trouve que j'ai une théorie particulière en ce qui concerne l'informatique : les ordis sont vivant et se sont passé le mot pour nous pourir la vie...
J'en ai un exemple flagrant :
Vous connaissez ces fenêtres qui apparaissent en faisant "tumb" violemment pour vous dire que votre action ne peut aboutir ? Nain que je suis, j'ai insisté et cliqué une 50aine de fois en rafales pour que finalement il cède.

Sur ce, désolé de flooder... bonne continuation l'ami.

J'aime bien fignoler les détailles, c'est parfois important et sinon enrichissant personnellement, et sa permet aussi parfois de reprendre les con--rie de GW, comme maintenant...

Urbar referma son journal et se dirigea vers la sortie de sa tente, à cette instant Firm le champion du bataillon qu’il allait commander surgit.
- Seigneur tout le monde est en place comme convenu. Les peaux vertes se préparent, la bataille est imminente !
- Bien retourne à ton poste.
Et sans accorder plus d’attention à son second il sorti de sa tente et alla au rempart au pas de course. Comme convenu il y retrouva Edrik, le pilote du gyrocoptère qui y scrutait les forces ennemies avec sa longue vue, tandis que les servants des balistes se chargeaient de maintenir sa machine paré au décollage. Edrik étai l’un des plus jeune nain de la troupe, et le plus jeune des techniciens, servants et artilleurs sous la responsabilité et le commandement d’Endrikur. Il faisait preuve d’une perpétuelle et parfois désarmante et irritante assurance, toujours teintée de respect envers ses supérieurs quelque soit la circonstance, et il y avait fort à parier qu’il se comportait pareillement aux commandes de son diable d’engin. Il était d’ailleurs le seul à la fois volontaire et capable de le piloter.
- Alors comment sa se présente ?
- Ils ont formé la ligne et commencent à avancer. Avec de la chance ils ne se rendront pas compte de ce qui leur tombera dessus.
- Bien vas, est souvient toi, le premier tire est à toi, mais tu dois attendre qu’ils aient franchit les torches.
- Se sera fait Monseigneur. Dit-il sèchement en rempliant sa longue vue d’un geste vif puis en courant vers sa machine.
Une fois à sa machine, Edrik pris appuis sur le marchepied, et s’étant assuré au près des servants de la bonne marche des mécanismes, bondit sur le siège, s’harnacha, et enfonça de son pied la barre d’ascension (1), pressant à la fois la pédale commandant les pales et celle commandant l’hélice de queue, il tirait ainsi sur deux fil d’acier qui allèrent dégager deux valves au cœur de la machinerie. La vapeur entraina la rotation des mécanismes des pales et de l’hélice de queue et, spectacle toujours saisissant dans un monde ou seul la magie défi les lois de l’univers, un objet de bois, de toile et d’acier, née de la seul logique bravât la gravité.

Le Gyrocoptère quitta rapidement le sol.
Un mètre et l’horizon fut visible au-delà des ranger de combattants et de la palissade incliné.
Deux mètres et une ligne de torche enflamma l’horizon proche. Le spectacle de la troupe verte sur le fond du ciel sanglant du couchant, avec les derniers rayons du soleille à l’Ouest et les premières étoiles de la nuit à l’Est avait un aspect fascinant et irréel.
Quatre mètres et Edrik vit les longues torches de deux mètre cinquante planté plus tôt par Endrikure et ses ingénieurs.
Retirant alors la barre d’ascension dans une rainure à cet effet, il appuya légèrement sur la pédale de l’hélice de queue pour orienter son cap, et pressa celle d’ascension tout en ramant en avant de son bras droit une manette le long d’une rainure. Sous le Gyrocoptère un poids se déplaça vers l’avant de l’appareille le quel piqua proportionnellement du nez et avec la force augmenté des pales, parti comme une flèche en direction de la plaine. A la pointe, le premier coup de canon retenti

Dans le même laps de temps sur la pointe, Endrikur donnait ses dernières directives d’un ton autoritaire.
- Personne n’approche du muret tant qu’Edrik ne nous aura pas fait signe, a part au canon je ne veux voir aucune lumière. Et excepté moi et les servant personne ne doit s’en approcher, il ne faut pas que vous soyez vue… Et après le signal faites attention en allumant les torches.
Puis il se détourna de ses nains tapis hors de vue et lança son regard de maitre ingénieur sur le canon et la ligne de torche ennemie. Après quelque secondes de réflexions il fit un signe de tète affirmatif au servant artilleur qui bouta le canon. Un instant plus tard le Gyrocoptère passait à côté du site de tir.


J'espère avoir été clair dans ma note de bas de page, pour ceux qui n'ont rien compris et c'est vrais que c'est assez compliqué dans un sens, retenez juste que le Gyrocoptère s'est envolé ^^, pour ceux qui ont juste la flemme de le lire et de le comprendre, et bien je vous méprises bandes d'ignares volontaire

Je n'ai qu'un point négatif, si on peut dire, à te reprocher... tu t'arrêtes trop vite !

Franchement, tu as un style d'écriture digne d'un véritable écrivain. C'est fluide, détaillé,... J'aime vraiment ce que tu fais.

Pour en revenir au gyro : c'est exact, j'avais déjà remarqué l'oubli des sculpteurs de GW... je peux me vanter d'avoir déjà eu la chance de faire un tour d'hélicoptère et l'utilité d'une hélice de queue est une question que j'avais posée au pilote...
A ce propos, je comptais modifier la fig' du gyro que j'ai pour y mettre cette hélice manquante. Mais tu as aussi du t'apercevoir que ce n'est pas le seul défaut de cette fig' : tu as trouvé le réservoir d'eau du canon à vapeur ??? Je pense qu'il faut pas trop en demander à GW et qu'il y a certainement une raison pratique à cela (transport de fig', taille au niveau du jeu...).

PS : il me semble que tu fais vraiment de moins en moins de fautes, en tout cas, ça saute pu aux yeux comme au début. C'est bien plus agréable. Si tu continues comme tu es lancé, c'est que du bon qui va arriver.